Traumatisme médullaire

entraîne une accumulation d’urine avec la présence d’un globe vésical et l’apparition de malaise et de douleur au bas de l’abdomen, ainsi qu’une sensation de devoir uriner sans en être capable Étiologie Un touble neurologique Un traumatisme chirurgical Un traumatisme obstétrical Une hypertrophie de la prostate qui crée un obstacle urénal Une lithiase Une tumeur qui comprime les voies urinaires La prise de certains médicaments L’anxiété La cause la plus fréquente est l’hypertrophie prostatique

| |Grande stabilité |Evolution fréquente | 2- Sensori-moteur et locomoteur (spina-bifida, blessures médullaires, infirmité motrice cérébrale, amputation, traumatisme crânien …) 3- Sensoriel (sourd, amblyope (netteté), aveugle …) 4- Vieillissement (60 ans et plus) 5- Métabolique (diabète, obésité…) 6-Respiratoire (asthme, broncho-pneumopathie chronique obstructive) 7-

et T4) et de la TSH, afin de déceler d’éventuelles anomalies dans la production de ces hormones. On dose parfois également d’autres substances, comme la calcitonine, hormone secrétée par les cellules de la thyroïde qui sont à l’origine du cancer médullaire (cf. p. 21). l’éChographie L’échographie cervicale est un examen du cou qui utilise des ultrasons pour obtenir des informations de première importance sur les nodules présents Recherche Information - Prévention - Dépistage Actions pour les

delta (douleur initiale brève) à conduction rapide et par les fibres amyéliniques C à conduction lente (douleur diffuse prolongée). Ceci peut donc expliquer la réaction de retrait lors d’un stimulus douloureux puis la survenue de la douleur liée au traumatisme. Les fibres A delta sont stimulées seulement par des mécanorécepteurs (sensibles au toucher) et thermorécepteurs (sensibles aux variations de température). Les fibres C au contraire sont stimulées par des récepteurs polymodau (stimuli mécaniques

non médicamenteuses ou génétiques d’infertilité masculine1,5,11,12 Troubles de la libido et de l'érection Alcoolisme chronique Tabac Hyperthyroïdie et hypothyroïdie Hypercortisolisme (syndrome de Cushing) Lésions médullaires et neurologiques: spina bifida, sclérose en plaques, traumatisme Diabète sucré Séquelles chirurgicales (résection et incision prostatique, curage rétropéritonéal) Exstrophie vésicale Syndrome de Prune-Belly Malformations péniennes (hypospadias postérieur, épispadias) Dopage à

Les lésions rachidiennes traumatiques survenant lors d'accidents de la route ou de chutes de lieux élevés (parachutisme, équitation) peuvent être associées à des lésions multiples qui peuvent passer au premier plan et retarder le diagnostic du traumatisme du rachis. Dans d'autres cas, la lésion rachidienne est isolée et la pratique de certains sports attire immédiatement l'attention (plongeon en eau peu profonde, ski, motocyclette). Fractures du rachis lombaire La question la plus importante

(maladie), soit à un traumatisme (accident) ou encore au vieillissement (âge). Voici quelques indication des sondages intermittents propres : Lésions médullaires (paraplégie, tétraplégie) Spina bifida (malformation au niveau de la colonne vertébrale, visible sous la forme d'une masse rouge recouverte de peau, parfois à l'air libre, dès la naissance) Sclérose en plaques Maladie de parkinson Diabète Résidu d’urine Rétrécissements urétéraux Obstruction intra vésicale Traumatisme ... c. Présentation

comparativement deux groupes de blessés, militaires et civils, qui présentaient des lésions en apparence identiques, il a observé que les militaires réclamaient moins d’analgésiques. L’explication de cette différence serait que, dans les deux groupes, le traumatisme et son contexte revêtent des significations tout à fait différentes : comparativement positives pour les militaires (vie sauve, fin des risques du combat, bonne considération du milieu social, etc...), comparativement négatives pour les civils (perte

vasculaires : cryoglobulines, agglutinines froides. ■ Néoplasies Rares et souvent par le biais de cryoglobuline. ■ Causes endocriniennes Dysthyroïdie ou pathologie hypophysaire. TRAITEMENT ■ Symptomatique – Protection contre le froid, éviter les traumatismes. – Arrêt du tabac et de tout traitement vasoconstricteur. – Peu d’utilité des vasodilatateurs courants. – Les inhibiteurs calciques type diltiazem (Tildiem), Nifédipine (Adalate) peuvent lever la vasoconstriction. – Intérêt +++ de l’Ilomédine dans

ellemême, entraîne des modifications du fonctionnement du système nerveux central (SNC). Au niveau périphérique, l’intervention chirurgicale engendre des stimuli nociceptifs à l’origine de l’activation des nocicepteurs et des fibres C et A•. Le traumatisme tissulaire et la libération des composants de la « soupe inflammatoire » qu’il engendre (facteurs humoraux soit directement algogènes, tels les ions H+, K+, la bradykinine, soit sensibilisant, telles les prostaglandines qui augmentent la réactivité