Tribun militaire

Rome (populus Romanus). Par cette définition, les tribuns et les édiles plébéiens ne sont pas techniquement des magistrats, puisqu'ils sont élus que par les plébéiens, plutôt que par tout le peuple de Rome (qui inclut aussi les patriciens)2. Les deux plus hauts rangs de magistrats ordinaires, les consuls et les préteurs, détiennent l’imperium (mot latin pour « commandement suprême »). L’imperium autorise un magistrat à commander des forces militaires. Les consuls détiennent un plus haut niveau d’imperium

Mise en place du régime syllanien. a. Le retour de Sylla. Sylla est envoyé en Orient en 85 avant JC et il rétablit le calme en Asie, il est victorieux, donc très populaire, il a une grande fortune, la gloire militaire. Il revient à Rome, mais ne veut pas abandonner son pouvoir militaire (l’impérium). En 83, il arrive de nouveau à Brindes, il refuse de renvoyé son armé et il marche sur Rome avec ses troupes, aidé par le jeune Pompée qui lui offre des troupes qu’il a levé lui-même. En remerciement

leur ancien gouverneur, le patricien Verrès, de corruption. Sur les pouvoirs de Pompée, est tiré du premier discours de Cicéron, appelé De Imperio Pompéi ou plus communément Sur les pouvoirs de Pompée, prononcé en 66 av. J.-C. du haut des Rostres (Tribune aux harangues de Rome, ornée de rostres (Éperon de navire de guerre antique) pris aux Volsques, à la bataille d'Antium (338 avant J.-C.). I. L’ARRIVEE AU POUVOIR DE POMPEE A. DU PARTI ARISTOCRATIQUE AU HERO POPULAIRE Cneius Pompeius Magnus, Pompée

domine désormais la Méditerranée. Plusieurs hommes d'exception vont tenter de réformer les institutions romaines : les Gracques, Marius, Sylla, Pompée et pour finir César. Une réforme impossible En 133 avant JC, Tiberius Sempronius Gracchus, élu tribun de la plèbe, tente de soulager le sort des citoyens sans ressources en leur allouant une partie du domaine public, l'ager publicus, constitué de terres enlevées aux peuples vaincus, voire aux alliés italiens ! C'est la lex Sempronia. Une dotation

centuriates qui remplacent les commis curiates tandis que l'armée est ré organisé en centurie cela marque un certain // entre les droits et les devoirs civils et les devoirs militaires, un citoyens à Rome est forcément un militaire. Seuls les citoyens assez riches votent, sont véritablement citoyens , sont exclus des droits politiques/militaire ce qui n'ont que leur tête, propriétaire de leur corps, les capite censi parmi eux les orphelins, les esclaves. Chacune de ces cinq classes de citoyens est divisés

roi est élu et il se voit accordé certains pouvoirs : AUSPICIUM : le droit d’entrer en relation avec les Dieux pour obtenir leur accord avant toutes décisions publiques importantes ; Pouvoir militaire : il est le chef de l’armée ; Pouvoir judiciaire : Il peut principalement juger dans deux cas : * PARRICIDIUM (meurtre d’un PATER, chef de la GENS) ; * PERDUELLIO (trahison).

l’origine, on trouve à Rome 2 groupes sociaux : * Les patriciens * La Plèbe, les plébéiens. * Les Patriciens sont les gentes, c'est-à-dire les familles les plus illustres de Rome. Se sont des familles munies d’une renommée politique et militaire. A la tête de ces gentes, on trouve les patres et les plus illustres de ces gentes constituent le Sénat. on appelle alors ces membres les senores. Ces gentes détiennent tout : monopole politique, judiciaire et religieux (les prêtes sont issus des

pouvoirs au Sénat,qui lui en retourne la plus grande partie. Bien sûr tout ceci n'est que pour la forme. Octave domine le Sénat,la preuve la plus flagrante est qu'il garde pour une durée de dix ans la province d'Egypte, Chypre, la Syrie, les provinces militaires de Gaule et d'Espagne. Octave est en même temps élu consul toutes les années entre 31 et 26 av JC. On lui confère aussi le titre d'Augustus à forte connotation religieuse. Avant d’être décerné à Octave, il n’était employé comme adjectif qu’à l’égard

rassemblent pas l’ensemble du peuple. Les décisions de ces derniers de sont donc pas des lois mais des plébiscites et ceux-ci ne s’appliquent qu’à lui-même, à l’inverse des comices qui décident pour l’ensemble du peuple. Laelius Felix prend l’exemple des Tribuns de la Plèbe, qui, réunis en conciles excluant les patriciens ne pouvaient pas légiférer à leur sujet. Dans la deuxième partie du paragraphe, Aulu Gelle reprend encore une citation de Laelius Felix qui détail cette fois les trois comices, différenciées

centuriata) suivent le schéma militaire, c’est l’assemblée du peuple en arme. Les citoyens sont rangés en classes, en centuries en fonction du cens. On dénombre 193 centuries, chaque centurie possède une voix. Les comices centuriates se réunissent hors du pomoerium, sur le champs de Mars. Les comices centuriates ont des compétences politiques (élection des magistrats supérieurs : préteurs, consuls, censeurs), législatives (rôle déclinant au profit des tributes), militaires (participation aux décisions