Transsibérien Cendrars

porte un coup terrible. La tête est presque décollée. J’ai tué le Boche. J’étais plus vif et plus rapide que lui. Plus direct. J’ai frappé le premier. J’ai le sens de la réalité, moi, poète. J’ai agi. J’ai tué. Comme celui qui veut vivre. Blaise Cendrars, J’ai tué, Paris 1919. DOCUMENT 2 « Les obus nous assaillirent à coups pressés, bien réglés sur nous, ne tombant pas à plus de cinquante mètres. Parfois si près qu’ils nous recouvraient de terre et que nous respirions leur fumée. Les hommes qui

apporte à la poésie. On retrouve dans Zone toute l'originalité de Guillaume Apollinaire. C'est un poème qu'on a rapproché des Pâques de Cendrars (même itinéraire, peuplé de souvenirs) ; mais il y a originalité profonde d'Apollinaire, aussi bien dans l'écriture que dans le choix des images. Le thème religieux n'est pas au centre du poème, comme chez Cendrars, c'est ici un thème intermittent, à l'image du sentiment religieux du poète. | 1) L'innovation poétique : * Une énonciation originale:

on pouvait caractériser son œuvre, on parlerait de « chromatisme onirique ».[réf. nécessaire] "Il dort, il est éveillé, Il prend une église et il peint avec une église, Il prend une vache et il peint avec une vache, Avec une sardine… " (Blaise Cendrars)[réf. nécessaire] Portrait psychologique [modifier] Bien que parfois engagée, son œuvre pleine de références au pays de son enfance, la Biélorussie juive, semble souvent échapper totalement aux guerres qui l'entourent. Il sait faire partager ses

célèbre. C’est un nouvel échec en 1912 pour cause de sa rupture avec Marie après 5 années de liaison orageuses. Des poèmes comme « Le pont Mirabeau », « Zone » et « Vendémiaires » sont publiés dans Les Soirées de Paris. À l'automne, il rencontre Blaise Cendrars, récemment revenu à Paris. Le 1er janvier 1903 Ap. emménage dans un endroit qui s’avérera être son dernier domicile avant sa mort, il est placé au 202, Boulevard Saint Germain à Paris. En avril, il publie Alcools, sélection concertée de sa production

L’auteur : 1° Donnez ses dates de naissance et de mort, sa nationalité, son véritable nom et son pseudonyme. Expliquez le choix de celui-ci. L’auteur est Blaise Cendrars, de son vrai nom Frédéric-Louis Sauser. Blaise est né en suisse, le 1er septembre 1887 et est mort le 21 septembre 1961 à l’âge de 74 ans. Blaise Cendrars a voulu changer de nom, car il avait de mauvais résultats scolaires. Il est donc partit à Moscou, où, il travaillait chez un horloger suisse. C’est là-bas, qu’il a écrit

lesquelles figurent Blaise Cendrars, Guillaume Apollinaire ou encore Robert Delaunay. En 1914, agé alors de 33 ans, il est envoyé au front. La période de la Première Guerre Mondiale fut pour lui très douloureuse car évidement, il ne pouvait pas peindre. Il sera attristé par cela. On a pu observer des lettres dans lesquelles Fernand Léger ce plaint de la vie au front et de ce manque de la peinture. Après cette guerre, il fera de nombreuse collaboration, notamment avec Blaise Cendrars, pour qui il illustrera

guerre mondiale, relève du même dynamisme pictural. Sur le tableau, des disques ou des demi-cercles sont représentés avec des couleurs pales, comme pour La ville. On peut aussi mettre ce tableau en relation avec le poème « Contrastes » de Blaise Cendrars qui aborde le sujet de la ville de Paris, des contrastes, de la modernité, de la couleur et de la luminosité.

pleinement à un mouvement ou à une école. Dans le même temps, il passe de nombreuses journées au Musée du Louvre, où il étudie Delacroix, Géricault, Watteau, Courbet. Il se lie d'amitié avec le poète Blaise Cendrars, qui est l'un des seuls habitants de la Bohème parisienne à parler le russe. Cendrars lui présente, entre autres, Robert Delaunay et Guillaume Apollinaire, qui seront fascinés par sa liberté dans l'utilisation des couleurs. Tout en s’adaptant à Paris sa nouvelle ville, il n’oublie pas ses

Question préalable Le corpus se compose de quatre extraits de romans, et plus précisément leurs incipits appartenant respectivement à Notre-Dame de Paris de Victor Hugo, à Le Rêve d’Émile Zola, à L'Or de Cendrars ainsi qu'à Et mon cœur transparent d'Ovaldé. Ces extraits se montrent particulièrement efficace pour lancer le début du roman. Dans ces quatre extraits, le narrateur omniscient externe nous fait rendre compte des éléments importants en donnant des indications

En 1947, il rencontre Robert Giraud, chez l'antiquaire Romi, c’est alors le début d'une longue amitié et d'une fructueuse collaboration. Doisneau publiera une trentaine d’albums dont La Banlieue de Paris (Seghers, 1949), avec des textes de Blaise Cendrars. Il travaillera un temps pour Vogue, de 1948 à 1953 en qualité de collaborateur permanent. Il est aussi ami de Jacques Yonnet et ses photos illustrent son fameux Enchantements sur Paris (Denoël, 1954) devenu La ville des maléfices (Biblio). Son