Trimètre iambique

Les dialectes utilisés sont l'ionien-attique (parlé à Athènes) pour les parties parlées ou récitées, et le dorien (dialecte littéraire) pour les parties chantées. Sur le plan métrique, les parties parlées utilisent surtout des rythmes iambiques (trimètre iambique), jugés les plus naturels par Aristote[10], tandis que les parties chorales recourent à une plus grande variété, mêlant souvent iambes et dactyles[41]. Conventions, scènes récurrentes et coups de théâtre[modifier] L'action tragique

un autre, même si le sens incite à d'autres regroupements. Bérénic/(e) à mes vœux // ne serait plus/ contrair(e) (= 3/3//4/2) - Racine - Cependant certains vers font exception à partir de Victor Hugo. Ce sont les vers improprement appelés trimètres romantiques (effectivement leur caractéristique est rythmique et non métrique). Dans ces vers, le rythme ternaire régulier (4/4/4) l'emporte sur la limite métrique de la césure. Les coups du sort,/ les coups(//) de mer,/ les coups de vent (= 4/4/4)

tragédies de Sophocle, et dans la pièce d'Oedipe-Roi, qui en offre l'une des formes les plus achevées. Le Choeur dans Œdipe-Roi - La structure formelle de la tragédie C'est sur l'alternance de dialogues parlés (il s'agit le plus souvent de trimètres iambiques) et de chants choraux (les formes métriques sont plus diversifiées) que repose la structure formelle de la tragédie grecque. Toutes les pièces présentent le schéma décrit par .Aristote dans La Poétique : (..) si on considère l'étendue de la

de Sophocle, et dans la pièce d'Oedipe-Roi, qui en offre l'une des formes les plus achevées. Le Choeur dans Œdipe-Roi - La structure formelle de la tragédie C'est sur l'alternance de dialogues parlés (il s'agit le plus souvent de trimètres iambiques) et de chants choraux (les formes métriques sont plus diversifiées) que repose la structure formelle de la tragédie grecque. Toutes les pièces présentent le schéma décrit par .Aristote dans La Poétique : (..) si on considère l'étendue de

les accessoires. Les acteurs sont obligés de se grimer, de se parer, de se masquer, de changer de costumes. Deux acteurs chez Echille, et trois chez Sophocle. Structure de l’œuvre : Alternance entre le chant et la parole. Prologue parlé (trimètre iambique). Puis l’entrée du chœur qui chante, c’est le parodos. L’exodos c’est quand le chœur s’en va, à la fin de la pièce. Entre ces deux moments, on a des épisodes (parlés) séparés par des stasima, moment où le chœur ponctue de son chant l’émotion