Tracy Chevalier

etc... Au Moyen-Age, le héros garde des traits de caractérisation biens définis, il est vaillant, et cherche à prouver sa valeur aristocratique. On peut citer « Les chevaliers de la Table Ronde » par exemple, comme le Roi Arthur, qui va chercher à défendre la Grande-Bretagne face aux envahisseurs, mais aussi dans « Le chevalier à la Charrette », ou l’on peut voir que Lancelot part en quête pour essayer de délivrer la reine Guenièvre. Mais au fil de l’époque classique, la notion de l’héroïsation

lutte sans cesse du bien contre les forces du mal (chevaliers des croisades). La chanson de Roland (fin XIème s) raconte le retour de Charlemagne, empereur victorieux. Le roman de brut (1165) raconte les aventures mythiques du roi celte Arthur, Merlin l’enchanteur et la quête du Graal. Littérature courtoise (XII à XVème s) - La courtoisie est l’amour parfait, la politesse, le raffinement, la générosité et la loyauté, symbolisée par le chevalier qui admire sa Dame. Elle est diffusée par les troubadours

du roi Arthur, où Calogrenant, cousin d'Yvain, raconte l'aventure qui lui est arrivée: non loin du château était assis un paysan, qui lui raconta une aventure mystérieuse près d'une fontaine. Calogrenant partit alors, il dut se battre contre un chevalier très puissant. A la fin de son récit, Yvain dit qu'il voulu venger son cousin. Ce dernier décida de partir seul à la recherche de cette extraordinaire fontaine. Arrivée à la fontaine, Yvain et le gardien s'affrontèrent. Pendant le combat, le garde

L'épisode du Pré aux Jeux dans le Chevalier de la Charrette p. 49-54 1 Les romans de Chrétien de Troyes édités d'après la copie de Guiot (Bibl. nat. fr. 794), III, Le Ch (...) 1 L'épisode du Chevalier de la Charrette baptisé par M. Roques le Pré aux Jeux et qui occupe dans son édition les vers 1634 à 1828 a peu retenu l'attention de la critique1. Il passe pour un épisode secondaire, une amplification somme toute arbitraire dont le lien avec le reste du récit serait des plus lâches ;

Lancelot ou le Chevalier de la charrette est le titre le plus couramment utilisé. Cependant, les manuscrits qui nous en ont conservé le texte ne comportent pas de titre. Les indications qui figurent dans les manuscrits sont les suivantes : au début du texte : « Del Chevalier de la Charrete / Comance Crestïens son livre » à la fin du texte : « Godefroiz de Leigni, li clers, / A parfinee La Charrete » l'explicit : « Ci faut li romans de Lancelot de la charrete » On trouve aussi : Le Chevalier à la charrette2

sont versifiés . C'est à partir du XII qu'on va voir apparaitre ce qu'est réellement le roman , la plume d'un grand écrivain : Chrétien de Troyes . Il écrit des recit de chevaleries , il écrit aussi courtois , (ex : Yvain ou le chevalier au lion , Lancelot au chevalier à la charrette ) ce sont des recit autour de personnages toujours écrit en vers , en octosyllabe mais pour la premiere fois ils sont écrit en langue romane et le théme de roman ne désigne pas un genre littéraire à proprement parlé

1649. (C'est en novembre 1647 que son père lui donna en épouse Marie Héricart, une jeune fille âgé de 14 an. Ils eurent ensemble un fils, Charles, en 1653.) Pendant ses études, il fréquente un salon de jeunes passionner de littérature : « les chevaliers de la table ronde » et compose ses premiers vers. En 1654, Jean de La Fontaine publie sa première comédie : l'Eunuque, adaptée du poète latin Térence. Son père meurt en 1658, Jean de La Fontaine hérite des charges de maître des eaux et de la forêt

pouvons trouver dans la littérature française des références à des forêts magiques. Par exemple, la forêt de Brocéliande évoque le mystère. Cette forêt est très mythique dans les légendes arthuriennes. Dans cet endroit, nous retrouvons Merlin, les chevaliers de la table ronde, et des créatures magiques. Dans cette célèbre légende, Merlin l’Enchanteur meurt dans cette forêt à cause de son amour pour une petite fée, Viviane. Bien que cette histoire soit écrite au Moyen Age, il me semble que Baudelaire

tiers du xiiie siècle. Le seul exemplaire existant de ce texte se trouve dans un manuscrit rédigé à la fin du xiiie siècle, conservé à la Bibliothèque apostolique vaticane et contenant trois autres romans connus par ailleurs, Le Chevalier de la Charrette et Le Chevalier au Lion de Chrétien de Troyes et Meraugis de Portlesguez de Raoul de Houdenc. Le manuscrit n'est pas signé, mais les médiévistes s'accordent pour l'attribuer à Jean Renart. I Cette œuvre complexe et intrigante, sous une apparente

1641, il entre à l’Oratoire. Mais dès 1642, il quitte cette carrière religieuse, préférant lire L'Astrée, d’Honoré d'Urfé, et Rabelais, plutôt que Saint Augustin. Il reprend des études de droit à Paris et fréquente un cercle de jeunes poètes : les chevaliers de la table ronde, où il rencontre Pellisson, François Charpentier, Tallemant des Réaux, et Antoine de Rambouillet de La Sablière, qui épousera la future protectrice du poète Marguerite de La Sablière. Il obtient en 1649, un diplôme d’avocat au