Transactions Des Brics

LA LETTRE VERNIMMEN.NET • ACTUALITE : L’analyse financière des BRICs • TABLEAU DU MOIS : Le coût du crédit aux entreprises en France • RECHERCHE : indépendants La valeur des administrateurs N° 93 Décembre 2010 Par Pascal Quiry et Yann Le Fur • QUESTION ET REPONSE : L’assurance de la garantie de passif *** ACTUALITE : L’analyse financière des BRICs Depuis trois ans nous avons étudié la situation financière des principaux groupes cotés de Chine (1), d'Inde (2), du Brésil (3) et de la Russie

lieux centraux de la mondialisation, d'autres comme des peripheries, voire des marges. I Poles et espaces majeurs de la mondialisation 1 La Triade : des espaces dominants → Une concentration de richesses La Triade → EU, UE et Japon – 92% des transactions financières – 65% du PIB mondial – 2/3 des échanges commerciaux … Pour 11% de la pop mondiale. – 3 poles focalisant encore les flux mondiaux. → Une concentration de pouvoir – Pouvoir éco → bourses de New York ( Wall Street), londres (La City)

(banques, compagnies de commerce, etc.) sont présentes dans toutes les grandes places commerciales mondiales. La domination britannique est également financière, puisque la livre sterling, fondée sur l’étalon-or, est la devise internationale de transaction et de réserve. Le Royaume-Uni est également à l’origine des principaux flux de capitaux dans le monde. Le pays entretient des liens privilégiés avec le monde anglo-saxon : les Etats-Unis, les colonies (Inde et colonies d’Afrique). Les flux commerciaux

bien qui a prit quel risque. Ainsi, le marché des produits dérivés représente la somme colossale puisque le montant des transaction s'élève à 585 655 Milliards USD soit 10 fois le PIB mondial. 3. La croissance soutenue de l'Inde, du Brésil et du Vietnam peut s'expliquer tout d'abord par l'ouverture de leurs marchés. Deux de ces trois pays, l'Inde et le Brésil, font parti des BRICS, Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud, les cinq pays considérés comme les plus importantes des grandes puissances

maintient jusqu’en 2003 grâce à une amélioration structurelle de la compétitivité de l’économie française Depuis 2003 : les parts de marché de la France dans les échanges mondiaux diminuent face à l’émergence de nouvelles puissances économiques -> BRICS 2011 : les exportations françaises représentent 5% des exportations mondiales ; la France est désormais au ème 6 rang mondial Quelques chiffres - Commerce extérieur français en juillet 2012 : -4.2 milliard € - Soldes des échanges en 2011 : - 70 milliards

boursiers, de recherches dans les nouvelles technologies, de production industrielle mais qui connaissent un ralentissement du à un déclin du commerce, à une faiblesse due à la crise et à un vieillissement de la population. Plus récemment sont apparus les BRICS, que l'on qualifie généralement de principaux pays émergents (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud dont la croissance économique est rapide et le PIB important). L'industrialisation ou révolution industrielle est un changement lié à un

donc dépasser un ratio imposé afin de ne pas mettre en péril l’épargne de ses clients. Seulement, en vue de l’évolution économique par une mondialisation effrénée, des transactions financières de plus en plus rapides et complexes mais aussi des besoins en constante croissance du fait de l’émergence de nouveaux cœurs économiques (BRICS), les réglementations bancaires précédemment mises en place sont devenus caducs, voire obsolètes. Outre ces informations, il faut rappeler que l’économie mondiale a traversé

 Devoir Maison d’ESH Qu’est-ce-qu’une bonne monnaie internationale ? Le 15 juillet dernier, les BRICS ont signé un accord créant une banque de développement basée à Shanghai ainsi qu’une réserve de change commune. Dans quel but ? Non seulement pour prévenir l’effet-tequila mais également avec pour objectif la remise en cause de l’hégémonie du dollar qui est aujourd’hui encore la devise considérée comme monnaie internationale. D’abord qu’entendons-nous

de Dumitrescu et Hurlin (2011) ont été retenues pour tester la (non) causalité au sens de Granger (1969) entre le taux de change réel et la croissance économique dans les pays en développement. Nous avons choisi un panel de trois groupes de pays (BRICS 1, l’organisation de coopération de Shanghai (OCS) 2, et les Tigres asiatiques 3) et utilisé le flux d’investissements directs comme variable de contrôle. Les résultats indiquent que le test de Konya (2006) rejette moins l’hypothèse de non causalité

répondre aux besoins de son industrie. Puis il ré- exporte les produits manufacturés partout sur la planète= 1ère flotte maritime du monde. ► Place financière majeur avec son quartier de La city à Londres et ses nombreuses banques. ► la moitié des transactions financières mondiales s’effectuent en livre sterling et près de la moitié des capitaux investis dans le monde sont britanniques. ► Il appuie sa puissance sur son immense Empire colonial (400 millions de personnes et 30 millions de km²), avec