Traité de Chambord

ceux-ci étaient partisans de la paix, alors que les républicains voulaient continuer la guerre. Il n’y a pas eu de restauration car en 1871 les monarchistes étaient divisées en deux camps. Il y avait donc les légitimistes (droite, partisans du comte de Chambord, pour une monarchie absolue), et les orléanistes (centre, partisans d’une monarchie parlementaire, du comte de Paris). En raison de cette division entre les monarchistes, l’assemblée ajourne sa vocation constituante et se consacre à la conclusion

Nationale élue en 1871 est divisée. Certes, les monarchistes y sont majoritaires, mais ils se partagent en deux factions qui soutiennent chacune un prétendant au trône différent. Sur 396 députés monarchistes, 182 légitimistes soutiennent le Comte de Chambord, qui est le petit fils de Charles X (frère de Louis XVI ayant régné sur la France de 1824 à 1830). Les orléanistes soutiennent le comte de Paris, petit fis de Louis Philippe qui fut le dernier roi à régner sur la France, de 1830 à 1848. Le contexte

d’agitation, un gouvernement provisoire de la défense nationale est constitué par des modérés (Gambetta ou J. Favre). Il proclame la IIIe République et conduit les opérations militaires mais doit signer un armistice le 28/01/1871. Il reste à signer un traité de paix et élaborer une nouvelle constitution, or le gouvernement n’est pas habilité pour le faire, il faut des élections qui sont fixées au 28/02/1871. Une convention d’armistice est signée le 28/01/1871 mais les élections reposent sur un malentendu

important de réélection, ce qui favorise la « professionnalisation » des membres de la Chambre des Représentants ; d’autre part, parce qu’elle se traduit par la démagogie des représentants dont la préoccupation majeure est leur réélection. En forçant le trait, on dit, parfois, que sur les deux années de mandat, les représentants passent la première à faire oublier leurs promesses électorales et la seconde à en formuler de nouvelles ! Par ailleurs, les élections ayant lieu tous les 2 ans et les années paires

Nationale élue en 1871 est divisée. Certes, les monarchistes y sont majoritaires, mais ils se partagent en deux factions qui soutiennent chacune un prétendant au trône différent. Sur 396 députés monarchistes, 182 légitimistes soutiennent le Comte de Chambord, qui est le petit fils de Charles X (frère de Louis XVI ayant régné sur la France de 1824 à 1830). Les orléanistes soutiennent le comte de Paris, petit fis de Louis Philippe qui fut le dernier roi à régner sur la France, de 1830 à 1848. Le contexte

Charlemagne est couronné Empereur d’Occident.· 814 : mort de Charlemagne.· 843 : traité de Verdun : partage et éclatement de l’Empire Carolingien.· 885 – 887 : pillage de Paris par les Vikings.· 888 : mort de Charles le Gros, dernier roi carolingien de Francie occidentale. Début des deux histoires nationales de l’Allemagne et de la France et origine des divisions politiques de l’Europe jusqu’à aujourd’hui.· 911 : traité de Saint Clair sur Epte – fondation de la Normandie.· 962 : Otton 1er se fait couronner

où des massacres sont perpétrés (Exemple : Nuit de la Saint Barthélémy), où des partis politiques formés à la cour du Roi…. Auteurs éminents de la littérature : Montaigne, Ronsard, Du Bellay, de l’architecture avec les châteaux de la Loire et de Chambord, un siècle qui économiquement va mal et un siècle aussi qui est l’explosion de l’impérialisme européen sur le reste du monde. La France elle aussi avait un empire colonial. En réalité c’est au cours du 19ème et au début du 20ème siècle qu’elle l’a

1815, les monarques victorieux de l’Empire se réunissent en Congrès à Vienne afin de traiter du sort des territoires repris. Par le traité de Paris, la France perdit les conquêtes napoléoniennes et se retrouva limitée aux frontières de 1792, elle garde donc la Savoie, le Comtat Venaissin, une partie de l’Alsace et la Saar. Cependant, suite au Cent Jours, au retour de Napoléon et à sa défaite à Waterloo, le second Traité de Paris, le 20 Novembre 1815, les mesures contre la France se durcissent, elle perd

pas Déplacée à Bordeaux à la suite de la défaite face à la Prusse, l’Assemblée nationale fait d’Adolphe Thiers le chef du pouvoir exécutif de la République française le 17 février 1871. Il se charge de finaliser la fin de la guerre avec Bismarck (traité de Francfort du 10 mai 1871) et de réprimer dans le sang l’insurrection des Parisiens qui proclame la Commune. Le 31 août 1871, Thiers obtient le titre de président de la République qui, à ce moment-là, lui permet de cumuler les fonctions de chef

été établi dans la rue aucun régime stable n'en a découlé. La France est occupée, les allemands sont aux portes de Paris et Bismarck veut inscrire les dettes de guerre extrêmement lourdes dans le traité de paix et que le pouvoir qui signera ce traité soit légitime pour être sûr que les conditions de ce traité soient respectées. Les républicains vont alors organiser des élections à la demande de Bismarck pour établir un pouvoir légitime. Il y a à cette époque une très grande confusion politique et des