Toute Croyance Est Elle Irrationnelle

sociaux ont « la caractéristique (…) en partant de l’axiome suivant lequel ils sont sociaux et par conséquent ne sont pas individuels »4, ils reprennent toute manière de faire consciente ou inconsciente, susceptible d’exercer sur l’individu une contrainte extérieure. Ils ont la caractéristique d’être généraux, ils constituent la société (ex. croyances et pratiques religieuses, juridiques,…) et forment ensemble ce que Durkheim nomme la conscience collective5. La conscience collective, comme le fait social

de son intériorité, un scrupule qui lie sa conscience et impose des formes à son comportement. 2. De la réalité sociale à la transcendance Sous un premier aspect, la sociologie essaye de décrire la religion comme un fait social. Indépendamment de toute idée de divinité, on a ainsi remarqué (avec Durkheim) une classification des choses, réelles ou idéales, en deux genres opposés : le profane (qui relève des données de l'expérience commune) et le sacré (le tabou, la censure de l'inceste : relations

Conclusion "Deux excès: exclure la raison, n'admettre que la raison" (Pascal) Introduction Notion Le mot évoque ce qui échappe à la raison, ce dont on ne parvient pas à rendre raison, l'incompréhensible, somme toute ce qui résiste à une explication rationnelle. Problématique Centrée sur l'existence de l'irrationnel, notre interrogation portera - sur son effectivité (à travers l'expérience qui en est faite) : en présence de quoi le

1. Théisme Croyance en un Dieu personnel et vivant. Le théisme pense pouvoir déterminer la nature de Dieu, lui attribue un certain nombre de qualités (bon, puissant, créateur du monde, etc.), enfin se le représente dans des symboles religieux. Le théisme s'oppose à l'athéisme et souvent au panthéisme. Le théisme est la religion du commun des hommes. [1] (Ex.: religion Catholique) 2. Panthéisme Doctrine d'après laquelle tout est en Dieu ; en particulier, doctrine où Dieu est

est centrale car elle nous permet de comprendre les choses. Il s'agit d'une synthèse de la microéconomie. PARTIE 1: ECONOMIE DE L'INFORMATION CHAPITRE 1:THEORIE DE LA DECISION Courant qui utilise toujours l'information. La micro ne résume pas toute la science éco. La micro est un point de vue très partagée mais ce n'est pas le seul point de vue. Le discours éco connaît la crise de la théorie de l'éco avec la finance. On veut savoir si la science éco n'a pas une responsabilité forte dans le déclenchement

merveilleuse citation d'André Comte-Sponville introduit ici le thème majeur de notre étude. L'athéisme se dote d'un caractère marginal qui se détourne de toute forme de culte. Un athée tourne autant le dos aux principales religions monothéistes (Christianisme, Judaïsme et Islamisme) qu'aux croyances polythéistes ou irrationnelles de tout genre. Sa croyance se résume à l'humain; l'homme est maître de sa vie et de ses choix sans qu'un Être Supérieur n'est à intervenir. Critiquée sévèrement par certains croyants

perceptive toute autorité, toutes lois, l’existence même d’autrui seraient perçues comme des contraintes ou obstacle extérieur. Dans une telle optique les forces de chacun se contredisant immanquablement entrerai en conflit les une avec les autres selon la loi naturelle et universelle du plus fort pour aboutir non pas à la liberté mais à la domination des plus faibles pas les plus forts, à des rapports sociaux injustes et instables et en définitive à la disparition de l’humanité toute entière.

s’élève au-dessus de toute limite ; qui est d’un ordre supérieur au monde empirique.) C’est ce sentiment qu’on désigne comme religieux. Si les formes extérieures de religiosité (les pratiques et les croyances) diffèrent selon les lieux et les cultures, ce qui semble constant c’est la croyance que le monde ordinaire dans lequel naissent, vivent et meurent les hommes n’a de sens qu’en rapport à une autre réalité infiniment supérieure qui est au fondement de toute existence. Cette croyance semble être un

LA CROYANCE EXCLUT-ELLE TOUTE FORME DE RAISON ? Dans son ouvrage intitulé –Ce que je crois- (1955), Robert Aron affirme « Je ne sais pas si je crois en Dieu. Mais, tout au moins suis-je sûr, grâce à l’histoire qui me recueille, de croire en ceux qui de tout temps et partout ont cru en lui ». Comme chaque homme, l’écrivain français s’est posé la question de l’existence de Dieu, à laquelle il n’a pu trouver de réponse. Il ne s’avance donc pas en affirmant qu’il croit, mais envisage cette possibilité

parce que nos gestes / actions ne sont motivés par rien, par aucune raison. Exemple type de la liberté d'indifférence négative: l'acte gratuit. Problème: Est-ce que la liberté d'indifférence négative existe? Si elle existait, elle empêcherait toute action. Fable de l'âne Buridan : elle met en scène un âne qui se laisse mourir de faim et de soif entre un seau d'eau et un seau d'avoine parce qu'il avait autant faim que soif et il ne pouvait pas choisir entre les deux. Puisqu'une telle situation