Tristan Murail

massivement avant destruction par le feu pour éviter une nouvelle attaque pas loin des remparts et quartiers qui ne servent à rien. Ils détruisent l’abbatiale en quelque jours pour éviter les pillages. Fait des destructions pour faire des fossés et muraille, dégagé des champs de tir. Faut lever les impôts. Les gens des villes se défient des gens de guerre et veulent se défendre sans eux. Ils salarient eux-mêmes des défenseurs, qui sont dans leur dépendance. Riche négocie avec l’état royal un certain

fonction de la Place 1. Aperçu historique La porte Bab Sidi Abdelwahab représente l’histoire architecturale de la ville d’Oujda. Cette place tient son nom du marabout Sidi AbdelWahab. Elle fait face au grand portail Est de l’enceinte des murailles qui la cité, à la tombée de la nuit, d’éventuels raids des bandits de grands chemins. Cette vaste esplanade était le cœur battant de la ville. C’était par-là que tout transitait. Les jours du souk, constituaient l’occasion pour nos ruraux

d’ombre Et les glissent soudain en des sous-sols de feu ; Des ponts s’ouvrant par le milieu, Entre les mâts touffus dressent un gibet sombre Et des lettres de cuivre inscrivent l’univers, Immensément, par à travers Les toits, les corniches et les murailles, Face à face, comme en bataille. Par au-dessus, passent les cabs, filent les roues, Roulent les trains, vole l’effort, Jusqu’aux gares, dressant, telles des proues Immobiles, de mille en mille, un fronton d’or. Les rails raméfiés rampent sous terre

musulmans qui souhaitent entrer dans l'enceinte du Mont du Temple. Appelée aussi Porte de Josaphat, Porte de Sainte-Marie (Bab Sitt Miriam), Porte de Saint-Étienne ou Porte des Tribus : bâtie entre 1538 et 1539 et située dans la partie nord de la muraille Est. On l'appelle ainsi car elle est encadrée par deux animaux sculptés faisant penser à des lions, mais il s'agit en réalité de léopards. La bataille pour Jérusalem pendant la Guerre des Six Jours a éclaté Parachutiste Brigade vigueur le 7 Juin

semblaient des tas de viandes sanglantes et pourries. Au fond, contre le mur, pendaient des loques lamentables, des jupes et des pantalons qui grimaçaient sur la nudité du plâtre. Laurent ne voyait d'abord que l'ensemble blafard des pierres et des murailles, taché de roux et de noir par les vêtements et les cadavres. Un bruit d'eau courante chantait. Peu à peu il distinguait les corps. Alors il allait de l'un à l'autre. Les noyés seuls l'intéressaient ; quand il y avait plusieurs cadavres gonflés

parfois placé à l’un des angles. En effet quand le donjon existait déjà, le château devait être construit à partir de ce donjon. Celui-ci devenait donc parfois une des tours de l’enceinte. C’est ainsi qu’on passa d’un simple donjon entouré de sa muraille à un château de plus en plus imposant et dont le donjon fut peu à peu réhabilité en tour et en dernier refuge. Au XIIIème siècle de grandes améliorations ont été faite notamment au niveau de l’adaptation des fortifications aux particularités

être longue.Ah ! le pauvre moulin ! Des boulets le perçaient de part en part. Une moitié de la toiture fut enlevée.Deux murs s'écroulèrent. Mais c'était surtout du côté de la Morelle que le désastre devint lamentable. Les lierres, arrachés des murailles ébranlées, pendaient comme des guenilles ; la rivière emportait des débris de toutes sortes, et l'on voyait, par une brèche, la chambre de Françoise, avec son lit, dont les rideaux blancs étaient soigneusement tirés.Coup sur coup, la vieille roue

« ainsi je raconte ». Ce sont des incises dans les tirets. Elles produisent un effet de réalisme, insistant sur le témoignage direct du narrateur. Le vocabulaire employé évoque des reptiles : "murailles lézardées", "tortueux", "grouillant". Il y a des allitérations en "r""furent d'abord", "raconte", "muraille". Ces allitérations renforcent la structure des strophes, cela rend plus cohérent. Il y a des phrases nominales (sans verbes). Le narrateur perçoit des sons avec des allitérations en "f" et en

coupoles. Là, les pavés sont secs, les ruisseaux n’ont ni boue ni eau, l’herbe croit le long des murs. L’homme le plus insouciant s’y attriste comme tous les passants, le bruit d’une voiture y devient un événement, les maisons y sont mornes, les murailles y sentent la prison. Un Parisien égaré ne verrait là que des pensions bourgeoises ou des institutions, de la misère ou de l’ennui, de la vieillesse qui meurt, de la joyeuse jeunesse contrainte à travailler. Nul quartier de Paris n’est plus horrible

contenir 15 tonnes. Le boulet pouvait faire jusqu’à 30 Kg. Deux sortes de tirs : - le tir tendu, pour abattre les murailles (la pierre utilisée comme projectile est très dure, dense). Il fallait 7 à 8 boulets pour écrouler un mur à 150 mètres (au-delà de la portée des flèches). - Le tir parabolique, pour passer au dessus des murailles (la pierre est cuite). 2. La protection a. Le corps L’armure n’apparaît qu’au XIVe siècle. Le poids varie de