Transkei

gouvernement entame la politique des bantoustans, cette politique consiste à regrouper les réserves tribales d’Afrique du sud, celles ci étaient plus souvent dispersées en entités autonomes et promises à l’indépendance. Pendant l’apartheid, 4 bantoustans : -Transkei -Ciskei -Venda -Bophuthatswana sont proclamés indépendants et libre. Les 6 autres : -Lebowa -Gazankulu -Kwandebele - Kangwane -Kwazulu -Qwaqwa accèdent à l’autonomie interne. En vérité  l’indépendance des 4 bantoustans et l’autonomie

enseignements de maths, de sciences sociales, d'Histoire et de géographie du niveau secondaire. 1976 • Loi sur l'interdiction aux Noirs l'accès à la formation professionnelle. Nelson Mandela : Né le 18 juillet 1918 dans l'ancien Bantoustan du Transkei à l'est de la province du Cap Oriental. Son père, Gadla Henry Mphakanyiswa, était un chef des Thembu, un sous-groupe de l'ethnie Xhosa, la deuxième en importance, après les Zoulous. Il obtient un diplôme en droit en 1942 à l'Université de Witwatersrand

mon incontrôlable appétit de partir que certains appellent « la bougeotte », maladie au nom charmant, m’ont conduit à accepter une destination mystérieuse : le Transkei. Région assez dangereuse, paraît-il, mais très sauvage, à peine ouverte au tourisme, et qui comblerait, semble-t-il, mes rêves de vivre l’Afrique telle qu’elle est. » (Transkei, mai 1993, M, 77) « Gourmandise des voyages », « curiosité aventureuse » (M, 134), « insatisfaite », « incontrôlable appétit de partir », « bougeotte » : autant

« indépendants ». L’ensemble des bantoustans s’étend sur une superficie de 160 000 km2, soit 13 % de la République sud-africaine, et doit à terme rassembler une grande part de la population noire du pays. L’indépendance formelle des quatre bantoustans – Transkei, Venda, Bophuthatswana et Ciskei – « privera » l’Afrique du Sud de près de 8 % de sa superficie. A cette même époque, les pays d’Afrique australe parviennent tardivement à l’indépendance – EN 1975 pour l’Angola et le Mozambique, cinq ans plus

édifiés à partir du territoire ancestral d’une ethnie bantoue et en conséquence d’abandonner la nationalité sud-africaine Dix bantoustans ont été créés entre 1963 et 1981, et ont été des zones de refoulement de la population noire. Parmi ceux-ci : le Transkei le Bophutatsvana le Venda - le Ciskei Ces bantoustans sont des territoires symbole de l’inégalité : situés sur les moins bonnes terres souvent parcellisés à l’extrême donc non viables les Noirs qui y sont refoulés (8 millions) perdent leur nationalité

dénoncer la participation de l’Afrique du Sud. Par ailleurs, le National State Constitution Act de 1971 prévoit l’émancipation des homelands en deux étapes : autonomie pleine, puis indépendance à la demande des autorités qui les dirigent. En 1976, le Transkei y accède le premier, suivi par le Bophuthatswana (1977), le Venda (1979) et le Ciskei (1981). Mais les nationalistes noirs refusent cette politique qui vise, sous couvert de création d’États noirs indépendants, mais fantoches, à faire des populations

discrimination raciale. Les recommandations des organes politiques des Nations Unies demandaient aux États de ne pas reconnaître les créations étatiques contraires aux principes du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes (Rhodésie de 1965 à 1980, le Transkei et les Bantoustans). Bien que dénuées de valeur contraignante, ces indications amorcent l'élaboration de nouvelles règles en la matière. Dans son avis consultatif de 1971 sur les Conséquences juridiques pour les Etats de la présence continue de l'Afrique

de régions par l’état considéré par l’AS comme des états indépendants et sont destinés à soustraire la population noire de l’AS et de la rattacher à des États distincts de l’Afrique du Sud. Cette situation a été fortement condamnée par les NU. Le Transkei s’est déclaré indépendant en 1976 et l’assemblée générale des NU a invoqué la nullité de cette indépendance de la formation de cet état. L’État de Manshuco appartient au territoire Chinois, mais amorcé par le Japon. Toujours condamné par les états

présenter l'offrande aux dieux de la famille de la mère 2. D'autres passages confirment ce fait et montrent que seuls les descendants de la lignée mâle peuvent, dans un rite quelconque, entrer en contact avec les esprits des ancêtres. Les indigènes du Transkei m'ont indiqué très précisément que les dieux maternels d'une personne, ancêtres patrilinéaires de sa mère, ne lui infligeront jamais une punition surnaturelle. Il en est vraisemblablement de même, dans les tribus Sotho. Par ailleurs, les esprits

(gouvernement effectif) o e accordée à une situation irrégulière ; toutefois la reconnaissance d'un e situation contraire à un principe de jus cogens doit être considérée comm bantoustans, comme l e interdite (en ce sens, non-reconnaissa nce des Transkei, liée à la condamnation de l'apartheid) . qui sont souvent des engageb) Elle peut être assortie de conditions ments exigés des États nouveaux en contrepartie de leur reconnaissance (ainsi le respect des frontières, des minorités exigés par la