Trompette

Les sceaux, comme les trompettes, vont par groupe de quatre, deux et un. L’ouverture des quatre premiers sceaux est présentée par les quatre Vivants, chacun à son tour. Chaque Vivant révèle un cavalier, le quatrième cavalier résume les trois premiers. « Alors, on leur donna pouvoir sur le quart de la terre, pour exterminer par l’épée, par la faim, par la peste, et par les fauves de la terre » (Ap 6 :8). Le pouvoir de ces cavaliers est limité à un quart, avec les trompettes plus loin, il est limité

caisse claire ce qui fait « grésiller » la peau. Pour lier la répétition et la variété, Maurice Ravel choisit de faire passer cette cellule rythmique de deux mesures d’un pupitre à l’autre (d’un instrument à l’autre) : Flûte traversière, basson, cor, trompette… Cet ostinato rythmique sera accompagné par la contrebasse, par les cordes en pizzicato sur des DO – SOL – DO – SOL – DO …  Le gisgantesque crescendo : Ravel joue sur les timbres et sur l’ajout des instruments pour passer d’une nuance à l’autre

narration s’accélère grâce à une ponctuation marquée ainsi qu’à un rejet au vers treize : l’attaque du moucheron dévoile un registre épique souligné par le champ lexical de la guerre : « trompette », « héros », « guerre », « ennemi ». Le moucheron, habile et rapide, joue plusieurs rôles car il « fut la trompette et le héros ». Son omniprésence est caractérisée par l’hyperbole « en cent lieux ». La métaphore filée de la guerre dévoile une stratégie avant l’attaque avec les verbes « prends son temps

pleins (la terre et les squelettes) On retrouve sur les lignes de forces naturelles (règle des tiers) les squelettes jouant de leurs instruments de musique. La composition est centrée sur deux groupes de personnages avec chacun un squelette à la trompette. Le centre de la toile se trouve sur la ligne d’horizon, point par lequel le regard du spectateur peut fuir la vision d’horreur. On retrouve beaucoup d’obliques et de lignes brisées ce qui évoque l’instabilité, le déséquilibre, le désordre et le

source de vie et de vitalité dans le roman, fait l’objet de toutes les attentions. L’énumération « sans ordre, sans enseigne, sans trompette ni tambour » accumule les négations soulignant l’absence, à l’aide de la proposition « sans » et de la conjonction de coordination « ni » : absence d’organisation, abandon des symboles, des instruments relayant les ordres (trompettes et tambours), absence d’apparat. C’est une « armée » de pacotille que Frère Jean se propose de défaire, mais surtout une armée

colère. [B) Du chant au rugissement] Au fur et à mesure de l'avancée de la bande, le chant prend de l'ampleur jusqu'à devenir « un rugissement populaire ». La dimension animale déjà présente dans l'adjectif « monstrueuse » qualifiant le terme « trompettes » se précise ici. Le chant se mue en cris féroces tels ceux du lion en colère. Ce chant se déploie dans un mouvement continu : par l’expression du mouvement (verbe « descendre », mots comme « élan », « irruption » ; emploi de l’adverbe « toujours

Etablir une trace écrite avec les élèves sur Armstrong. Voici l'exemple d'un texte rédigé sur le blog d'une classe de CM: " Louis Armstrong (1901,1971) est un chanteur de jazz noir américain. Il chante avec une voix très grave et joue aussi de la trompette. C'est sûrement le chanteur de jazz le plus célèbre. Claude Nougaro a effectué une reprise en français de la chanson de Louis Armstrong "go down Moses" en utilisant la même mélodie et le même tempo mais avec moins d'instruments. Nougaro a écrit les

Nom des neufs muses : Calliope : La poésie épique (le stylet, le tablette et la trompette) Clio : L'histoire (la trompette, la cithare et la clepsydre) Erato : La poésie lyrique (la lyre et le plectrum) Euterpe : La musique (le hautbois et la flûte) Melpomène : La tragédie (un masque tragique ou un poignard, un sceptre ou une couronne) Polymnie : L'art d'écrire et la pantomime (la perle dont elle est couronnée) Terpsichore : La danse (une harpe) Thalie : La comédie (une sphère céleste et

une partie du Château-Trompette : ensuite le faubourg appelé les Chartrons, et la Palue dans le lointain. À l'extrémité, Lormond, village à une lieue au-dessous de Bordeaux au pied d'une montagne. »
Joseph Vernet, Catalogue du Salon 1759, n° 65. Joseph Vernet (1714-1789), Vue d'une partie du port det de la ville de Bordeaux, prise du côté des Salinières, huile sur toile, L. 2,63 x H. 1,65, 1758, Musée national de la Marine, Paris « Cette vue est prise du Château-Trompette, d'où l'on voit une

l'autre : l.24 « Pâris ne tient plus à Hélène. Hélène ne tient plus à Pâris » répétition + chiasme, situation fixée, sans issue de secours → Hector dont on entend l'approche, il revient d'une guerre : l.11-12 « il arrive ! Tu entends assez ces trompettes... » c.Une situation encore très équilibrée (infos recueillies par le spectateur) équilibre montrée par la jeune servante → le chœur populaire antique son optimisme est montré par un superlatif évoquant la paix : « Troie touche aujourd'hui