Tout est bien qui finit bien

tragédie sont deux genres distincts, qui ont des codes très différents. La comédie doit faire rire. La tragédie doit inspirer terreur et pitié au spectateur. La comédie et la tragédie sont-elles complètement hermétiques l’une à l’autre ? I- Deux genres bien distincts Traditionnellement, certaines situations sont associées à des genres ou des registres théâtraux particuliers. A- La tragédie • Théâtre : respect des trois unités + vraisemblance et respect des bienséances. Niveau de langue soutenu, voire

de l'air et la pluie des sources.” Étienne essaie à découvrir Catherine qu’il avait pris pour un garçon d’abord et se découvre lui-même devant la jeune fille en lui racontant qu’il venait d’être renvoyé de son travail pour avoir giflé son chef, que tout cela c’était passé à cause de l’alcool: “- Je dois dire que j'avais bu, continua-t-il, et quand je bois, cela me rend fou, je me mangerais et je mangerais les autres... Oui, je ne peux pas avaler deux petits verres, sans avoir le besoin de manger un

tomber dans une dépression sentimentale. Cependant elle a tous les traits d'une vraie héroïne. Son comportement est parfois très ironique avec Madame Raquin ce qui témoinge de son humour et son hypocrisie. Laurent Laurent est totalement lié à Thérèse tout au long du roman. Laurent est d'un tempérament plutôt brute et aggresif. Il est possédé par sa folie amoureuse ce qui le pousse à accomplir le meurtre. Après l'assasinat, Laurent se transforme et son état mental empire  : ses nerfs le poussent à bout

lieu où vit la veuve. Petit Pierre, fils de Germain parvient à les accompagner car son père finit par céder. Dans la forêt, ils se perdent près de la « mare au diable » et son contraints d’y dormir. Germain tombe amoureux de Marie ; il est impressionné par le savoir faire et la douceur de celle-ci avec Petit Pierre. Germain n’est pas le seul prétendant auprès de la veuve. Il n’apprécie pas du tout la compétition instaurée par cette femme pour trouver un prétendant. Il part chercher son

Faire un bon usage de ce temps irréversible face auquel nous sommes impuissants (il passe quoique l’on fasse et même si on ne fait rien , on ne peut faire qu’il ne passe pas !), c’est la seule chose qui est en notre pouvoir. Mais , ce pouvoir semble bien  limité car il semble y avoir des obligations, des nécessités auxquelles on ne peut pas ne pas consacrer du temps. Le travail semble être l’une d’entre elles. En effet, au travail, on dépense de l’énergie physique et/ou psychique en échange d’une production

de la mort par l'homme. La manière dont celui-ci entreprend tout le long de son existence un voyage rempli d'agonie le conduisant au final jusqu'à son funeste destin. Il est aussi question de pulsions de mort, comment celles-ci se manifestent-elles au court du roman ? Développement: Céline a une vision très radicale et négative de la vie. Pour lui, l'homme, dès le stade de l'ovule, n'est que le jouet de la mort. Le destin de tout homme ne se trouve que dans la mort; entre la naissance et celle-ci

Deux exemples justifiés : La princesse de Clèves dans La Princesse de Clèves de Madame de LaFayette : De par son comportement exemplaire la princesse de Clèves se présente comme contre- exemple de ce qui peut arriver au personnage immoraux. On voit tout ce qu’elle a pu éviter en restant droite et vertueuse, en ne trompant pas son mari et en résistant à sa passion Jean Valjean dans Les Misérables de Victor Hugo : Malgré ses conditions de vie très défavorables et sa situation qui n’y est que très

jeunesse dans une société avide d’argent pour avoir et paraitre et raconte l’histoire de Lucien de Rubempré qui, en abandonnant sa vie provinciale toute faite de naïveté pour monter à Paris afin d’y devenir « quelqu’un » et d’y connaitre le succès, finit par se perdre après une succession d’illusions. Ainsi, dans quelle mesure le personnage de Lucien incarne-t-il la désillusion ? Dans cette analyse, nous verrons quelles sont les illusions de cet « anti-héros », puis nous expliquerons en quoi elles

l'air et la pluie des sources.” Étienne essaie à découvrir Catherine qu’il avait pris pour un garçon d’abord et se découvre lui-même devant la jeune fille en lui racontant qu’il venait d’être renvoyé de son travail pour avoir giflé son chef, que tout cela c’était passé à cause de l’alcool: “- Je dois dire que j'avais bu, continua-t-il, et quand je bois, cela me rend fou, je me mangerais et je mangerais les autres... Oui, je ne peux pas avaler deux petits verres, sans avoir le besoin de manger un

de l'air et la pluie des sources.”Étienne essaie à découvrir Catherine qu’il avait pris pour un garçon d’abord et se découvre lui-même devant la jeune fille en lui racontant qu’il venait d’être renvoyé de son travail pour avoir giflé son chef, que tout cela c’était passé à cause de l’alcool: “- Je dois dire que j'avais bu, continua-t-il, et quand je bois, cela me rend fou, je me mangerais et je mangerais les autres... Oui, je ne peux pas avaler deux petits verres, sans avoir le besoin de manger un