Tpe Morphine

Pour comprendre ce tableau, il faut connaître sa vie. À l'âge de 18 ans, elle a eu un terrible accident ; le Bus qui la ramenait de l'école a quitté la route. Elle fut blessé au ventre et au pied droit, mais c'est son dos qui fut le plus touché. Les douleurs ne la quiterrons plus jamais. Elle a peint ce tableau en 1944, elle se dessine ainsi car elle doit porté un corset pour atténuer ses douleurs dorsales. Elle se représente en buste, le bas de son corp est caché par un drap qu'elle tient. Tout

l’orgasme. Cocaïne, crack, free base La consommation de cocaïne provoque la perforation de la cloison nasale et des troubles cardiaques. Associée à l’atropine sous le nom de Cristalline, elle devient extrêmement toxique, voire mortelle. Héroïne, morphine codéine Tous les opiacés peuvent induire une dépression respiratoire majeure, parfois mortelle, ainsi que des convulsions. Amphétamines, speed Les amphétamines accélèrent les rythmes cardiaque et respiratoire et provoquent la dilatation des bronches

utilisées dans le traitement des douleurs modérées à sévères, contre la toux et la diarrhée. Le terme d’opiacés désigne une famille de produits d’origine naturelle, semi-synthétiques ou synthétiques. Les opiacés sont issus de la fleur de pavot Exemple : morphine, héroïne, opium, codéïne, cannabis BPJEPS PUGILISTIQUE 2011 Classes de substances interdites  UTILISATION EN PRATIQUE SPORTIVE  Effets : Permet au sportif de continuer la pratique sportive, malgré des blessures douloureuses, Provoque un effet

antidépresseur. L'héroïnomane oscille alors entre des états de soulagement euphoriques (lorsqu'il est sous l'effet de l'héroïne) et des états de manque qui provoquent anxiété et agitation. Des troubles apparaissent très vite, dont l'anorexie et l'insomnie. La morphine est le médicament le plus actif contre la douleur. Il arrive que ce médicament soit détourné, avec les mêmes dangers que ceux de l'héroïne. La surdose (ou overdose) à l'héroïne provoque une dépression respiratoire souvent mortelle. Généralement provoquée

chance de créer des dépendances. Voici ce qu’Alain Rigaud dit sur le site (http://www.metronews.fr/info/legalisation-du-cannabis-therapeutique-ce-qu-il-faut-savoir/mmfj!oG6HioWeXDT/) : « Comme l'opium dont on peut faire de l'héroïne mais aussi de la morphine, le cannabis médical perd tous ses caractères addictifs pour ne garder que ses effets thérapeutiques contre la douleur.» Bref, lecteurs du site Pouvoir des mots, tous les problèmes que les gens donnent par rapport à la légalisation du cannabis ont

 L’héroïne Description de l’héroïne : L’héroïne ou diacétylmorphine est un opiacé synthétisé à partir de la morphine (qui est obtenue à partir du latex du pavot). Celle-ci est naturellement présente dans l'opium (suc du pavot somnifère). L'héroïne est proche de substances naturellement produites par le corps, appelées "endorphines". Le cerveau produit des endorphines en plusieurs occasions : en cas de tristesse ou en cas de grande douleur, dans le but de diminuer ces sensations

production de morphine François Magendie (1783-1855) : 1819 : prescrit des sels de morphine pour calmer les névralgies 1821 : emploi et préparation de médicaments tels que la morphine 1847 : la perte de conscience est quelque chose de dégradant et d’avilissant que tout homme un peu courageux ne saurait souffrir Concurrence avec les préparations d’opium De la morphine aux autres alcaloïdes : codéine (1832), papavérine (1848) III La chimie de synthèse a. Les dérivés de la morphine 1874 : découverte

(psychodysleptidiques) : Opiacés (opium et ses dérivés, morphine, codéine, héroïne), barbituriques hypnotiques non barbituriques tranquillisants (benzodiazépines) Amphétamines et dérivés (ecstasy), cocaïne (crack), autres (café, tabac) Cannabis, autres hallucinogènes, phencyclidine (PCP), solvants organiques, atropiniques, alcool. OPIACÉS Opium et ses dérivés (morphine, héroïne, codéine, méthadone) = analgésiques, narcotiques. - Héroïne : Dérivée de morphine, consommée sous forme injectable (IV), inhalée

1 interneurone enképhalinergique 1 action - (inhibitrice) sur 1 neurone médullaire nociceptif postsynaptique (= corne dorsale de la ME) morphine: fixation sur récepteurs opioïdes du neurone postsynaptique 2 donc, absence ou diminution activité de ce neurone 1 pas de transmission de message nociceptif au cerveau = action antalgique de la morphine 1 présence d'un titre + soin 1 THEME AU CHOIX UNE RESSOURCE INDISPENSABLE: L'EAU Exploiter les icebergs pour l'eau potable Réponses Attendues

restent minimes pour des concentrations entre 50 et 100 ng/l mais qu’ils apparaissent au-delà de 200 ng/l. Il semble donc que le taux analgésique efficace est assez proche du taux induisant des effets indésirables. La Kétamine, comme l’association Morphine et Benzodiazépine, risque donc de compliquer la détection d’un éventuel passage intravasculaire d’anesthésiques locaux. Quand sédater ? La sédation per ou préopératoire n’est donc pas sans risque au cours de l’ALR. On peut se poser la question de