Triptyque Großstadt

vient du latin retro tabula altaris : en arrière d'autel. Le retable appartient donc à l’art religieux puisqu’on trouve les retables dans les églises. Il est fréquent qu’un retable se constitue de plusieurs parties (deux parties : diptyque, trois : triptyque, plus de trois : polyptyque). C’est une construction verticale, souvent en bois, qui comporte des décors peints ou sculptés. Un retable est toujours de forme rectangulaire, composé de portes que l’on ouvre pour voir les peintures intérieures. Il

la mise au tombeau et sous-entend la résurrection à venir. Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim : - Organisation (triptyque, prédelle, absence de profondeur, personnage empalé qui fait référence au Christ) - réalisme des blessures, caractère expressif - format gigantesque pour susciter l’émotion - référence religieuse car la fonction du triptyque est, entres autres, de protéger la ville (des maladies par exemple) ELEMENTS PLASTIQUES La couleur : dans cette œuvre Otto DIX utilise

La guerre de Otto dix Introduction La Guerre est un triptyque réalisé entre 1929 et 1932 par le peintre allemand Otto Dix1. Fortement marqué par la Première Guerre mondiale à laquelle il participe en tant que simple soldat, il fournit un grand nombre de dessins et peintures retraçant cette période. La plupart des travaux produits par les artistes de cette tendance ont d’ailleurs été jugés comme « art dégénéré » par le régime nazi depuis peu au pouvoir en 1933. Le tableau d’otto dix est une référence

utilisé l’art du retable. Le retable appartient donc à l’art religieux puisqu’on trouve les retables dans les églises. Il est fréquent qu’un retable se constitue de plusieurs parties (deux parties : diptyque, trois : triptyque, plus de trois : polyptyque). Ici, nous pouvons parler de Triptyque, car ce tableau est découpé en 3 parties : Le panneau centrale, les panneaux latéraux et la prédelle. Otto dix inscrit donc son travail dans une perspective religieuse. Il s’inspire en particulier de l’un des retables

peintre réalise cette œuvre afin de rappeler l'extrême brutalité et la sauvagerie vécues pendant le conflit. Cette œuvre composée de trois panneaux principaux est appelée triptyque avec prédelle. Elle rappelle la forme des retables* de la Renaissance que le peintre n'a pas choisie par hasard puisqu'il évoque avec son triptyque une œuvre majeure de la Renaissance : Le retable d'Issenheim de Mathias GRÜNEWALD. *Retable : Dans une église, tableau placé sur un autel et sur lequel sont représentés les

mitrailleur et participe à de nombreuses campagnes en Champagne, dans la Somme ou en Russie d'où il sortira vivant. Il a alors en tête des images d'horreur qu'il essaie d'oublier en peignant, comme en témoigne « Les Joueurs de skat » en 1920. Le triptyque de la guerre : Otto DIX réalise « La Guerre » entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période où les idées nationalistes trouvent de nouveau une place en Allemagne et où les gens commencent à oublier les terribles

participe à la 1ere guere Mondiale , Otto Dix revient tromatisé par l'horreur et la brutalité de la guerre et décide alors de peindre ce qu'il a vu sur le front quand il était soldat . Otto dix utilise sur ce tableau ce qu'on appelle un tryptique . Le triptyque était utilisé au moyen age , il consiste a ce que les 2 panneaux extérieur de la peinture se replie sur celui du milieux. Cette peinture a pour but de dénoncer la guerre . Dans cette oeuvre le peintre utilises seulement des couleurs sombres , notament

cm pour la prédelle La Guerre est un triptyque réalisé entre 1929 et 1932 par le peintre allemand Otto Dix. Fortement marqué par la première guerre mondiale à laquelle il participe en tant que simple soldat, il fournit un grand nombre de dessins et peintures retraçant cette période traumatisante. Ce triptyque a été jugé comme « art dégénéré » par le régime nazi depuis peu au pouvoir (1933). La technique de la tempera sur bois, employée par Dix pour ce triptyque, rappelle celle des anciens comme Jérôme

commencent à oublier les souffrances de la guerre. C'est dans ce contexte que le peintre réalise cette œuvre pour rappeler la brutalité et l'horreur vécues pendant le conflit. L'analyse : Cette œuvre composée de trois panneaux principaux est appelée triptyque (3 panneaux). Sur le volet gauche, une roue apparaît au premier plan, tandis que des soldats, au second plan partent au combat. En arrière-plan, le conflit commence. Les lumières rouges des combats et la fumée qui s’en dégagent présentent la réalité

un tryptique, La Guerre [Der Krieg, 1929-32], la forme du retable. Le renvoi au retable d'Issenheim de Mathias Grünewald, qui propose une ascension vers la clarté, l'aura de la Nativité et de la Résurrection, est explicite. En comparaison, le triptyque de Dix semble une tragique redite du premier volet de Grünewald, La tentation de Saint Antoine. Ici, l'univers apocalyptique de la guerre, la mêlée de corps sanglants, les dévastations de villages minés par les obus, correspondent aux visions délirantes