Trézène

meurent pas sur scène, ce sont d'autres personnages qui annoncent leur mort. Seule Phèdre meurt empoisonnée à la fin de son aveu. La règle des trois unités est elle aussi respectée: unité de temps(limitation à 24h), unité de lieu, l'action se passe à Trézène dans une ville du Péloponèse et unité d'action. C) Les procédés pour montrer la passion de Phèdre Pour exprimer sa passion envers Hippolyte, Phèdre utilise le lyrisme, un procédé courant dans la tragédie. On voit aussi l'utilisation de catharsis

On peut aussi prendre l’exemple de Phèdre, du même auteur, car la pièce respecte la règle des trois unités : * L’unité d’action se concentre autour de l’amour et de la vengeance de Phèdre. * L’unité de lieu fait que l’action se déroule à Trézène, dans une antichambre. * l’action se déroule en une journée, comme l’impose l’unité de temps. III. Des premières ruptures au théâtre contemporain * XVIIIe siècle : Le siècle des Lumières Le siècle des lumières débute en France par

donné que les spectateurs ne sont pas attiré par les costumes, ils prêtent plus d'attention aux paroles des personnages. De plus, on peux voir que les costumes sont en anachronisme avec la période où se passe la pièce. En effet, la pièce se passe à Trézène dans le Péloponnèse durant l'Antiquité. Par cet époque, on pourrait s'imaginer une Phèdre qui incarnerai une femme très brune aux cheveux ondulés mais l'actrice qui joue le personnage de Phèdre, Dominique Blanc, ne correspond pas à ces caractéristiques

s’inspire du poète grec Euripide qui avait déjà traité le mythe de Phèdre. La pièce comporte 1 654 alexandrins : cela fait référence à ses talents de poète. Phèdre s’inscrit dans le genre tragique. Le personnage de Phèdre inspire terreur et pitié. À Trézène, en Grèce, à une époque fort lointaine, Phèdre, seconde épouse du roi Thésée, est tombée amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Cette passion lui semble si monstrueuse qu’elle se résout à mourir plutôt que d’avouer son amour. Bientôt circule la rumeur

confirmation et une péroraison partielle avant la relance du récit Triste objet, où des Dieux triomphe la colère Et que méconnaîtrait l’œil même de son père. Ce récit suit également une chronologie stricte, depuis la sortie de Trézène d’Hippolyte jusqu’à son dernier souffle, marquée par des connecteurs somme « à peine », « en ce moment », « à ce mot ». Cette rigueur donne sa force au récit. Cette rigueur est renforcée par l’emploi du point de vue interne ; en effet

elle craint que ce dernier révèle à son père, Thésée, sa passion pour lui. De ce fait, sa confidente Oenone lui conseille de prendre les devants et d’accuser Hippolyte. D’autre part, Hippolyte annonce à son père Thésée son intention de s’enfuir loin Trézène. Cette nouvelle plongera Thésée dans une profonde inquiétude et le laissera dans la confusion et l’effroi. Acte 4 : Oenone craignant que sa maîtresse ne se donne la mort, déclare à Thésée qu’Hippolyte a tenté de la séduire. Ce discours trompeur

qui inspire chez le spectateur la terreur et la pitié. On y voit un héro face à la fatalité. La pièce se compose de 5 actes et respecte les 3 unités. C'est une pièce qui apparait lorsque Racine est au sommet de sa gloire. La pièce se déroule à Trézène, en Grèce. Les personnages sont: Phèdre ( personnage principale), Thésée, Hippolyte, Oenone, Aricie et Théramène. Le spectateur assiste au spectacle d'une Phèdre qui est la proie d'une passion qui la déchire: elle est amoureuse d'Hippolyte, son

plus utile, et lui consacre la cité. Furieux, Poséidon inonde l'Attique. Il dispute également Corinthe à Hélios mais Briarée, appelé comme arbitre, ne lui accorde que l'Isthme, tandis qu'à Hélios est octroyée l'Acropole[]. Poséidon essaie d'obtenir Trézène contre Athéna ; cette fois, Zeus décrète que la cité soit partagée entre eux deux. Il essaie, sans succès, d'obtenir de Zeus Égine et de Dionysos Naxos. Il veut prendre à Héra l'Argolide, mais Zeus le soumet à l'arbitrage de Phoronée, premier habitant

autant de mal à l’oublier ; cette très grande ressemblance est évoquée au travers du vers suivant : « Mes yeux le retrouvaient dans les traits de son père ». C’est enfin à la demande de Thésée que Phèdre retrouve Hippolyte : « Par mon époux lui-même à Trèzène amenée, / J’ai revu l’ennemi ». Nous pouvons ainsi parler d’ironie tragique : les personnages eux-mêmes font leur propre malheur.

La tirade étudiée est extraite de la tragédie Phèdre, écrite en 1677 par Jean Racine. C’est une pièce composée de 1654 vers divisée en cinq actes. Dans la scène cinq de l’acte deux, Phèdre, reine de Trézène, avoue sa passion incestueuse à Hippolyte, son beau-fils. Nous verrons comment cette tirade d’aveu manifeste la violence des sentiments de Phèdre, en étudiant dans une première partie comment la passion de Phèdre la rend coupable, puis dans une seconde partie qu’elle est aussi une victime.