Tritium

d'eau contiendrait a lui seul l'équivalent de la combustion de 700 tonnes de pétrole en terme d'énergie. Le tritium lui peut être récolté soit à partir des centrales nucléaires à fission déjà existantes soit par fission du lithium dont on estime les réserves terrestres mondiales à 12 millions de tonnes. Et lorsque la centrale sera en fonctionnement, il sera possible de produire le tritium directement sur place à l'aide du réacteur. Un avantage environnemental : Un autre avantage décisif dans

que plusieurs réacteurs expérimentaux aient déjà fonctionné ou fonctionnent. Ces réacteurs fusionnent du deutérium et du tritium qui sont des dérivés de l’hydrogène. Le deutérium se compose d’un proton, d’un neutron et d’un électron et le tritium se compose quant à lui de deux neutrons, d’un proton et d’un électron. Afin qu’une réaction de fusion se crée il faut que le tritium et le deutérium soient portés à de très hautes températures de l’ordre de 100 millions de degré. Ils deviennent alors du

indirectement pour le programme Simulation. B. Comment cela fonctionne ? 1) Son principe Le principe du laser mégajoule consiste à maintenir un atome d'hydrogène lourd -le deutérium- et un atome d'hydrogène super lourd -tritium- à 10 millions de degré (le deutérium et le tritium étant des isotopes de l'hydrogène). Ils doivent être maintenus très proches l'un de l'autre, sur un temps très court, afin de réaliser une réaction de fusion nucléaire. Ces deux atomes sont contenus dans une microbille,

provoquée par une température élevée. Ex : Soleil, étoiles 1 1�� + 1�� → 2�� + 0�� 1 1 1 + 3�� → 4���� + 1�� 2 0 1 1 1�� 1 1�� 2 1�� 3 1�� Ex : Tokamak 2 1�� Remarques : correspond à 1�� 1 ; 2�� ; 3�� sont des isotopes 1 1 : Deutérium : Tritium 2) Retour à la courbe d’Aston Pour la fusion et la fission, d’après la courbe d’Aston, il se forme un ou plusieurs noyaux plus stables. Il y aura donc libération d’énergie dans une réaction de fission ou de fusion 3) Exemple d’un bilan de

7 N+n → 14 6 C+ p … on remarque qu’il y a conservation des nombres de masse et des charges. Isotopes (suite) Autres exemples : l’hydrogène contient 99,985 % en masse d’hydrogène 1, 0,015 % de deutérium (hydrogène 2) et 1 10-7 % de tritium (hydrogène 3) ; Parfois il peut y avoir plusieurs isotopes en quantités importantes, par exemple le chlore est constitué de deux isotopes, le chlore 35 et le chlore 37, présents respectivement à environ 75 % et 25 % %. Certains isotopes naturels

fission. A partir du mélange deutérium et tritium, ITER vise à réponde à deux objectifs scientifiques essentiels sur la base : Générer une puissance de base de 500 MW durant plus de 6minutes tout en injectant que 50MW Plasma maintenu pendant plus de 16 minutes; Pour conclure, je dirai qu' obtenir une énergie illimitée est un rêve plus que possible grâce au tokamak d'ITER qui exploitera l'énergie de la combinaison Deutérium / Tritium. Mais ne soyons pas pressé car ce projet ne

JET avant et pendant son fonctionnement Au XXe siècle, la science de la fusion a identifié la réaction de fusion la plus efficace réalisable en laboratoire: il s'agit de la réaction entre deux isotopes de l'hydrogène (H), le deutérium (D) et le tritium (T). La réaction de fusion D-T est celle qui permet d'obtenir le gain énergétique le plus élevé aux températures les plus « basses ». Mais elle exige des températures de 150 millions de degrés, soit dix fois plus que la réaction H-H qui se produit

2. Les isotopes d'un même élément chimique diffèrent par le nombre de neutrons que contient leur noyau. (ils possèdent des nombres de nucléons différents ). 3. A=2 et Z=1, le noyau de deutérium contient un proton et un neutron. 4. Le tritium (A=3, Z=1) formé de un proton et deux neutrons. (Remarque : l’hydrogène est aussi un isotope du deutérium, il contient 1 proton) 2- Réactions nucléaires : Lors d’une transformation nucléaire, il y a conservation du nombre de nucléon, et

. [pic] Cette réaction entre le deutérium et le tritium (isotope de l’hydrogène) est l’une des réactions de fusion les plus prometteuses

va s’imposer. Sur le papier le principe d’Iter est relativement simple, fruit de cinquante années de recherche sur la fusion. En résumé il s’agit d’engendrer de puissants champs magnétiques autour de quelques grammes d’atomes de deutérium et de tritium afin de les forcer à fusionner. A mesure que la pression et la température augmentent, le gaz formé de ces isotopes de l’hydrogène se transforme en un plasma, un état instable de la matière comparable à celui qui règne au cœur du soleil. 1) La