Tristesse

rouge de honte, et de peur. C'est alors que je me recroquevillai sur moi même pour me cacher quand tout à coup, la foule éclata de rire. En effet, ils se moquaient de ma personne. Je me sentais humilié, trahi par mon seul ami. J'étais prit de tristesse et à la fois de haine. Je ne pouvais imaginer qu'il ait pu me faire ça. Il était le seul en qui j'avais confiance, le seul qui savait tous mes complexes, et tous les évènements de ma vie. Peut-être voulait-il m'aider? Peut-être essayait-il de m'enlever

céleste s'applique à moi car la guerre m'a épargné jusqu'à présent, mais cette tristesse mortelle me hante, elle est constamment présente. Cela fais bien longtemps qu'elle ferme les traits de mon visage. Tous ces visiteurs ne contribuent pas à me faire aller mieux. En effet, tout ce qu'ils racontent sur le monde extérieur me donne des envies de liberté mais c'est toujours, comme depuis le début de la guerre, cette tristesse mortelle qui m'empêche de m'épanouir, de sortir, de m'octroyer un peu de liberté

et le narrateur de l’histoire, ne se conforme pas aux normes de la morale sociale. Meursault ne comprend pas le monde, et ne comprend pas la fascination que les autres partagent envers la vie. Il ne sent aucune émotion, même quand il souffre les tristesses intenses comme la perte de sa mère. Aussi, il ne sent aucune jubilation quand il trouve un partenaire intime ou quand elle lui demande de lui marier. De plus, il écrit une lettre qui laisse son voisin, Raymond, de se continuer d’abuser sa femme

CHAPITRE II De la Tristesse JE suis des plus exempts de cette passion, et ne l'ayme ny l'estime : quoy que le monde ayt entrepris, comme à prix faict, de l'honorer de faveur particuliere. Ils en habillent la sagesse, la vertu, la conscience. Sot et vilain ornement. Les Italiens ont plus sortablement baptisé de son nom la malignité. Car c'est une qualité tousjours nuisible, tousjours folle : et comme tousjours couarde et basse, les Stoïciens en defendent le sentiment à leurs sages. Mais le

L’âge ou la joie devrait être le maître mot D’une vie qui ne sera maintenant que sanglot. En cette journée d’été bien ensoleillée Les hommes travaillaient et les femmes partaient laver Peu de sourires sur tous ces visages abattus Seule la tristesse sur leur figure était en vue Ces femmes lavant, frottant, rêvaient de jours meilleurs Où elles récolteraient les fruits de leur labeur. Une jeune femme se tenait dans le coin du lavoir Sa sœur à côté lavait sa robe sans savoir Mais soudain

douzième porte, jaune, semblait joyeuse et des rayures créaient en elle une forme de sourire. La huitième colorée d’un rouge sanguin attirait ma colère. Toutes ces portes me faisaient ressentir des sentiments, la joie, la peur, la colère ainsi que la tristesse … Il me semblait donc plus judicieux de choisir celle qui me faisait ressentir le meilleur sentiment, suivant mon instinct je choisi celle de départ, la onzième qui ne m’inspirait que du courage.

même euphorique. Eugénie une fois coucher dans son lit, revu le visage de cet homme qu’elle eu rencontrer au magasin. Elle ressentit alors ce sentiment d’autrefois, celui qui donne l’envie de plaire, celui-ci aléatoire, qui peu donner joie ou tristesse, l’amour. Elle décida donc de tout faire pour le retrouver et de retourner au magasin demain. Le lendemain après plusieurs heures a chercher, aucune trace de ce jeune homme. Eugénie se refusa de déprimer encore pour un homme et se persuada

face à la perception de la déception amoureuse, est le fait que celle-ci est perçut de façon totalement différente chez les deux protagonistes. Dans l’œuvre de Gaston Miron, «Poème de la séparation 1», il est clair que l’auteur met l’accent sur la tristesse et la douleur que l’amour peut causer à la suite de la perte d’une personne aimée. Le poème se concentre principalement sur les émotions qu’il ressent et non sur la situation qu’il vit. La douleur que Gaston Miron décrit est non seulement physique

ouvrez la et vous verrez”. Les habitants l’ouvrirent. De magnifiques bulles en sortirent et se transformèrent en arc-en-ciel. La calebasse quant à elle se transforma en un grand iroko. Le ciel couvert de son drap noir compact végétant dans une tristesse inouïe laissait entrevoir cette transformation de la calebasse lumineuse en un arc-en-ciel. Le lendemain, les rescapés de cette étrange histoire revinrent de nouveau dans le village. La vie reprend son cours normal. De jour en jour

ne dispose pas d'une véritable conscience. Dans le texte d’Alain, la passion est désignée par des émotions. Seul l’homme ressent diverses émotions : comme le fait de désirer une personne pour son attirance physique, ou ressentir de la joie, de la tristesse, de la colère. - l'homme contrairement à l’animal, possède une conscience. L’homme peut ainsi avoir la possibilité d’avoir une passion. D’après le texte, un homme qui est libre a une conscience et peut donc éprouver et ressentir des passions, incluant