Tragique Monstrueux Terrifiant

nous comprenons les raisons qui ont conduit à la punition de Prométhée), ensuite, parce que les « actions » sur scène sont très souvent des actes de discours : la confession de Phèdre à Hippolyte est un acte de parole qui provoque la catastrophe tragique dans la pièce de Racine. Dans le très célèbre chapitre VI de La Poétique d'Aristote, celui-ci affirme que « La tragédie est donc l'imitation d'une action noble, conduite jusqu'à sa fin et ayant une certaine étendue, en un langage relevé d'assaisonnements »[6]

La lacune                          5. Bifurcation                          6. L’ordre du texte (pp. 40-42)                  7. Numéro zéro                          CHAPITRE II : TRAGIQUES 1. Faust et Méphisto (p. 43)                     2. Première lecture                         3. Tragiques (pp. 44-52)                     4. La ligne d’illusion                     5. Rêve très ancien                         CHAPITRE III : ANTIQUITÉS 1. Rêve et autobiographie       

devient fascinante car elle est évoquée par sa fille. C’est en grande partie le regard de l’enfant qui permet à ce personnage en apparence banal de sortir de l’ordinaire. Dans Les Raisins de la colère de Steinbeck, Man devient l’égale des héroïnes tragiques. Même un auteur naturaliste comme Émile Zola cède parfois à cette tentation. Dans Nana, le personnage éponyme devient lui aussi fascinant par sa capacité à séduire puis à détruire la majorité des hommes du roman. Nana est même assimilée, à la fin

la rafle, elle tait tudiante en palontologie. La passion pour les diplodocus ne lui avait paslaiss trop le temps de se regarder dans lesmiroirs ni de consacrer lamour une si radieuse jeunesse. Son intelligence rendait sa splendeur encore plus terrifiante. Les organisateurs ne tardrent pas la reprer et voir en elle, raison, un atout majeur de Concentration. Quune fille si belle et si gracieuse ft promise une mort laquelle on assisterait en direct crait une tension insoutenable et irrsistible

Mohamed Dib La Grande Maison (1952), Le Métier à tisser ( 1957) et L’Incendie (1954), Les Chemins qui montent (1957) de M. Feraoun, La Colline oubliée (1952) et Le Sommeil du juste (1955) de Mouloud Mammeri peuvent être considérés comme des récits tragiques qui décrivent le déchirement de jeunes gens ayant étudié dans des écoles françaises au sein de sociétés traditionnelles influencées par le modèle européen. Parmi les autres écrivains qui parlent de cet écartèlement entre deux cultures dans les années

abaissée, elle la promena autour du visage de l'enfant endormie dont elle voulait pénétrer le mal secret dans la naïveté du sommeil : « Oh ! – fit-elle avec une indicible horreur. – Je ne me suis pas trompée ! J'avais bien vu… Elle a le masque. » Mot tragique, qui exprimait pour elle une chose terrible, et que Lasthénie, la virginale Lasthénie, n'eût pas compris, si elle l'avait entendu ! Et, s'acharnant à la regarder, après avoir déposé sur la table de nuit la lampe qu'elle tenait : « Oui ! elle l'a

de terribles cataclysmes aient pu affecter sa planète, l'homme rangea cette idée au rang de croyance religieuse ou ésotérique avec un Lucifer et une Apocalypse. Cependant, l'homme découvrit aussi les indices irréfutables témoignant de ce passé terrifiant de sa planète, comme par exemple les cendres d'origine étrangère recouvrant les fonds sousmarins, eux-mêmes entaillés par un immense cañon ( qui traverse tous les océans ) preuve matérielle d'une torsion phénoménale et la Terre, frémissante de

grimper dans l’hélicoptère, je m’étais embarqué avec mes cantines dans l’avion de Sydney, si du haut de son décollage vertical, avant qu’il ne s’élançât en rugissant vers les terres chaudes, j’avais dit adieu pour toujours à la base, à la glace, au monstrueux continent froid, que serait-il advenu ? Qui aurait été près de toi, ma bien-aimée, au moment terrible ? Qui aurait vu à ma place ? Qui aurait su ? Celui-là aurait-il crié, hurlé le nom ? Moi, je n’ai rien dit. Rien... Et tout s’est accompli... Depuis

ils étaient de loin plus forts et plus agiles que nous. Quelques rues plus loin, ils nous encerclèrent. Leurs dents étaient immondes, leurs canines tout particulièrement, beaucoup plus grandes que celles de tout être humain. Leurs visages étaient terrifiants, blancs presque transparents, et leurs yeux étaient rouges. Je n’en avais jamais vu une telle couleur chez les humains. Des petits yeux rouges et cruels. Claude et moi étions paralysés par la peur. Claude avait beau les supplier de prendre sa bourse

pas trop réussi… » « On avait pas mal picolé… » Et puis, les fi lles ont commencé à en parler entre elles, et enfin, après de nombreuses recherches, de questionnements, de regroupements d’informations, nous sommes arrivées à la conclusion terrifiante : LES HOMMES NE BANDENT PLUS Et le pire, c’est que les filles pensent que c’est de leur faute. « Je l’ai pris pour moi, je dois pas être assez excitante. » « Je ne dois pas savoir m’y prendre. » « J’ai peur de l’avoir brusqué… » Réveillons-nous