Trêve de Dieu

ce mal que Nietzsche appelait l'esprit de lourdeur. N'y prêtons pas la main. Il est vain de pleurer sur l'esprit, il suffit de travailler pour lui. » Le 22 janvier 1956, il lance à Alger un courageux Appel pour une trêve civile en Algérie : « Pour intervenir sur ce point, ma seule qualification est d'avoir vécu le malheur algérien comme une tragédie personnelle et de ne pouvoir, en particulier, me réjouir d'aucune mort, quelle qu'elle soit. »

société féodale est guerrière: multiplication des guerre:famines,récoltes détruites ect.... *l'église tâche de lutter contre cette violence: au X et XII siècle elle organise un mouvement nommé "paix de dieu" ayant pour but de protéger les laïcs,les clerfs et les biens de l'église *apparaît ensuite "la trève de dieu.but:faire cesser les combat du jeudi au samedi et durant l'avant et le carrem * A Narbonne en 1054 l'église déclare que le guerre n'est autorisée que 80 jours par an *essor de l'occident

les Achéens venus de la Grèce, aux Troyens. Face à la cité, les navires des assiégeants reposent sur la plage et leur servent de campement. Agamemnon, le chef des Achéens, retient prisonnière Chryséis, fille d'un prêtre troyen d'Apollon et le dieu a envoyé une peste meurtrière sur l'armée. Achille adjure Agamemnon de rendre la prisonnière. Le roi finit par y consentir, mais décide de prendre en dédommagement Briséis, une belle Troyenne captive d'Achille. Furieux, ce dernier décide de cesser

travers « L'horloge » (Cf. « L'horloge » de Baudelaire) qui est douée de paroles. Ici, au lieu de rappeler à l'homme le réel, elle le soustrait à la conscience de la durée en lui proposant de « s'enivrer ». L'horloge, toujours considérée comme un « Dieu sinistre » est ici un complice du désir d'évasion. De quoi s'enivrer ?« De vin, de poésie et de vertu » nous répond Baudelaire. Étrange association de termes ! Seule la mention du vin ne nous étonne pas. Nous savons en effet que le vin procure l'ivresse

tremblement. Il réveilla ses fils dormant, sa femme lasse, Et se remit à fuir sinistre dans l'espace. 15 Il marcha trente jours, il marcha trente nuits. Il allait, muet, pâle et frémissant aux bruits, Furtif, sans regarder derrière lui, sans trêve, Sans repos, sans sommeil ; il atteignit la grève Des mers dans le pays qui fut depuis Assur. 20 "Arrêtons-nous, dit-il, car cet asile est sûr. Restons-y. Nous avons du monde atteint les bornes." Et, comme il s'asseyait, il vit dans les

tremblement. Il réveilla ses fils dormant, sa femme lasse, Et se remit à fuir sinistre dans l'espace. 15 Il marcha trente jours, il marcha trente nuits. Il allait, muet, pâle et frémissant aux bruits, Furtif, sans regarder derrière lui, sans trêve, Sans repos, sans sommeil ; il atteignit la grève Des mers dans le pays qui fut depuis Assur. 20 "Arrêtons-nous, dit-il, car cet asile est sûr. Restons-y. Nous avons du monde atteint les bornes." Et, comme il s'asseyait, il vit dans les cieux

Critique de la noblesse qui se complait dans des activités futiles. • « ils buvaient tous » « ils jouaient tous » l16 : le travail occupe une place secondaire ← Critique de la religion : l’abbaye est une parodie de St Augustin qui disait « Aime Dieu et fais ce que tu veux ». Ici le sentiment religieux est oublié au profit d’activités frivoles. ← Rejet de l’idée du péché originel • « inclination par laquelle ils tendent librement à la vertu » l10-11 • Antithèse entre contrainte et

Maodo BA, Tamsir FALL que voulez vous dire ? Mon mari Modou Fall est- il mort ? Imam : Non Ramatoulaye, heureusement vivant pour toi et pour nous tous Dieu merci, il n’a fait qu’épouser une deuxième femme nous venons de la Grande mosquée de Grand Dakar où a eu lieu le mariage. Tamsir FALL : Ramatoulaye, Modou Fall te remercie énormément c’est Dieu qui lui a destiné une deuxième femme il n’y peut rien .La fatalité décide des êtres et des choses. Nous qui sommes du sang de Modou Fall tu nous as vénéré

soldats que l’on va suivre pendant tout le film. La suite se déroule rapidement, le temps est toujours linéaire, même si l’on peut le séparer en trois parties. D’abord, trois critères spatiaux, puis trois critères temporels (avant, pendant et après la trêve). La suite de l’intrigue est donc plutôt unifiée. Une attaque française, soutenue par les Britanniques, contre l’ennemi échoue et un grand nombre de morts en résulte. Dorénavant, les forces de la Triple-Entente, surtout les Français, craignent une

déversais sur lui tout le fond de mon cour avec des bondissement mêlés de joie et de colère », un peu plus loin nous avons « j'étouffais en criant tout ceci ». Pis encore, il y a ce manque de respect, cette violence sans pitié pour cet envoyé de dieu qui tente de discuter « il n'était sûr d'être en vie puisqu'il vivait comme un mort » (ligne 11), ici, nous sommes en présence de la pensée athée que nous développerons un peu plus loin. A partir de la ligne 11, il y a cette réaffirmation