Trois Essais Sur La Théorie Sexuelle (1905)

Marcel Mauss (1923-1924) « Essai sur le don. Forme et raison de l’échange dans les sociétés archaïques. » Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration

version 1 - 23 Apr 2012 Pour Freud et Lacan, la psychose n'est pas un état déficitaire. Le texte de Schreber demeure un traité paradigmatique, aujourd'hui encore inégalé. Le délire paranoïaque est une tentative de guérison pour le premier. Un essai de rigueur pour le second. Reste la question épineuse du transfert psychotique. Freud ne croit pas le psychotique capable de transfert analytique, Lacan pense au début que le transfert est susceptible de provoquer un déclenchement, et que, par ailleurs

de la connaissance artistique, scientifique ou philosophique à l’aube du XIXème siècle. Le poète dont la personnalité a dominé pendant près de cinquante années la vie littéraire et culturelle allemande, et qui ne cessa au cours de ses quatre-vingt trois années d’existence d’observer, de penser, et de créer, s’est forgé une statue de pontife du savoir en une œuvre de près de cent quarante volumes4 qui couvre des écrits en tous genres : poésie, roman, théâtre, critique, lettres, journaux… et écrits

d’Amazonie ne pense pas le monde de la même manière que le Pakistanais. La question est est-ce que les différences culturelles renvoient-elles à autant d’hommes différents (définitions différentes de ce qu’on appelle un homme) ? C’est pourquoi on essaie maintenant de dégager la possibilité d’une nature humaine. Il y a-t-il une nature humaine ou l’homme est-il toujours différent ? b) La notion de nature humaine Ce qui est naturel, c’est ce qui existe avant toute transformation donc

PHILOSOPHIE POLITIQUE, 2ème SEMESTRE Chapitre 1 : La modernité comme sortie de la religion ? Problèmes et enjeux généraux. I. Qu’est ce que la modernité ? Essai de définition. 1 cas : être moderne c être ds un rapport spécifique avec le passé et l’avenir. 2 cas : rupture avec le passé. Dans ce cas là, 2 sens possibles : 1) terme fréquemment employé au 19ème siècle 2) au sens technique, moderne s’oppose à médiéval ou au contemporain. Le 2ème sens apparaît vers 1800 en France et en GB :

pol aboutissait sur un regime totalitaire Par ailleurs Spinoza , 1632 -1677 un penseur juif isolé a egalement euvré pour la place de l'individu au sein de l'état et de la société plus precisement en ce qui concerne la liberté de conscience.Cette theorie de la séparation des pouvoirs est souvent présenté comme l'oeuvre majeur de Montesqieu 1699 1751, mais paradoxalement il n'en est pas le premier auteur, cependant il est interessant de se référé a son ouvrage l'esprit de lois 1748 pour constater qu'il

"Je ne fais pas comme je veux, je fais comme je peux." Braque ART DU 20ème SIECLE Le fauvisme (1905-1907) et ses développements : Les fondateurs du fauvisme : Henri matisse, André Derain, Maurice de Vlaminck C’est un groupe d’avant-garde qui crée un scandale en 1905. L’impressionnisme avait débuté avec Edouard Manet et son déjeuner sur l’herbe. Cela inaugure la notion de modernité. On a une première exposition chez Nadar. L’impressionnisme vient d’une raillerie devant « impression soleil

garanties apportée au citoyen pour l’exercice des libertés publiques. Mais l’expression libertés publiques est plus ancienne, avec les lois de la troisième république qui ont introduits de grandes lois sur les libertés. Ainsi de nombreuses lois pendant trois décennies ( ex ; loi sur le presse 1881 qui institue la liberté de presse et supprime la censure préalable ou la liberté loi d’association de 1901 quià permis ce maillage d’association qui a permis au citoyen de profiter de tous ces droits et libertés)

peine d’en abîmer l’âme… Les Grecs et les Romains vont quand même faire quelques progrès en médecine surtout sur le plan de la pharmacopée et de l’auscultation. Hippocrate, considéré comme le père de la médecine va prôner l’auscultation et la théorie des 4 humeurs selon laquelle le corps est composé – comme l’univers – de 4 éléments et qu’il est malade lorsqu’il y a un déséquilibre entre ces 4 éléments. Hippocrate et ses disciples observent donc les symptômes et leur évolution mais n’ont toujours

dans le grand quotidien de Buenos Aires parce qu’il l’avait signée «Jorge Borges» et qu’on avait cru que c’était l’oeuvre de son père !). Il traduisit de nombreux autres ouvrages anglais. Après la Première Guerre mondiale, la famille Borges habita trois ans à Lugano, puis à Genève où il étudia au collège Calvin (apprenant alors le français [il disait parler «un français un peu helvétique»] et l’allemand), Barcelone, Majorque, Séville et Madrid. En Europe, il acquit une culture cosmopolite. En Espagne