Travail Et Echanges

physique et en technologie, mais l’accent est davantage mis sur l’importance de la spécialisation et des échanges sur la croissance de la productivité. CENTRE SUR LA PRODUCTIVITÉ ET LA PROSPÉRITÉ I _QU’EST-CE QUE LA PRODUCTIVITÉ? Table des matières Sommaire i Définition et mesures de la productivité 1 Productivité du travail Évolution de la productivité du travail Prudence dans l’interprétation Autres mesures de productivité La productivité en termes monétaires Ce

Chapitre 2 : L’Echange Sur Les Marchés I – L’organisation des échanges : Pourquoi échange-t-on ? La division du travail constitue la règle dans nos sociétés : aucun individu ne peut prétendre produire tout les biens nécessaires à la satisfaction de ses besoins. Ainsi la spécialisation des individus conduit à échanger le surplus de leur propre production qui excède leurs propres besoins, contre le surplus de production d’autres individus. Il est possible de s’approprier par la force

de la richesse des nations, que le travail y est pour beaucoup. Le but de son texte est d’établir une définition, qui serait que la valeur de chaque objet correspondrait au travail effectué. Nous allons donc voir comment l’auteur répond à cette question en montrant tout d’abord quelle définition il donne à la valeur de chaque objet puis quelle place Adam Smith donne-t-il au travail dans la résolution de ce problème. Dans cet extrait qui porte sur le travail, l’auteur cherche à établir une définition

Economie Internationale I. Les fondements de l’échange international Constat des échanges internationaux de biens et de services Les flux mondiaux de biens et de services sont le reflet de la DIT (Division Internationale du Travail) A/ La mondialisation Sur un plan économique, la mondialisation peut-être définie comme une internationalisation et une interpénétration croissante des économies. La croissance du commerce international a réellement débuté au 19eme et surtout

cette tradition. Commerce international et production des multinationales à l’étranger doivent être soigneusement distingués. L’étude des faits stylisés montre que les échanges mondiaux progressent plus vite que la production mondiale mais que la production à l’étranger des multinationales augmente à son tour plus vite que ces échanges. La nature du commerce international s’en trouve affectée, ce dont devront rendre compte les théories explicatives. A la base de ces dernières, la théorie classique du

phénomène d’expansion au niveau planétaire, des échanges économiques, sociaux, culturels et politiques ; mais c’est également un lien d’interdépendance de chaque pays du monde. Le libre-échange quant à lui est un système de commerce international, reposant sur l’absence de barrière douanière et non douanière à la circulation de biens et services. Aussi, nous nous posons donc la question : la mondialisation est-elle favorable ou non au libre-échange ? Mais également, quel est le lien entre ces deux

des échanges L’ensemble des agents eco interviennent dans les relations eco international : les ménages en tant que consommateurs, les banques pour assurer le financement des opérations, les E et les Etats en tant que producteurs. On différencie 3 grands types d’échanges : * Les échanges de biens : ces échanges sont anciens. Dep 1985, on note dans le commerce mondial, une baisse de la part des échanges agricoles et une augmentation des échanges de produits manufacturés. * Les échanges de

spécialiser dans la production pour laquelle il a des coûts de production moindres en comparant à un autre pays et à échanger ensuite sa production. C’est la  théorie desavantages absolus. L’économiste anglais David Ricardo (1772-1823) confirme qu’un pays a intérêt à se spécialiser puis à échanger et va généraliser l’analyse précédente puisqu’un pays peut participer à l’échange international même s’il ne bénéficie pas d’un avantage absolu. En

Dossier 1 (TD n°2) Introduction à l’économie politique classique Adam Smith et la division du travail Texte 1 Quels sont les deux principaux facteurs de production cités dans le texte ? Le travail et le capital = deux facteurs principaux de production Les dons de la nature = cités par Smith mais minime Lequel crée de la richesse ? Le travail (manuel) est le seul facteur de production capable de créer de la richesse Quelle est la vertu de l’égoïsme selon Smith ? Egoïsme, selon Smith = chacun

l’augmentation des flux commerciaux. D’après le rapport de l’OMC sur le commerce mondiale 2009, pour l’année 2008 le commerce international de marchandises est égal à 15 775 milliards de dollars. 3750 milliards de dollars pour les services commerciaux. Les échanges internationaux de B et S représentent 1/3 du PIB mondial Nous somme donc dans un contexte avec une intensification des interdépendances nationales et internationales - L’internationalisation des firmes (Firmes multinationales ou Firmes transnationales)