Trézène

Il est évident que Jean Racine a voulut faire de ce récit un moment épique mémorable afin de positionner Hippolyte comme un héro à la suite de son père. Aussi, le confronte-t-il a un monstre redoutable. Alors qu’Hippolyte et son armée quittaient Trézène pour avoir était bannit par Thésée, alors que la tristesse et le chagrin pesait sur les uns et les autres, surgit un monstre marin a l’apparence redoutable. Celui-ci est annoncé par une métaphore pour suggéré son gigantisme. Il s’agit en effet selon

héros, Arrête ses coursiers, sait ses javelots, pousse un monstre, et d’un dard lancé d’une main sûre, il lui fait dans le flanc une large blessure. » l.30.Le messager Théramène annonce et raconte la mort terrible d’Hippolyte. Un monstre a attaqué Trézène et Hippolyte l’a vaincu mais s’est coincé dans les rênes de ses chevaux. Et les chevaux ont trainé Hippolyte par les pieds jusqu’aux rochers qui l’ont déchiqueté.Théramène raconte l’évènement en alexandrins et en utilisant un langage sublime.Le récit

inspirée de la mythologie grecque. Il s’agit de l’histoire d’une passion et d’une malédiction. Dans la pièce, Racine analyse comment cette passion va détruire progressivement cette mère de famille que la malédiction poursuit. L’histoire se déroule à Trézène. Phèdre, épouse de Thésée, croit ce dernier mort ; libérée par cette nouvelle, elle se laisse aller à avouer à Hippolyte, son beau-fils, la passion coupable qu’elle éprouve pour lui. Cet aveu met bientôt Phèdre dans une situation intenable : non seulement

« s’éleva », « sentis » et « reconnus » indiquent, eux aussi, que la « vue » d’Hippolyte a coïncidé avec le début de la passion. Le lien entre le sens visuel et l’amour semble d’ailleurs évident : en effet, lorsque Phèdre « rev[oit] » son beau-fils à Trézène, sa passion, apaisée par l’éloignement, ressurgit « aussitôt » ; une fois encore, l’indice temporel montre qu’il s’agit de deux faits simultanés. La brutalité du coup de foudre vécu par Phèdre se manifeste d’autre part par des réactions physiques

Oenone et Phèdre, cette dernière reproche à sa nourrice les actions (mensonges) au quelles elle a eu recours pour se « sauver la peau » Acte 5 : Dans la première scène Hippolyte se confie à Aricie et fait ses adieux. Puis Thésée arrive au port de Trézène où se déroule la scène. Aricie tente de paire part de la vérité au roi. Apres ce dialogue avec Aricie Thésée a davantage de doute à propos de la vérité et ordonne d’amener Œnone pour l’interroger à nouveau mais il apprend que celle-ci s’est suicidée

Vénus tout entière à sa proie attachée. » (I, 3, v. 306). Dans cette tragédie, la règle des trois unités est respectée, en effet : 1. L’unité d’action, se concentrant sur l’amour et la vengeance de Phèdre. 2. L’unité de lieu, la pièce se déroule à Trézène. 3. L’unité de temps, l’action se déroule en une journée. La règle de bienséance : Phèdre n'ose pas avoué son amour à Hyppolite toutefois, après avoir suivi les conseils d'Œnone, elle lui dit tout. Vers le dernier acte les morts sont racontés sous

dernière tragédie profane de Racine avant un long silence de douze ans au cours duquel il se consacrera au service du roi et à la religion. Acte I (5 scènes) Hippolyte, fils de Thésée, annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte

Bérénice finit par accepter la décision de Titus. Elle rentrera en Palestine et règnera sur ses États. Résumé de Phèdre : Acte I  Hippolyte, fils de Thésée et d'une Amazone, annonce à son confident, son intention de quitter la ville de Trézène pour fuir son amour pour Aricie, héritière d'un clan ennemi de Thésée. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa confidente, la passion qu'elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. On annonce la mort de Thésée.  Acte II  Aricie confie à sa

politiquement. Phèdre est aussi une pièce politique car elle concerne la succession au trône d'Athènes que Thésée a ravi aux frères d'Aricie, les Pallantides. Or Hippolyte est une sorte de sage qui depuis son enfance préfère le séjour «paisible» de l'aimable Trézène / Au tumulte pompeux d'Athènes et de la cour» (v.32). En plaçant, dès sa première apparition, le personnage d'Hippolyte dans l'ombre de son père, Racine lui donne un statut ambigu. Il est à la fois plus jeune et plus pur que le vieux séducteur assagi

Phèdre, la dernière pièce tragique écrite en cinq par Racine. Elle fut joué la première fois en 1677, pendant l’age d’or du classicisme. Phèdre me fait penser à un nom grec. Dans l’acte premier, on nous informe que Hippolyte comte quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre et Aricie car l’amour qu’il a pour elle est impossible. Phèdre déclare son amour pour Hippolyte a Oenone, sa confidente. Dans le second acte, on apprend que Hippolyte veut donner le trône de l’Attique à Aricie, libre