Traditions Maroccain

a plus que les noms des cabinets qui sont étrangers. Les avocats sont du sérail et connaissent les juges qui, eux, ne font plus de différence et n’ont plus de préjugés comme cela a pu être le cas. Il faut cependant reconnaître que toutes les traditions ne se perdent pas pour autant. Le statut d’ancien Bâtonnier présente encore ces avantages même si, comme le dit le Bâtonnier Stasi « Avant, être Bâtonnier suffisait, maintenant cela ne suffit plus, c’est l’équipe autour du Bâtonnier ». Enfin

Cuisine et symbolique La cuisine tend, bien entendu, à satisfaire des besoins biologiques mais aussi à créer un lien social et à procurer du plaisir. En ce sens, la cuisine est une activité éminemment culturelle, liée aux traditions, aux savoir-faire locaux et permettant les échanges et le partage. En effet chaque pays a sa propre culture culinaire. Par exemple, au Maroc, on mange avec les doigts, les Chinois, eux, mangent avec des baguettes. Il y a donc beaucoup de choses à découvrir et à partager

défaillants. Les plus régulièrement stigmatisées sont les catégories populaires. On leur demande d’éduquer leurs enfants selon des normes souvent décalées par rapport à leur propre culture et à leurs pratiques sociales. En matière d’hygiène de vie, de traditions, de valeurs, il existe un énorme décalage entre leurs habitudes et ce que réclament les principes éducatifs. On veut que les parents éduquent leurs enfants selon des principes qui vont parfois à l’inverse de ce qui constitue leur quotidien.

droits de la personne : l'excision » (Fatou Keïta). Elle conçoit donc son œuvre dans le cadre des droits de l’homme, ou plutôt de la femme. C’est ainsi que, en plus de l'excision comme thème, Fatou Keïta réussit à faire une comparaison entre la tradition et l'occident afin de montrer la difficulté de mélanger les deux pour y trouver un bon équilibre. Elle raconte l'histoire d'une jeune fille africaine, Malimouna, qui refuse d'être excisée et qui réussit à le cacher jusqu'à son mariage forcé à l’âge

fruit de la rencontre d’une population ouvrière et d’une tradition horticole très spécifique : la culture des pêches en espalier, le long de murs blanchis à la chaux pour absorber le rayonnement solaire. Il subsiste encore des vestiges de ce patrimoine original dont on redécouvre actuellement la valeur. La municipalité s’attache à réhabiliter le bâti, en gardant les témoignages de l’architecture industrielle et les vestiges de la tradition horticole. Elle s’est donné l’objectif d’améliorer l’environnement

- Fiche de lecteur - 1/- Références bibliographiques : -Titre du livre : Construire avec le peuple (Histoire d’un village d’Egypte : GOURNA) -Auteur(s) : Hassan FATHY -Editeure : La bibliothèque arabe SINDBAD ; Collection : Bibliothèque arabe

Notre vision de l’identité L’identité nait de la filiation et de la transmission, c’est le socle des traditions populaires et orales (dont la langue), les coutumes et les mœurs, l’acceptation d’un passé commun (l’histoire) et la volonté de vivre ensemble dans l’avenir. L’identité, c’est une certaine façon de fêter la vie, d’honorer les morts, de regarder le monde et aussi de le conter, ce qui suppose une mémoire commune. L’identité d’un peuple est ce qui le rend incomparable et irremplaçable. Car

régulièrement transmis de génération en génération à l'intérieur d'une même famille suivant une tradition. Ce chaman pour la tribu semble être lié à l'au-delà et donc connaître les bonnes règles qui lui apparaissent, ou qui lui ont été dicté pour dominer les autres. Les caractéristiques de cette domination traditionnelle, qui sont le fait d’obérer à une personne en particulier, la conformité des ordres à partir de la tradition sont donc bien retrouvés. Nous prendrons en deuxième exemple, la religion catholique

l'hypocrisie des Blancs et des inégalités entre les deux peuples. C’est sans avoir l’air d’y toucher, par une ironie subtile, que l'auteur critique implicitement la colonisation qui cherche à détruire le plus complètement possible les coutumes, les traditions et même la mentalité des peuples africains. Il s’agit d’un livre qui invite à la réflexion sur un moment de notre Histoire, la colonisation, en montrant le point de vue des colonisés, en l’occurrence les Africains. (Gaëlle ALLARD) Retour en

• Deux dernières scènes de la pièce. Dénouement : châtiment de Don Juan par le ciel après son ultime péché, l’hypocrisie. • Scènes où apparaissent deux personnages surnaturels (deus ex machina) • Dernier duel entre Don Juan et le Ciel : dénouement classique ? I. Le ciel descendu sur scène 1° Une dernière tentative pour sauver Don Juan : le spectre a)spectre, femme voilée qui peut rappeler toutes les femmes trahies par Don Juan personnage religieux « voilée » qui rappelle Done Elvire.