Toutes Les Opinions Ont La Même Valeur

Les opinions (du latin opinio, action d’opiner) sont les idées qui les premières s’immiscent et se tiennent comme un acquis dans notre esprit. Pourtant, elles ne sont que rarement le reflet de la vérité et les considérer comme tel peut même s’avérer dangereux ; il est alors légitime de questionner le rapport qu’elles entretiennent avec la pensée. Suffit-il d’avoir des opinions pour penser ? Penser n’exige-t-il pas au contraire que nous sachions nous affranchir de l’emprise des opinions ? Pour le

que le thème de ce texte est l’existence. Au début de celui-ci il y a une remise en cause de l’existence par Descartes. Mais l’existence c’est tout ce qui est lié au « Je suis. » tout court ; or Descartes veut nous démontrer dans le texte le « Je pense » avant le « Je suis ». Donc dès l’instant, où dans ma tête je pense à ce que je suis, cela signifie tout simplement que j’existe. Le thème est donc la CONSCIENCE. (et c’est ce qu’il démontre à la fin du texte) et d’ailleurs il pense que c’est la

L'Opinion, la Connaissance La Vérité Collection dirigée par Oscar Brenifier L’ Opinion, la Connaissance et la Vérité Oscar Brenifier Gilles Clamens Docteur en Philosophie et formateur (ateliers de philosophie et philosophie pour enfants) Professeur certifié de Philosophie en Terminale Joël Coclès Professeur certifié de Philosophie en Terminale Isabelle Millon Documentaliste Avant-propos Notre choix : la pratique philosophique Ce guide d’initiation au philosopher

« Connais-toi toi-même », À quels obstacles se heurte cette exigence ? Sur le fronton du temple de l’oracle de Delphes, en Grèce a été inscrit «  Connais-toi toi-même, laisse le monde aux Dieux », citation plus ou moins paradoxale puisqu’elle signifie d’un côté que la recherche et la conscience de soi sont primordiales dans l’accomplissement personnel et d’un autre côté que tout est régit par les Dieux, qui règnent en maîtres absolus sur les âmes de leurs sujets. Socrate, grand philosophe

mineur, majeur, conclusion. PARALOGISME : Syllogisme mal construit > anti même. C’est un raisonnement faux ou le locuteur est de bonne fois. SOPHISME : raisonnement faux qui se sait faux et qui a pour but de tromper l’interlocuteur. DEMONSTRATION : raisonnement (relations logiques entre concepts), toujours abstraite et logique RAISONNEMENT : Discours cohérent, mais qui pourrait être faux PARADOXE : ‘’contre opinion’’, ce qui contredit l’opinion courante CRITIQUER : remettre en cause-rejeter/évaluer-circonscrire

la dimension éthique de l’existence (cfr PIASC RE p. 3), mais aussi connaître pour mieux comprendre sa culture et celle des autres (démocratie), émancipation sociale en luttant aussi contre un certain fondamentalisme qui tue tout développement humain et lutte contre les valeurs du « Monde ». b. Catéchèse, cours de culture religieuse et cours de religion Le cours de religion a pour caractéristique d'être un cours à part entière intégré à l'horaire scolaire. Il a donc un cadre institutionnel

quelque chose qui nous appartient, qui nous est personnelle et intime tel que le pays d'où l'on vient; notre histoire ou encore notre culture. Quand à elle, la poésie est un moyen de faire passer des émotions ou même un message précis, notamment grâce au lyrisme. Senghor et Césaire ont tout deux mêlés ces deux éléments afin de parvenir à parler de la Négritude, leur identité culturelle, à travers leurs poésies. Nous verrons donc en quoi la poèsie est-elle un genre efficace pour présenter et défendre

il y a plusieurs valeurs à distinguer, car trop souvent confondues. Est dit ignorant: Celui qui "n'est pas au courant" de telle ou telle chose, de tel ou tel fait. A l'ignorant s'oppose celui qui est "au courant" ou "branché". On ignore par exemple la date de la signature de tel traité, le montant des gains du loto, ou le nombre des morts que cause la guerre, le crime...etc. L'ignorance porte ici sur des faits, elle est très empirique. Serait-je plus sage d'avoir accumulé tout le bric à brac de

technique qui demande une certaine formation. *l’enquête par questionnaire : les modalités de réponses sont prévus à l’avance et c’est plus cadré. Deux types de questions : -portés sur des faits vérifiables, c’est objectifs -portés sur des opinions, c’est subjectifs. On peut faire des sondages, puis des extrapolations. *les méthodes expérimentales : difficile à mettre en ' uvre, c’est une démarche de test par hypothèse, on fait une hypothèse, on fait une hypothèse pour la vérifier. Il faut

ensemble de règles rigoureuses, vérifiables et reproductibles. Cet ensemble de règles qui constitue alors la méthode, n’a jamais changé aussi loin qu’on remonte dans la littérature. Il faut prendre du recul par rapport aux choses et les comparer à des valeurs dites contrôles. L’idée c’est aussi de pouvoir reproduire les résultats. Mais il y a toujours une fluctuation et il faut voir dans quelle mesure elle est acceptable ou extraordinaire. On fait alors appel à la méthode. Méthodologie : Quand on parle