Transgression Générique

social : pratiquer une fellation à un partenaire relève aussi pour le mâle de condition libre du crime de lèse-virilité. C'est une obscénité sans nom! En revanche, en être le destinataire est valorisé. L'immoralité chez les Anciens naît de la transgression des rôles. Peu importe, en revanche, que le partenaire soit un homme ou une femme. A chacun ses goûts! L'empereur Claude n'aimait que les femmes. Le grand poète Virgile, que les hommes. Jules César appréciait les deux sexes indifféremment. Les

yeux, transforme-t-il ce portrait de la laideur en éloge de la beauté ? *** Le titre « Les petites vieilles» → L’adjectif substantivé « vieilles » précédé d’un article défini semble ainsi désigner les vieilles personnes d’une manière générale et générique. Pourtant, l’adjectif « petites » ajoute une connotation affective qui attire l’attention du lecteur. 1er mouvement : Portrait des petites vieilles, comme des êtres déshumanisés Vers 1 : Le poète introduit ici son sujet dans un cadre spatial,

guerre, des activités professionnelles ou de loisir (équitation, chasse, pratique des armes...). De cette bipolarité résultent des possibles narratifs multiples, au sein desquels la fenêtre intervient comme lieu de rencontre, de désir d’évasion, de transgression... Références -L’intérieur comme espace féminin • La peinture de Vermeer de Delft : 27 tableaux sur les 35 qui lui sont attribués représentent des personnages féminins placés dans un décor intérieur, 14 comportent une fenêtre. La vue extérieure

artificiels (// L’interdit de Décalogue). L’être artificiel pourrait être perçu comme une idole et être révérencé à la place du Dieu unique, on ne saurait s’élever au rang du créateur divin. Dans l’histoire occidentale, il y a toujours une idée de transgression qui accompagne la création de l’être artificielle. (II) Du Moyen-Âge à la Renaissance Les légendes, avec par exemple La Salle aux Images de Tristan, dans laquelle Tristan s’épenche auprès d’une statue, qui devient le simulacre de l’amour perdu

définir absolument un ensemble d’œuvres littéraires ? Y a-t-il des ensembles d’œuvres présentant les mêmes points communs ? Ou des œuvres-genre ? M. Blanchot y répondra : « Un livre n’appartient plus à un genre ». Etudiant à fond les théories génériques, une idée se met en évidence : le genre littéraire n’est pas quelque chose de stable, de rigide. En revanche, c’est malléable. Quand toute époque apporte l’évolution des conceptions idéologiques, politiques, sociales et historiques, de même l’expression

entre une narration et une réflexion incompréhensible. Lautréamont aime aller toujours plus loin dans la transgression. Les chants de l’ouvrage sont divisés en strophes. Mais c’est un texte qui est fondé sur une esthétique de la rupture : chaque strophe peut donc être lue comme un fragment poétique autonome. Les Chants de Maldoror, au final, résistent à toute tentative de classification générique. Dans le sixième chant, Lautréamont parle, à quelques lignes de distance, de sa „poésie“ et de ses „récits“ ;

suivantes, réalisées par Cédric Chaigne : 1- Avant la projection Questionnaire sur l’affiche Photogrammes. À partir de trois photogrammes, essayer d’imaginer le ton du film, son contenu. Recherche sur la Martinique 2- Un roman, un film Le générique : début et fin. L’adaptation cinématographique. Repérer les différences et les similitudes entre le roman et le film, mettre en avant le travail d'adaptation cinématographique. Le point de vue. Les dialogues. Les récits de Médouze. 3- Les personnages

par Jouanneau. Très bonne connaissance du théâtre occidentale, il a des goûts très éclectiques, séduit par des auteurs comme Feydeau chez qui il apprécie les choix des mots, les quiproquos. Chez Largarce il n’y a pas de cloisonnement générique. Son œuvre va couvrir à la fois tous les genres et tous les registres. Concernant ses propres textes, il s’est engagé dans une démarche d’écriture palimpseste, c’est-à-dire qu’il reprend des textes antérieurs (hypotexte) pour en faire des nouveaux

strictement structuraliste, nous pouvons dire, à la suite de R. Caillois que la fête réunit trois aspects (rassemblement, temps mythique et recréation du chaos primitif) qui correspondent aux trois moments signalés par W. Turner (rassemblement, transgression, recréation). Toute l’école sociologique est dans le sillage de Freud, Totem et Tabou, selon lequel ‘’une fête est un excès permis, voire ordonné, une violation solennelle d’une prohibition’’1. -------------------------------------------------

SOMMAIRE Introduction (p. 2) 1 La transgression de l’univers mythique du western classique par l’histoire 1. Le mythe de la frontière (p. 3) 2. Coutumes et lois (p. 5) 3. Le surgissement du Mal (p. 6) 4. La transgression de la nature par la civilisation : la nostalgie d’un monde perdu (p. 9) 1. Le statut du héros et sa place dans le monde 1. Individualisme et société (p. 10) 2. La fêlure (p. 12) 3. Dilemme et rachat (p. 14) 4. La fin de l’épopée (p.