Trêve de Dieu

pour le pire, des valeurs qu'il décide d'adopter. Courant philosophique du XXe siècle qui affirme que l'homme est libre, qu'il n'est pas déterminé. C'est ce qu'il fait, ce qu'il choisit, qui le fait devenir ce qu'il est. (L'existentialisme dit que Dieu et la nature humaine sont des concepts inexistants.) L'homme doit trouver en lui ses propres valeurs et il doit décider par lui-même les actes qu'il commettra. Cela veut dire que cette conception est la prise de conscience que l'homme doit prendre

fait du christianisme leur religion. • Les christianisme est une religion monothéiste fondée sur la Bible et sur un ensemble de dogmes fixés par l’Eglise et qui s’applique à l’ensemble des chrétiens. •Les chrétiens croient en l’existence d’un Dieu unique, créateur de l’homme et de l’univers, en l'au-delà et au jugement dernier (jugement de chaque âme à la fin des temps lors du retour du Christ sur Terre). Tous ont peur de l'enfer, ce qui les pousse à multiplier les rites et les signes religieux

reste de l’Europe, la fin des Croisades donnent lieu à un retour des guerres locales entre seigneurs qui causaient misère et désolation. Il ne faut pas oublier qu’une des raisons de l’appel à la croisade par le pape Urbain II en 1095 est la « trêve de Dieu », les seigneurs sont priés de s’unir et de s’en aller combattre leurs ennemis communs : les musulmans. C’est donc le retour des querelles locales mais aussi des querelles dynastiques qui engendra la Guerre de cent ans entre la France et l’Angleterre

restitution de son corps à Priam). Les circonstances de la défaite de Troie seront rapportées dans l'Odyssée et surtout dans l'Énéide de Virgile. C’est l’histoire de la colère d”un homme qui fit des ravages et envoya de nombreux héros à la mort chez Hadès(=dieu grec des Enfers). Achille (fils de Thétis et de Pélée; roi des Myrmidons, personnage principal de l’Iliade, vulnérable qu’au talon) était cette homme, et sa colère s’enflamma lors de sa querelle avec Agamemnon( fils d’Atrée et frère de Mélénas, chef

Tite-Live, ne sont pas dupes du caractère arrangé et légendaire de ce récit fondateur. JPEG - 67.6 ko Romulus et Remus par Rubens La Louve Romulus et son frère jumeau Remus sont les fils de la vestale Rhea Silvia et - prétend la jeune fille - du dieu Mars. Rhea Silvia est la fille de Numitor, roi de la légendaire ville latine d’Alba Longa (fondée par Ascagne, fils d’Enée) et dépossédé du trône par son frère Amulius. Celui-ci, craignant que ses petits-neveux ne réclament leur dû en grandissant,

En effet dès le début, la femme qui lui donne vie le maudit : « Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, comme un billet d’amour, ce monstre rabougri. » En effet, plus qu’une bénédiction, il s’agit ici d’une malédiction : « Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance Comme divin remède à nos impuretés », ces vers sont paradoxaux, provocateurs et même blasphématoires pour les lecteurs de son temps où la religion est très ancrée dans la société. Dans ce poème, on est loin de la vision d’Hugo

ville, son épée est au service de Dieu, elle lui est donnée par le Pape. Face à cette conception ecclésiastique, le Roi affirme son indépendance fondée sur le choix personnel de Dieux : le Roi est délégué ; non du pape, mais de Dieu pour accomplir sa fonction. La royauté est un ministerium regis, c'est-à-dire que le Roi est l’ouvrier de Dieu sur Terre. Le gouvernement n’appartient pas au Roi, mais à Dieu qui le lui a confié, et le Roi doit le conduire selon la loi de Dieu. « Il ne peut pas faire de nouveaux

déjà été fortement altère depuis 146 avant JC, avec l'arrivée des Romains. Ils avaient perdu leur caractère sacre tout en ayant été modernises. En 426, Théodose II ordonne même la destruction des temples du sanctuaire. Durant chaque olympiade, une trêve militaire entre les différentes cites était instaurée afin de permettre aux spectateurs et aux athlètes de se déplacer sans danger. Les cites rivalisaient entre elles pour envoyer les meilleurs athlètes mais également les plus belles offrandes. En

temps qui passe. Qualifiée de «dieu», elle pourrait être une représentation du dieu grec Chronos, dieu du temps qui, dans la tradition orphique, était figuré comme un serpent à trois têtes, l'une d'homme, l'autre de lion et la troisième de taureau. Cette triade pourrait expliquer les trois adjectifs : «sinistre», «effrayant», «impassible». «Sinistre» peut avoir ici ses deux sens : «ce qui dit l’avenir» et «ce qui fait craindre un malheur», «qui conduit à la mort». Le dieu est encore «effrayant», et d'autant

déversais sur lui tout le fond de mon cour avec des bondissement mêlés de joie et de colère », un peu plus loin nous avons « j'étouffais en criant tout ceci ».      Pis encore, il y a ce manque de respect, cette violence sans pitié pour cet envoyé de dieu qui tente de discuter « il n'était sûr d'être en vie puisqu'il vivait comme un mort » (ligne 11), ici, nous sommes en présence de la pensée athée que nous développerons un peu plus loin.       A partir de la ligne 11, il y a cette réaffirmation