Tropismes Sarraute

texte qui s’occupe plutôt des contraintes globales ou macrostructures, s’occupe des progressions thématiques. Le thème dérivé d’un autre thème : Progression éclatée du récit : mouvement littéraire du nouveau roman avec des auteurs tels que Nathalie Sarraute, Alain Robe Grillet, Michel Butor, Claude Simon la route des Flandres, Notion de cohérence discursive se décline en trois : * Progression thématique à thème constant * Progression thématique à thème dérivé d’un hyperthème * Progression

1957 22 – Albert Camus, L’Etranger, 1947 (Cf : Manuel de littérature, français 1ère, toutes séries, livre unique, Dominique Rincé, Nathan) Lectures complémentaires Nathalie Sarraute, Disent les imbéciles, 1976  Nathalie Sarraute, L’Ere du soupçon, 1956 ; (extrait 1), Ce que le lecteur a appris… Nathalie Sarraute, L’Ere du soupçon, 1956 ; (extrait 2), Voilà pourquoi le personnage… Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman, 1963 ; (extrait 1), Nous en a-t-on assez parlé du « personnage » 

contre les facilités du romanesque, de l’intrigue, des aventures et des héros que s’inscrivent Nathalie Sarraute, Alain Robbe-Grillet, Michel Butor et Claude Simon. L’ère du soupçon, pour reprendre un titre de Sarraute, pèse désormais sur le roman en général. L’aventure, discontinue dans La Route des Flandres de Claude Simon, et quasiment absente dans Les Fruits d’or de Nathalie Sarraute, cède le pas aux objets et au réel envahissants, chez Alain Robbe-Grillet et Michel Butor. Le roman

complexe (cf.  « L’essentiel dans la vie n’est jamais exprimé » = Mauriac ) * Personnage manque d’ « opacité » cf. critique de Nathalie Sarraute dans L’Ere du soupçon : Il ne procure donc plus rien au roman (remise en question du statut de personnage dans le Nouveau Roman au XXème siècle). C) Le manque de crédibilité des personnages * Selon Nathalie Sarraute, il n’y a plus de réalité psychologique dans le personnage (dans l’Ere du soupçon) * Le lecteur ne « croit plus » au personnage

Nouveau Roman » de M. Butor et Alain Robbe-Grillet fait disparaître le personnage LE NOUVEAU ROMAN Le Nouveau Roman (NR) est un mouvement sans chef de file, sans revue qui trouve peu à peu sa cohérence grâce à des études théoriques : Nathalie Sarraute publie en 1956 L’Ère du soupçon, Robbe-Grillet Pour un nouveau roman en 1963, Michel Butor écrit ses Essais sur le roman en 1964. Les innovations sont les suivantes : 1. Le roman classique prétendait concurrencer l'état civil en présentant

Le planétarium de Nathalie Sarraute ”Le planétarium” est un livre appartenant au genre du nouveau roman dont Nathalie Sarraute est la principale représentatrice. La caractéristique essentielle de ce mouvement est la présentation des moindres sentiments et pensées des personnages à un moment précis. Un homme, Alain Guimier, est perdu au milieu de relations familiales et sociales complexes, et peut être considéré comme le personnage principal autour duquel tout se joue. Le livre se divise

ENFANCE de Nathalie Sarraute Enfance est une autobiographie écrite par Nathalie Sarraute (1900-1999), publiée en 1983. Nathalie Sarraute y raconte, sous forme d’un dialogue avec elle-même, ses souvenirs d’enfance. Cette période est déchirée entre ses parents, divorcés, et entre la Russie et la France. Nathalie Sarraute essaye d’être aussi sincère que possible, et cette œuvre s’avère être une sorte d’introspection où elle s’interroge sur la véritable nature de sa mère, froide et distante, et

Théâtre, poésie et fiction dans Enfance L'œuvre Enfance de Nathalie Sarraute peut être considéré comme une autobiographie, en ce qu'elle est composée de souvenirs de l'auteur. Cependant, Nathalie Sarraute refusait de classer son livre dans l'armoire fermée des autobiographies. Elle pensait que son livre n'en était pas une. D'ailleurs, pour elle, une autobiographie, «c’est toujours très partial, enfin, moi, je n’y crois jamais. Ce qui m’intéresse toujours quand je lis les vraies autobiographies

psychologique des personnages, mais dans « l’aventure de l’écriture », dans l’entreprise même du roman ; la littérature serait alors autotélique, n’ayant encore une fois pour autre objet qu’elle-même. Ainsi en 1956 dans l'Ère du soupçon, Nathalie Sarraute récuse les conventions traditionnelles du roman ; elle y cite également la nature novatrice des romans de Kafka, de Proust, de Joyce et de Dostoïevski. Aux côté de Michel Butor ou encore Alain Robbe-Grillet, elle s’inscrit comme l’une des figures

Albert Camus, le Mythe de Sisyphe (1942), l'Etranger (1942), Caligula, Le Malentendu (1944), La Peste (1947). - Ionesco, La Cantatrice chauve - Sartre, La Nausée, Le Mur, Huis Clos, Les Mains sales - Alain Robbe-Grillet , Les Gommes - Nathalie Sarraute , Martereau, L’Ere du soupçon - Michel Butor, La Modification