Train de nuit

assez longs, dont on marque le début par une rentrée à droite. Ce coeur qui haïssait la guerre voilà qu'il bat pour le combat et la bataille ! Ce coeur qui ne battait qu'au rythme des marées, à celui des saisons, à celui des heures du jour et de la nuit, Voilà qu'il se gonfle et qu'il envoie dans les veines un sang brûlant de salpêtre et de haine. Et qu'il mène un tel bruit dans la cervelle que les oreilles en sifflent Et qu'il n'est pas possible que ce bruit ne se répande pas dans la ville et la

fait sa scolarité au pensionnat du lycée Michelet, à Vanves, puis des études de Lettres classiques à la Sorbonne avant d'obliquer vers l'étude du grec moderne à l'Institut des langues orientales. Il vit de travaux divers (marionnettiste, gardien de nuit, traducteur indépendant, enseignant, etc...) avant et après son service militaire en Allemagne puis il entreprend de nombreux voyages vers la Grèce et en Méditerranée. Ses premiers textes sont publiés dans la N.R.F. en 1977. Entré dans les services

l’engagement. Voyager par train Le voyage en train est de plus en plus populaire car il offre une multitude d’avantages par rapport aux voyages en avion, en automobile, ou en autobus: Le train part à l’heure Le train arrive à l’heure Le train est confortable Aucun problème de stationnement Pas de bouchon de circulation Le train permet d’observer le paysage Le train nous mène à des endroits inaccessibles en automobile En train on peut manger et boire Le train est plus rapide que l’automobile

Bisson Charlotte 2GTFFiche de lecture : La Nuit de ValognesLa Nuit de Valognes est une pièce de théâtre écrite par Éric-Emmanuel Schmitt. Éric-Emmanuel Schmitt est un écrivain, dramaturge et réalisateur belge né à Lyon en 1960. Durant sa jeunesse, sachant déjà qu’il veut devenir écrivain à la suite d’une représentation de Cyrano de

Germinal Première partie I (p.59-71) L’homme en marche sous une nuit sans étoiles en mars qui venait de Marchiennes. Son nom est Etienne Lantier, il est machineur et il est à la recherche d’un emploi selon la présentation qu’il se fait lui-même devant le vieux Bonnemort (p61), la première personne qu’il rencontre dans son chemin vers Voreux. la fosse de Voreux : “Cette fosse, tassée au fond d'un creux, avec ses constructions trapues de briques, dressant sa cheminée comme une corne menaçante

s’effrange dans le souffle de la brise. Junior baisse la tête à la manière d’un galopin pris en faute. D’un doigt désemparé, il se gratte le sommet du crâne. — J’sais pas comment j’ai échoué par ici. — Ah ! oui… — C’est la vérité, Ach. J’étais en train de me faire du souci en marchant et j’sais pas comment j’ai échoué par ici. — Menteur ! frémit Ach de la tête aux pieds. Tu n’es qu’un fieffé menteur, Junior. Tu mettrais ta langue dans de l’eau bénite qu’elle sentirait le caniveau. — Je t’assure…

Blâme sur la société La nuit dernière, j'ai fait un rêve. J'ai rêvé que la Terre s'était arrêtée de tourner, et j'en étais presque soulagée. Ça peut paraître fou, mais je n'étais pas effrayée. Au contraire, j'étais sereine. Non, pas que je déteste la vie. Je l'aime, la vie. Je ne déteste pas non plus le monde. Non, pas vraiment. Ce que je déteste, c'est ce qu'ils en ont fait. Je déteste la société dans laquelle on vit. Ne m'en voulez pas, moi, je ne suis rien d'autre qu'une enfant désillusionnée

d'Emile Zola. Ce dernier est un auteur du 19ème qui s'est fait connaître par ses récits réalistes comme Germinal dont le thème est la vie des mineurs dans le nord ou l'Assomoir, ouvrage consacrés aux ouvriers.Dans cet extrait, il décrit le trajet d' un train, comparé ici à une bête, emmenant des soldats en guerre. Dans une première partie, nous verrons comment l'auteur rend son texte réaliste. Dans une seconde partie, nous remarquerons une amplification complète et enfin nous terminerons en montrant le

finira d'ailleurs par assassiner Séverine, sa maîtresse, car pour lui sexualité et mort sont indissociables. Après avoir manqué de tuer la jeune Flore, Jacques part dans la campagne, où il erre en méditant sur sa famille et sa tare, alors que passe un train « hurlant », symbole de la pulsion de mort qui l'habite...  Sommaire du commentaire composé 1. Un personnage torturé 1. Les questionnements de Jacques 2. Le naturalisme dans le récit 2. Le déterminisme d'après Zola 1. La « fêlure héréditaire » 2. L'aspect

Présent de narration : il rapporte des actions passées au présent . Il rend l’action plus vivante, donne une impression de “direct” alors que les faits appartiennent au passé. Il est mis à la place d’un passé simple. 
 Ex : La nuit était sombre. Un cri déchira la nuit. Soudain la porte s’ouvre. 
 Présent de vérité générale : c'est le présent des définitions, de ce qui est toujours vrai. 
 Ex : Le chat est un animal à quatre pattes. Un mort n’est pas jaloux. Présent pour le passé récent :