Tout est bien qui finit bien

sa présence, il aime sa mère et sait se conduire avec elle, en "petit homme". Il oppose aux consignes du professeur de piano une obstination sourde et désinvolte. Il n’aime pas les leçons de piano répétitives et ennuyeuses alors qu’il réussit très bien quand il accepte la consigne; il est doué, il est capable d'une interprétation musicale de la sonatine de Diabelli. Il aime la musique qu'il joue et chante l'air avec plaisir. Il est conscient de l'amour de sa mère et il est un complice docile des

Il était une fois, il y a fort longtemps, vivait dans son lugubre marais, un vilain ogre tout vert nommé Shrek. Un jour, l’ogre qui était en quête de chaire humaine bien fraîche, se baladait dans la forêt enchantée. Pendant ce temps, non loin de là, un âne ayant le pouvoir de parlé était gardé prisonnier par les soldats de Farquaad. L’Âne combatif se délia de ses liens, et pris ses pattes a son coups pour se sauver des soldats dans la forêt d’ où là, rencontra l’ogre vert, qui fut surpris de son

elle a la hauteur de la vie qu’il a menée tout au long de l’œuvre ? Plan : I- L’épreuve héroïque a) La métamorphose du spectre b) Un Don Juan obstiné c) Don Juan, un héro à la hauteur de son mythe II- La fin de Don Juan a) L’affrontement entre Don Juan et la statue b) La statue met fin a la course de Don Juan c) Une mort spectaculaire II-c) Après l’affrontement entre Don Juan et la statue, il finit par accepter sa mort en lui donnant sa main

menaçait d’envahir tout l’Orient », ce qui revient à dire que la cruauté et le fanatisme se répandent plus vite que l’usage de la raison, surtout quand cela sert les intérêts de certains. Le danger vient aussi du fait que le temps consacre la barbarie sous forme de tradition . Elle devient alors normale et est acceptée par le peuple et même par les victimes : les veuves se jettent volontairement dans le feu, poussés en fait par le conformisme et la peur de l’opinion publique, ce qui est bien plus confortable

d’ordre matériel. De ce fait, ayant constaté la faillite des liens familiaux, de l’amour dévoyé vers le désir ou la jalousie, Maupassant propose des solutions moins aliénantes. Ainsi, il faut être libre et avoir la possibilité de rompre, à son gré, toutes les chaînes. L’adultère des personnages Mme de Marelle Madame de Marelle vit en marge de ses attaches familiales. Elle a une fille et est mariée à un homme souvent absent qui semble ne pas la satisfaire : " Monsieur De Marelle n’a que des

cette notion de responsabilité. Tout d'abord qu'est ce que la responsabilité , la responsabilité c'est: les Caractères de celui qui doit répondre devant sa conscience ou devant Dieu de ses actes et de ses pensées. Cette notion est donc présente partout dans notre vie quotidienne elle est donc très importante , l'intérêts de cette question est donc de cibler nos actes de tout les jours pour les étudier et de voire ensuite si nous somme réellement responsable de toutes nos action ou non. Cette question

Résumé
 : Sonnet boiteux est le 7ème poème du recueil "Jadis et Naguère" et comme l'indique le titre s'il s'agit bien d'un sonnet, Verlaine y apporte quelques entorses aux règles traditionnelles, dans la versification et dans la longueur irrégulière des vers. Boiter témoigne, d'un manque d'équilibre, d'un manque d'harmonie. Le sonnet boiteux est le reflet de l'âme du poète au moment où Rimbaud le quitte, en novembre 1872 pour revenir en janvier 1873 auprès de lui, car Verlaine est malade.
 I -

menace. - 1ère partie : L608=>636 Argan essaye de convaincre Louison de tout lui raconter en la questionnant mais sa fille nie le fait d’avoir quelque chose à lui dire. - 2ème partie : L637=>668 Argan menace sa fille avec des verges pour qu’elle avoue mais elle continue de mentir avec effronterie à son père. Puis pour qu’Argan cesse de la fouetter, elle fait semblant d’être morte. - 3ème partie : L669=>712 Louison finit par promettre à son père de lui raconter ce que ce jeune homme est venu

désir, tout comme elle le désir. L’histoire de Clindor s’ouvre donc dans ce contexte à la scène 2 de l’acte II Acte II scène 2 : Clindor ouvre la scène par des compliments à son maître, Matamore. IL ne cesse d’ailleurs durant toute la scène de complimenter Matamore et de soutenir les fausses histoires qu’il invite (« Cet étrange accident me revient en mémoire ; / J’étais lors en Mexique, où j’en appris l’histoire… »). On sait pourtant très bien que Clindor vante son maître tout en se moquant

Le désir est l’essence de l’homme ». Dans l’Ethique l’auteur défend et recommande le plaisir, étant source du bonheur, de la joie. La thèse de l’auteur est la suivante : « Et donc, user des choses, et y prendre plaisir autant que faire se peut (non, bien sûr, jusqu’à la nausée, car ce n’est plus prendre plaisir), est d’un homme sage. ». On entend par plaisir, la satisfaction physique et morale. Par homme sage, celui qui a la connaissance juste des choses, et qui fait preuve de prudence et de modération