Traité De La Souveraineté Du Roi 1632

s’´tendre a un nombre de domaines toujours e e ` plus importants, il n’en est pas moins un principe toujours r´cent. C’est un e principe de l´gitimit´ proclam´ a travers la r´volution fran¸aise et am´ricaine. e e e e c e La souverainet´ nationale ´tait substitu´e a une souverainet´ de droit divin e e e e et non nationale. Autre exemple, Ath`nes entre le 8e siecle et le 5e siecle a ´t´ gouvern´e au e ee e nom du principe d´mocratique. Un certain nombre d’auteurs voient en cette e p´riode un v´ritable

1er : l’absolutisme monarchique. 6 2.1.1. Section 1 : Jean Bodin (1530-1596) 7 2.1.1.1. Introduction 7 2.1.1.1.1. Quelques éléments de biographie. 7 2.1.1.1.2. Les intérêts de Jean Bodin 7 2.1.1.2. Paragraphe 1 : La souveraineté, Puissance d’une République 7 2.1.1.2.1. La République 7 2.1.1.3. Paragraphe 2 La typologie des régimes politiques chez Jean Bodin 8 2.1.2. Section 2 : la doctrine absolutiste en France au XVIIe et XVIIIe siècle. 10 2.1

_____________________________________________ 4 L'administration du politique__________________________ 4 Chapitre 1 : La monopolisation étatique des fonctions gouvernementales 4 A- L'organisation étatique ____________________________________________ 4 B-Souveraineté nationale et nouvelles formes d'action publique _____________ 11 Chapitre 2 : __________________________________________________ 15 Le pouvoir bureaucratique _____________________________________ 15 A- le modèle Weberien : ____________________________________________

de 250 000 hommes. La création d'une armée regroupant des français de différentes origines sociales et géographiques favorisé le sentiment national et communautaire. L'armée a aussi permis à la monarchie de se montrer sous un jour favorable, avec un roi soucieux de la défense de son pays et de ses sujets mais aussi conquérant et entreprenant dans ses campagnes. La réforme de l'armée amène le développement de nouveaux armements et de nouvelles stratégies militaires. L'armée va être mieux organisée :

Gaule. Ces peuples sont indépendants mais vivent en bonne entente. On ne les connaît que grâce aux témoignages littéraires et archéologiques. Cette civilisation est très variée selon les lieux et les époques, mais aussi très riche. On observe des traits communs entre ces peuples sur les plans culturel, social et institutionnel. Sur le plan culturel, les Celtes forment une communauté linguistique grâce à des langues relativement proches. Le tronc commun à ses langues a donné naissance au breton et

prédécesseurs, Hobbes ne soulève plus la question du choix du meilleur régime, mais il contribue à fonder la politique sur la "vérité effective des choses", à la façon de Machiavel, et s'interroge sur l'obéissance légitime et par conséquent sur la souveraineté. L'état de nature qu'Hobbes décrit est un mode de vie impitoyable et insupportable : « Homo homini lupus » ; dans l’état de nature, c’est la guerre de tous contre tous et de chacun contre chacun ! Ainsi, les hommes, pour préserver leur vie et pour

franche rupture du peuple avec sa Monarchie. Durant les Temps-Modernes, les monarques accroissent leur autorité, ils concentrent de plus en plus les trois pouvoirs politique sans toutefois de déterminisme sous la dynastie des Bourbons. Louis XIV, Roi Soleil en est le symbole. On assiste à cette époque à un éveil des consciences des individus, travaillés par l'essor scientifique et philosophique. Le Christianisme se déchire, il redevient pluriel avec une multitude d'Églises. La société d'Ordres

au 16ème siècle. C’est une période au cours de laquelle la royauté développe progressivement sa souveraineté. D’abord sur le plan intérieur, en dominant la seigneurs féodaux, et ensuite sur le plan extérieur en affirmant son autonomie politique par rapport au pape et à l’empereur d’Allemagne. Cette lente reconquête s’accompagne d’une intervention croissante de la royauté dans le domaine du droit. Le roi développe son activité normative en intervenant dans le droit coutumier et dans le domaine législatif

une action volontaire et réciproque, active et organisée ; sa finalité étant pour chacun des protagonistes d’imposer à l’adversaire sa volonté. La notion de guerre doit être nettement distinguée des différentes formes de lutte et d’opposition. Le trait le plus frappant de la guerre est son caractère de phénomène collectif. C’est en cela qu’elle doit être différenciée des actes de violence individuels. Certains comme Clausewitz (cf. page7) considèrent la guerre comme un « acte de violence dont

qui a donc toutes les autorités sur les Hommes, roi y compris et la théorie des deux glaives, c'est-à-dire les glaives temporelles et spirituelles appartiennent à l’Église qui confie les premiers glaives au roi car le pouvoir spirituel est déclaré supérieur au pouvoir temporel. Saint Thomas d’Aquin (1224-1274) : ses œuvres principales sont « Du royaume »  et « Somme Théologique ». Pour Saint Thomas D’Aquin le but du pouvoir vient de Dieu, la souveraineté appartient au pape et les Hommes sont liés aux