Trézène

respirais, Oenone ; et depuis son absence, Mes jours moins agités coulaient dans l'innocence ; Soumise à mon époux, et cachant mes ennuis, De son fatal hymen je cultivais les fruits. Vaines précautions ! Cruelle destinée ! Par mon époux lui−même à Trézène amenée, J'ai revu l'ennemi que j'avais éloigné : Ma blessure trop vive aussitôt a saigné. Ce n'est plus une ardeur dans mes veines cachée : C'est Vénus toute entière à sa proie attachée. J'ai conçu pour mon crime une juste terreur ; Je voulais

|toute une troupe), intelligent (énigmes | | |Force prodigieuse, ruse, séducteur |du sphinx) | |Espace |Ouvert : Trézène ( Athènes ( Crète ( île |Ouvert : Thèbes ( Delphes ( Corinthe ( | | |de Naxos ( Athènes ( Royaume des Ombre ( |Delphes ( Thèbes ( Colone | | |île de

a donné une idée du bonheur. Pourquoi cantonner les grands écrivains aux années grises du collège ? Pourquoi réduire Racine à ce moment passé sur une estrade dos au tableau noir, où nous ânonnions piteusement « À peine nous sortions des portes de Trézène ». L’incandescent auteur de Phèdre vaut mieux que ça. L’heure est venue de retrouver avec le fringant Racine le frisson d’Hippolyte. Ou celui de Julien, celui de Frédéric. De passer l’éponge sur les pénibles vers de La Légende des siècles (« Il n’est

constitutions sont adoptées pendant la guerre d’indépendance contre l’Empire ottoman : ils s’inspirent pour leur indépandance de la révolution francaise · Constitution d’Épidaure en 1822 ; · Constitution d’Astros en 1823 ;· Constitution de Trézène en 1827.Elles consacrent un chapitre au « Droit public des Grecs ». Ces dispositions constitutionnelles sont ignorées par la monarchie instaurée après l’indépendance, en 1832. Ils les rejettent. Le soulèvement de septembre 1843 contraint le roi à

tout le monde ancien. Les Grecs l'adoraient et juraient, au nom de cet astre, entière fidélité à leurs engagements. Sur une montagne près de Corinthe, il y avait plusieurs autels consacrés au Soleil, et, après les guerres médiques, les habitants de Trézène dédièrent un autel à Hèlios libérateur. Chez les Égyptiens, le Soleil était l'image même de la divinité. Une ville tout entière lui était consacrée, Héliopolis. Ovide s'est plu à faire la description du palais du Soleil : c'est un séjour

tout le monde ancien. Les Grecs l'adoraient et juraient, au nom de cet astre, entière fidélité à leurs engagements. Sur une montagne près de Corinthe, il y avait plusieurs autels consacrés au Soleil, et, après les guerres médiques, les habitants de Trézène dédièrent un autel à Hèlios libérateur. Chez les Égyptiens, le Soleil était l'image même de la divinité. Une ville tout entière lui était consacrée, Héliopolis. Ovide s'est plu à faire la description du palais du Soleil : c'est un séjour de cristal

d'exposition, elle est destinée à donner au spectateur les informations dont il a besoin pour comprendre la pièce. Mais elle est aussi une scène d'aveu Hippolyte Le dessein en est pris, je pars, cher Théramène2, Et quitte le séjour de l'aimable Trézène. 
 Dans le doute mortel dont je suis agité, 
 Je commence à rougir de mon oisiveté. Depuis plus de six mois éloigné de mon père, J'ignore le destin d'une tête si chère; J'ignore jusqu'aux lieux qui le peuvent cacher. Théramène Et dans quels

angoissesqu’entretenait Purgon chez son malade.Racine, Phèdre, I,1 : Le demi-aveu d'Hippolyte à Théramène I- Une Scène d'Exposition 1) Une scène qui rempli ses fonctions d'exposition -- informe sur le temps(abs Thésée dps 6mois) / les lieux de l'action(Trèzène ville retirée du Roi, loin de la cour et d'Athènes) -- met la pièce en relation avec le titre -- informe sur les personnages et leurs rapports : univers «classique» (mythes, nobles...) => Hippolyte : fier/orgueilleux, n'a jamais aimé («pur»)

personnages : il s’agit de héros mythologiques de l’Antiquité grecque (Phèdre, Thésée, Minos, Egée…) ; - le statut des personnages : il s’agit de roi, de princesse. Les rôles de confidente, de gouverneur sont des rôles propres à la tragédie ; - le lieu : Trézène, ville de la Grèce antique ; - plus évidemment, l’auteur de la pièce, Racine. * 2. Identifier les diverses formes de la fatalité a. Les mots qui désignent la force qui pèse sur le héros : - Texte 1 : Jupiter (v. 2 et 7) ; le fardeau (v. 2) ; mon

entrant et que vous évitez de regarder depuis que je vous parle, celui auquel vous pensez sans cesse pendant que je débite mes sottises : Don Juan. La Mort et le temps qui passe Phèdre, Acte 5, scène 7, Racine, Thésée, roi d’Athènes et de Trézène, a disparu. Phèdre, son épouse, se meurt d’un mal mystérieux. Elle en avoue l’origine à sa nourrice Œnone : elle aime Hippolyte, fils de Thésée. Œnone la convainc que la mort de Thésée rend cet amour légitime. Aussi Phèdre fait-elle au jeune homme