Trente Arpents Terroir

réponse sur des exemples précis, en citant le texte afin d’appuyer vos propos. Question 5 (environ 1 page) Dans les extraits proposés de La terre paternelle, Maria Chapdelaine et Trente arpents (recueil de textes, p. 5 à 22), relevez les principaux aspects du courant du terroir qui sont représentés. Présentez-les brièvement en appuyant vos réponses sur des exemples puisés dans les textes.

Marie Calumet et A Laberge, La Scouine. Par contre, Nord-Sud de Léo-Paul Desrosiers, Le Survenant de G. Guèvremont soulignent une tension permanente, le désir d’évasion du nomade et la résistance du sédentaire, attaché à sa terre. L’idéologie du terroir ne reflète pas les réalités de l’époque. Elle sépare de façon radicale deux modes de vie, idéalisant à outrance la vie de champs et condamnant à l’excès la vie citadine. Elle nie toute interaction entre ces deux réalités. Dès 1925, l’intégration de

États-Unis. Il représente donc l'attrait de certains Canadiens-français pour l'étranger. D'où le prénom à consonance étrangère (Lorenzo) et le nom de famille évocateur (Surprenant). Finalement, l'auteur a choisi un nom tout ce qu'il y a de plus "terroir" pour le cultivateur traditionaliste attaché à la terre. Eutrope Gagnon représente tout ce qu'il y a de plus commun dans la société de l'époque. Source : http://fr.wikipedia.com Pour la caractérisation d’Eutrope Gagnon, le professeur indique

États-Unis. Il représente donc l'attrait de certains Canadiens-français pour l'étranger. D'où le prénom à consonance étrangère (Lorenzo) et le nom de famille évocateur (Surprenant). Finalement, l'auteur a choisi un nom tout ce qu'il y a de plus "terroir" pour le cultivateur traditionaliste attaché à la terre. Eutrope Gagnon représente tout ce qu'il y a de plus commun dans la société de l'époque. Source : http://fr.wikipedia.com Pour la caractérisation d’Eutrope Gagnon, le professeur indique

renommée du vin d'Yquem va se développer. La production est déjà forte appréciée à ce moment là, des grands amateurs contemporains : Thomas Jefferson : « J’ai persuadé notre Président, le général Washington, d’en essayé un échantillon, il vous en demande trente douzaines, Monsieur, et moi même je vous en demande dix douzaines pour moi » ces lignes furent écrites il y’a deux cents ans par Thomas Jefferson. Malgré la Révolution, Françoise-Joséphine réussira à perpétué la tradition et préservé l’héritage familiale

vigne : le phylloxéra, puceron arrivé d’Amérique du Nord, qui fait mourir la vigne en se nourrissant du suc de ses racines. Les temps modernes sont marqués par des progrès de la viticulture, de la vinification et de l’élevage des vins. Le vin de terroir triomphe sur le vin industriel de cépage. Et l’époque contemporaine a apporté une législation viticole en récompense de tous les efforts entrepris pour surmonter les conséquences de ce fléau et les crises économiques entraînées par la Première Guerre

aux dernières flammes du couchant, blanchissent parfois, à l’horizon opposé, les murailles d’une humble petite maison, ou enflamment les vitres d’un orgueilleux et splendide château. La vie de l’homme se sépare en deux phases bien distinctes : les trente-cinq premières années sont pour l’espérance ; les autres sont pour le souvenir. 6 Puis il s’opère encore un autre mirage dans ce désert que l’on vient de parcourir et où les oasis se font de plus en plus rares ; c’est que les objets qui ont

savait encore qu’il fallait, au début de chaque campagne agricole, reprendre ce dur travail de défrichement. Il fallait ga­gner les champs sur la nature et sur ceux qui vivaient encore en barbares ; il fallait protéger des Barbares et de la nature les terroirs domestiqués par d’étroites communautés de pionniers. Les domaines cultivés par les paysans, défendus par les nobles, étaient étroitement bordés par des marches incultes où vivaient les Barbares. Ces marches étaient les terrains de chasse du Chef

dont il prend soin, devient, par son travail, son héritage particulier. Tellement que celui qui, conformément à cela, a labouré, semé, cultivé un certain nombre d'arpents de terre, a véritablement acquis, par ce moyen, un droit de propriété sur ses arpents de terre, auxquels nul autre ne peut rien prétendre, et qu'il ne peut lui ôter sans injustice. 33. D'ailleurs, en s'appropriant un certain coin de terre, par son travail et par son adresse, on ne fait tort à personne, puisqu'il en reste toujours assez

effet, ses affaires à l'étranger : «En 1945, juste après ma naissance, mon père décida de vivre au Mexique. Les passeports étaient déjà prêts. Mais, au dernier moment, il changea d'avis. Il s'en est fallu de peu qu'il quitte l'Europe après la guerre. Trente années plus tard, il est allé mourir en Suisse, pays neutre. Entre-temps, il s'est beaucoup déplacé : le Canada, la Guyane, l'Afrique équatoriale, la Colombie. Ce qu'il a cherché en vain, c'était l'eldorado.» Il vécut sous une double identité que