Tristesse

a que ce que vous faites et comment vous le payez. Alors rappelez-vous de ça, quand vous faites ou prévoyez de faire quelque chose de mal : il n'y a pas de pardon. Il y a juste ce qui vient après. Il n'y a que la douleur et la culpabilité, et la tristesse de savoir qui vous êtes et ce que vous avez fait. Alors ne le faites pas. Arrêtez-vous avant qu'il ne soit trop tard." "Aujourd'hui, je fais tout à l'envers parce que je ne sais plus comment m'y prendre pour arrêter de te perdre et ça me rend

d’où un réel pessimisme. Cependant malgré ce pessimisme lié à l’ennui, à la mélancolie de Jeanne dont les aspirations de jeune fille se heurtent à la banalité du quotidien, à son dégoût de vivre, tout n’aura pas été échec dans sa vie. Joie et tristesse, mort et vie alternent dans un éternel recommencement. Jeanne a aussi connu de belles choses, à un coup du sort répond souvent un espoir. Ainsi la mort de la femme de Paul et la venue d’un petit être, fille de sa chair, ramènent la joie dans son

première personne (forte implication de celui qui parle) - Marques d’expressivité (phrases exclamatives et interrogatives, vocatifs) - Musique de la phrase (harmonie rythmique et sonore) Exprimer ses sentiments personnels et les faire partager (joie ou tristesse, bonheur ou mélancolie…) Pathétique - Interjection et apostrophes - Phrases exclamatives - Rythmes brisés - Lexique des émotions (souffrance, pitié, peur…) Emouvoir le destinataire, éveiller sa compassion. Polémique - Marques de la première personne 

souvent siffler la grive.» ainsi que «quand je l’écoutais alors, j’étais triste...mais cette première tristesse». -> Chateaubriand se rappel des campagnes de sa jeunesse et des son qu’il écoutait alors. De même il se rappel des sentiments qu’il éprouvait lorsqu’il entendait le chant de la grive. Le terme de première tristesse donne une impression de pureté, comme si c’était la seule tristesse qui comptait. L’obsession du temps qui passe et la peur de la mort : « j’ai marché plus vite qu’un

»Alors ça y est c’est le départ ! Le retour a la maison ! ». Elle me fait un sourire et me raconte en pleurant toutes les étapes de la maladie de son époux. Moi, je l’écoutais sans dire un mot. Je pouvais lire dans son regard la colère et la tristesse qu’elle ressentait face à la maladie mais aussi la peur que celle-ci ne revienne. Moi : » Aujourd’hui votre mari va bien, profitez de l’instant présent et si malheureusement la maladie réapparait une équipe médicale sera de nouveau prés de

éprouve. La substitution ponctuelle de l’assonance (amours/sous) à la rime, la récurrence de certains sons (ou / a / ai ...), la prédominance des rimes féminines - combinées à la nostalgie des sentiments qui s’expriment - renforcent le climat de tristesse incertaine. Question 3 On attend des éléments de réponse sur la ponctuation, la rime, la métrique et les enjambements tels que les évoque cette proposition de corrigé : « L’irrégularité relative de la métrique (alternance pair/impair, mélange

Dénotation L’affiche illustre le portrait d’un jeune homme en plan rapproché. ü Connotation Le visage est en effet un élément essentiel pour attirer l’attention. Par le biais du regard, l’image exprime beaucoup de sentiments à savoir la joie, la tristesse, la colère, le plaisir, la surprise… Pour cette photo, ce regard figé transmet un sentiment d’inquiétude, d’angoisse voire d’appréhension. Son intensité est provocante pour l’interlocuteur. Il dégage de la détresse, une sorte d’appel au secours

heures... » , avoua le Père Goriot, les larmes aux yeux. Le Père Goriot était un homme bon, un homme qui avait une multitude de qualités mais la plus grande était de loin sa générosité. Ne pas pouvoir aider ses filles l'avait fait entrer dans une tristesse profonde et il se mit à pleurer à chaudes larmes. On devinait la présence d'une boule dans sa gorge et ses joues étaient mouillées de désespoir. C'est à ce moment même que du bruit se fit entendre dans la cour. « Mon Dieu ! Ce sont M. de Nucingen

Odile et Rotbard disparaissent, Siegfried comprend qu'il vient de se tromper et donc qu'il n'a pas tenu parole. Plein de désespoir, le jeune prince se dirige vers le lac des cygnes. Le bord du lac. La nuit est sombre et inquiétante. Odette pleine de tristesse raconte à ses amies la trahison de Siegfried. Les jeunes filles-cygnes sont accablées. Elles n'ont plus d'espoir de recouvrer la liberté. Mais voilà qu'arrive Siegfried. Il supplie Odette de lui pardonner car il a cru que c'était elle, là-bas au

images du passé. Seul le présent existait encore pour Robert Neville, un présent qui consistait seulement à survivre, au jour le jour, sans connaître ni joie ni peine. Il était rentré dans une routine incontournable, son monde était envahi par la tristesse, par la peur de l'inconnu, il était dépourvu d'émotions