Tragique Monstrueux Terrifiant

on commence à s’en lasser, on n’a besoin d’autre chose, comme de l’action, on aime leslivres où il y a du suspense. Jacques Laccarière, un romancier, a dit : « les gens ne s’intéressent pas aux héros heureux. Il leur faut du tragique, du mythique, du monstrueux, du terrifiant. » Nousallons donc voir que, tout d’abord, nous pouvons être d’accord avec la citation mais ensuite, que ce n’est pas toujours le cas. La citation de Jacques Lacarrière peut être vraie : parce que le lecteurpeut s’identifier

le docteur ne portait aucune trace de coups, son visage avait été terriblement déformé par la frayeur. Comme si Sir Charles avait vu un monstre terrifiant. Car dans la famille des Baskerville, comme dans toutes grandes familles britanniques qui se respectent, court une légende, horrible et affreuse. Sir Charles était convaincu qu'une malédiction tragique s'attachait à sa famille. Le soir de sa mort, le docteur Mortimer a trouvé les empreintes d'un animal gigantesque. Et puis, il y a toutes ces

est à un moment clé de sa vie et l’on y découvre sa véritable nature. C’est pourquoi Racine se défend d’avoir changé sa véritable personnalité. Ce qu’il donne à voir c’est la construction et la révélation du futur tyran que Racine reconnait comme terrifiant. Cette préface pose donc la question du monstre et de comment nait un monstre. Le mot monstre vient du latin monstrum et signifie un fait prodigieux et en même temps un avertissement des dieux. En français moderne, il peut désigner une personne

L’importance du meurtre est aussi révélée par le caractère tragique du récit. En effet, Zola utilise des techniques provenant de la tragédie. À titre d’exemple, il utilise de l’ironie tragique à plusieurs reprises : « Fichtre ! que c’est froid ! s’écria-t-il [Camille]. Il ne ferait pas bon de piquer une tête dans ce bouillon-là. » (l. 277-278) La victime ignore les intentions des assassins, alors que le lecteur les connaît ; l’ironie tragique ponctue le drame et implique le lecteur. La technique est

meurt dans ses bras. La scène 5 de l’acte II expose l’aveu des sentiments de Phèdre à Hippolyte et leurs réactions. Nous pouvons alors nous demander en quoi ce second aveu fait de Phèdre une héroïne tragique. Dans un premier temps, nous étudierons l’aveu audacieux de Phèdre avant d’analyser le monstre tragique incarné par Phèdre. Première partie : Phèdre avoue ses sentiments amoureux à Hippolyte dans ce passage, c’est un aveu audacieux, courageux et osé de sa part. En premier lieu, on peut

qui se transforment en tout ce qu’il touche) donc alchimistele poète est désigné comme “le plus triste des alchimistes” le poète souffre de ses pouvoirs poétiques tout comme midas (ses pouvoirs d’alchimistes l’empêchent de vivre) donc autoportrait tragique “je” car le poète se dépeint comme un alchimiste inversé (+ échec du poète) CORRESPONDANCESpoète la nature -> lieu sacré + symbolique synesthésies rôle du poète fondamentale (intermédiaire entre la nature et les hommes) passer le lecteur de la

parallélisme. Médée apparait ici comme un personnage monstrueux suite au double meurtre de ses enfants qu’elle a commis « l’odeur écœurante de chair et de fumée » montre que les enfants brûlent mais leur mère ne fait part d’aucun remords. Elle se venge sur des innocents ignorants la situation ce qui lui donne un caractère inhumain et renforce la notion de monstruosité. Malgré le fait qu’elle « embrasse » et « enlace » ses enfants, l’aspect tragique et inhumain l’emporte sur toutes les qualités et le

de la sirène femme- oiseau est le seul que l’on connaisse et qui continue à se maintenir. En 1214, on retrouve cette mention chez Jacques de Vitry dans Orientalis sive Hierosolymitana historia Les sirènes sont rangées parmi les oiseaux marins monstrueux. Cependant à cette ancienne représentation va s’en opposer une nouvelle, c’est alors un véritable coup de force dans la représentation traditionnelle de la sirène B . Le type Nouveau En 1240, C’est autour de Gervais de Tilbury dans les Otia Imperialia

INTRODUCTIONPhèdre est une tragédie classique en 5actes écrite par Racine en 1677. La scène 7 de l’acte V est la dernière de la pièce, le dénouement. P après s’etre empoisonnée, avoue à son mari thesee que c’est elle qui vouait une passion incestueuse avec son beau fils hypolite et non l’inverse, comme a pu le lui faire croire Oenone la nourrice Thesee pleure alors sur son fils innocent qu’il a fait tué par un monstre marin En quoi cette scène 7 de l’acte 5 est-elle caractéristique d’une scène de

le domaine de la médecine comme dans celui de l’amélioration de la vie quotidienne de certains hommes, mais aussi ce progrès peut être regardé sous une face beaucoup plus négative, voire plus tragique, celle de l’horreur et de la barbarie. II- Enfin il y a eu des comportements monstrueux au nom de la science, de la technique, de la modernité. Des expérimentations sur l'homme ou l'animal. Des techniques polluantes. Des armes épouvantables. Aujourd'hui on travaille dans des laboratoires