Tout Sur Gervaise Macquart

houiller du nord de la France, lors d'une grève provoquée par la réduction des salaires. Le roman est en même temps une histoire d'amour à la fin tragique. Resumer : Le héros est Étienne Lantier, fils de Gervaise Macquart et d'Auguste Lantier. Comme la plupart des membres de la branche Macquart, il a hérité d'une folie discernable dans son regard, qui peut tourner à la violence meurtrière sous l'effet de la boisson ou de la colère. Chassé d'un atelier de chemin de fer à Lille pour avoir giflé un

Commentaire Nana Zola a écrit une série de roman, les Rougons Macquart, dans ces romans, il observe des personnages et expérimente en les mettant dans différents milieux. Nana est le neuvième roman des Rougons Macquart, il s’agit de l’histoire de Nana qui signifie une femme, une fille au langage familier .Nana dite aussi Anna Coupeau est la fille de Gervaise Macquart ancienne blanchisseuse, elle est l’héroïne de l’assommoir et de Coupeau, un ouvrier devenu alcoolique après un accident de travail 

paysans. Il est principalement connu pour « Les Rougon-Macquart”, l'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire. C’est une fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire et mettant en scène la trajectoire de la famille des Rougon-Macquart, chacun des livres représentant une époque et une génération différentes. Dans Germinal, nous suivons l’histoire d’Etienne Lantier, fils de Gervaise (personnage de « l’Assommoir ») qui trouve un travail

peinture du monde ouvrier – Naturalisme et hérédité – La signification du titre – Les choix romanesques INTRODUCTION Germinal est un célèbre roman d’Emile Zola (1840-1902). Le treizième roman du cycle des Rougon-Macquart est publié pour la première fois en feuilleton dans la revue Gil Blas, de novembre 1884 à février 1885, avant de paraître en volume cette même année. On ne présente plus la postérité immense de cette œuvre, tant socialement que dans la littérature

Gervaise Macquart, blanchisseuse, est abandonnée par son amant Auguste Lantier. Elle rencontre alors Coupeau, ouvrier zingueur, et l'épouse, rêvant d'une vie familiale simple et paisible. Mais Coupeau, condamné à un repos forcé après un accident de travail, passe son temps dans un modeste débit de boissons, « L'Assommoir »... C'est que, dans le ménage des Coupeau, le vitriol[1] de l'Assommoir commençait à faire aussi son ravage. La blanchisseuse voyait arriver l'heure où son homme prendrait

BARRALThéoDM : Commentaire de texte sur L’Assommoir d’Émile Zola (1877) : 2/31ère S2Commentaire de texte sur L’Assommoir d’Émile Zola : Publié en 1877, L’Assommoir est le septième roman de la série des Rougon-Macquart, écrite par Émile Zola. Écrivain et journaliste français ayant vécu dans la seconde moitié du XIXème siècle, et étant considéré comme le chef de file du naturalisme. L’ouvrage est totalement consacré au monde ouvrier, et selon Zola, c'est « le

les corps bruts. Dès lors, nous verrons qu'on peut agir sur le milieu social, en agissant sur les phénomènes dont on se sera rendu maître chez l'homme. Le Roman expérimental (1880) L'Assommoir (1877) [Le roman raconte l'histoire de Gervaise Macquart. Abandonnée par son amant Lantier, seule à Paris avec deux enfants, elle témoigne d'un idéal de vie laborieuse et honnête qui se concrétise par l'achat d'une blanchisserie. Mais l'accident dont est victime son mari Coupeau, et la compensation

pour son cycle des Rougon-Macquart composé de vingt romans. Son œuvre suit une famille sur plusieurs générations avec des personnages qui interviennent dans les différents romans. Zola s’intéresse à une famille afin d’expérimenter les principes d’hérédité qu’il étudie principalement sous le prisme de l’alcoolisme et de la misère. Parmi ses personnages se trouve Nana, protagoniste éponyme du roman de 1880. De son vrai nom Anna Coupeau, elle est la fille de Gervaise Macquart, une blanchisseuse alcoolique

qui le rend attachant. On ressent tout le tragique de sa défaite, c'est un mal ancien dont il ne peut se séparer « Du fond de sa jeunesse » Jacques est indigné face à son comportement, il se fait horreur : « cette Flore qu'il avais vue grandir » l 18. On assiste aussi à sa lutte intérieur: « S'il ne s'était pas cramponné aux herbes, il serais retourné là-bas » l 16. Zola rattache clairement le mal de Jacques à sa famille, il évoque sa mère Gervaise mais aussi ses frères. L 30.

certaines lacunes, auxquelles je m'efforcerai de remédier; mais je vais d'abord prendre les passages exacts, ceux qu'il me serait impossible de ne pas répéter. Pour donner plus de vivacité à son exposé, M. de Amicis fait parler l'auteur des Rougon-Macquart lui-même : -- « Voici comment je fais un roman. Je ne le fais pas précisément, je le laisse se faire de lui-même. Je ne sais pas inventer des faits ce genre d'imagination me manque absolument. Si je me mets à ma table pour chercher une intrigue