Trente Arpents Terroir

de la destruction de la couche d’ozone, de l’effet de serre et de la pollution extrême dans les grandes villes. À cette crainte se joint périodiquement de grandes catastrophes. Trois grandes catastrophes dues à l’erreur humaine ont eu lieu depuis trente ans. On parle de Bhopal en Inde en 1984 où des émanations de gaz toxiques tuèrent plusieurs milliers de personnes. Peu de temps après en 1986, c’est un réacteur nucléaire qui explose à Tchernobyl en Ukraine. Une autre catastrophe écologique prouvera

ou sept fois, et certains passages, très réussis selon son ami Henri Girard, ayant tout simplement été supprimés, parce que leur ton ne convenait pas à celui de l’ensemble de l’œuvre. Intérêt de l’action Ce roman bien charpenté est divisé en trente-trois chapitres dont chacun porte sur un événement précis, et touche à un ou à des personnages, raconte une scène qui se déroule en un temps relativement bref, en général quelques heures, au maximum une dizaine d'heures environ. On passe constamment

nombre des mots qui s'offraient aux écrivains pour nuancer leur expression, d'une part, en usant de mots qui existaient déjà (vieux mots dont l'usage s'était perdu, et qu'on trouvait dans «tous ces vieux romans et poètes français» [II, 6] ; mots des terroirs empruntés aux dialectes provinciaux ; mots techniques des «ouvriers et gens mécaniques» [II, 11]) ; d'autre part, en créant des mots nouveaux, soit à partir de mots grecs ou latins car «ce n'est point chose vicieuse 4 mais grandement louable

Umyê qu’ils offrent sacrifices, nourriture et libations, ils répondent que c’est parce qu’dsys est ici-bas, toute proche, alors que /tamycS’est là-bas, très loin ; quant aux Mânes des ancêtres, elles sont toujours présentes au village et à son terroir. Mais, tout comme yamyê, ASYE n’est pas seulement une divinité, c’est aussi une réalité matérielle et concrète ; elle n’est pas seulement objet de révérence mais aussi de connaissances pratiques, d’expérien- ces et de techniques matérielles. En

représenter l’espace touristique..................................................235 Chapitre 7 : L’histoire appropriée .........................................................................................279 Chapitre 8 : Du folklore aux produits du terroir ..................................................................307 Chapitre 9 : Les images mimétiques, analogiques et normatives .......................................337 Chapitre 10 : Le patrimoine, lieu de pouvoir, le tourisme, instance de rupture

encore moins en connaissent le passé glorieux. Il a pourtant été le quartier général des opérations qui vont bouleverser le monde, sous l’autorité de la grande dynastie marocaine des Almohades. Tinmel a, certes, le charme particulier du beau terroir assez luxuriant, soigneusement cultivé dans la vallée, au fond d’un paysage porté par de grandes tables rouges de grès triasique, dominé de bien haut par les contreforts occidentaux, très souvent enneigés, du Tazaghart et du Toubkal. A l’instar

conjoncture économique florissante se sont aussi offert le luxe d’une revendication utopiste de liberté absolue, débarrassée des règles politiques et sociales. 3. Les Trente Glorieuses renvoient à la période 1945-1970 de l’après-guerre, caractérisée par le baby-boom et la prospérité économique. Index culturel p. 174 : « les Trente Glorieuses » b) 1. L’expression « les vieux » porte une connotation discriminante, voire dépréciative, liée à l’arrêt de la vie active, valeur phare de reconnaissance

résrau associatif dense, diversifié et dynamique. Parmi de nombreux groupements, institutions, associations, mouvements et infrastructures à vocation culturelle, artistique, patrimoniale : le Centre culturel régional du Centre qui mène depuis plus de trente ans une politique de diffusion, de création et de communication culturelle, poursuit une mission d’ensemblier au niveau régional. La Louvière La Louvière, pleins feux vers l’avenir La Louvière – ville de 78 000 habitants – surnommée « La Cité

Pédalant «le plus lentement que ça peut», André se dit : «Si on lui plaît elle flippe, si on l’achale elle hallucine». Au retour, comme ils la trouvent en train de «se chicaner» avec sa mère au téléphone, ils vont se cacher, André envisageant ses «trente ans de vie comme une vaste platitude», Nicole cependant lui réitérant «que ça ne la dérange pas que ce soit épouvantablement ennuyant de vivre avec [lui]». Catherine décide d’aller au Manoir-du-Bord-du-Lac pour assister au «show» de dix heures. Ils

dans les bras les uns des autres, notre région nous manquait terriblement. Nous évoquions alors la possibilité d’y revenir. Les lendemains migraineux, nous retournions à la réalité. 7 Germaine et Léon avaient quitté l’Auvergne depuis plus de trente ans. A part ma mère, ils n’y connaissaient plus personne. Claude, lui, s’était enfui de cette vie morne et triste après le décès de ses parents. Quant à moi, retrouver la culpabilité de la faute de ma mère ne m’intéressait guère. Depuis l’acceptation