Troubadour

premier temps nous définirons le sonnet traditionnel pour ensuite dans une dernière partie étudier les marques de la modernité poétique en les comparant au sonnet traditionnel. D’origine italienne, le sonnet est introduit en France par les troubadours provençaux. La forme est fixée par le poète italien Pétrarque et est ensuite théorisé en France par les auteurs de la Pléiade (Ronsard, Du Bellay…). Nous savons qu’il y a différents sonnets traditionnels comme par exemple celui de Ronsard « Je

Cependant, l'histoire littéraire nous montre que la fonction du poète, c'est à dire la figure qu'il laisse transparaître à travers ses textes poétiques ou ses réflexions théoriques, son rôle social, ont évolué à travers les siècles. Depuis le troubadour du moyen-âge célébrant la beauté inaccessible de sa dame jusqu'aux explorateurs linguistiques, facétieux, de l 'OULIPO, nous pouvons observer des tendances fortes, des récurrences,des constantes même. Ce sont ces différentes postures persistantes

poësie (le tréma marquait une disjonction entre les voyelles o et e). ποιεῖν (poiein) signifie « faire, créer » : le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives, ce que révèlent aussi les termes du Moyen Âge, comme trouvère et troubadour. Le poète, héritier d'une longue tradition orale, privilégie la musicalité et le rythme, d'où, dans la plupart des textes poétiques, le recours à une forme versifiée qui confère de la densité à la langue. Le poète recherche aussi l'expressivité

utilisent beaucoup la poésie dans ce sens d'expression des sentiments (tel que l'amour) La poésie est donc un bons moyen d'extérioriser ses sentiment notamment par le biais du registre lyrique. On le retrouve ainsi donc partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle avec des poètes tels qu'Aragon ou Eluard. La poésie lyrique est centrée sur le "moi", chante le malheur, le bonheur, les doutes et les craintes de l'auteur. Elle permet à l'auteur de faire part des émotions

gris, parmi les herbes vertes. Le gai Guadalquivir rit aux blonds orangers Et reflète, les soirs, des boléros légers. Le Pactole a son or, le Bosphore a sa rive Où vient faire son kief l’odalisque lascive. Le Rhin est un burgrave, et c’est un troubadour Que le Lignon, et c’est un ruffian que l’Adour. Le Nil, au bruit plaintif de ses eaux endormies, Berce de rêves doux le sommeil des momies. Le grand Meschascébé, fier de ses joncs sacrés, Charrie augustement ses îlots mordorés, Et soudain

s'inspire de légendes celtiques. Ainsi, la légende de Tristan et Iseut raconte l'histoire d'un amour absolu et impossible qui se termine par la mort tragique des amants ; ces poèmes étaient chantés à la cour des princes par les trouvères et les troubadours. Les romans de chevalerie : Chrétien de Troyes (1135?-1190?) est sans doute le premier romancier de la littérature française ; ses romans comme Yvain ou le Chevalier au lion, Lancelot ou le Chevalier à la charrette et Perceval ou le conte du

trouve le suzerain, puis le clergé, ensuite les chevaliers et le plus bas ce sont les paysans. Dans cette société, chaque homme est lié à un autre, et finalement tout dépend du suzerain qui fournit aux gens de quoi vivre. Pour les poètes comme troubadours et trouvères, il fallait chanter les louanges du suzerain et transmettre les valeurs de l’époque aux gens pour que les gens puissent s’en inspirer. Premièrement Chanson de Roland représente les valeures religeuses de l’époque. Ces valeurs religeuses

Thème C'est un très bon exemple de la fin'amor ou amour courtois, amour idéal, dans la littérature du Moyen Âge. « Le Chevalier de la charrette peut alors se lire comme une mise en récit de la situation habituelle de l'amant dans la lyrique des troubadours »[7]. Ce terme désigne une série de règles qui régissent le rapport entre un amant et sa dame. La dame est toujours de rang supérieur à l'amant, et celui-ci doit accomplir des prouesses et des sacrifices pour montrer son caractère extraordinaire

romans arthuriens, Le Roman de la rose, Tristan et Iseut. La Littérature satirique qui, au nom de la morale ou de la religion, dénonce le mauvais chevalier. Ex. : Le Roman de Renart. Les auteurs, souvent anonymes sont divers : Des jongleurs, troubadours dans le sud de la France ou trouvères au Nord qui se produisent lors de fêtes villageoises ou seigneuriales. Des copistes, souvent moines, réécrivent des textes en y ajoutant leur touche personnelle car la propriété littéraire (la notion d’auteur)

décrit la découverte, par Viviane, d’un Lac qui se trouve être sur les terres de son pères, après que Merlin en eu modifier l’apparence. Comment la description de la Merveille fournit à Barjavel l’occasion de rivaliser de créativité avec les troubadours qu’il imite ? I - Le domaine merveilleux de Viviane, II - La réécriture des romans de chevalerie. La scène d’amour entre Lancelot et Guenièvre, p341 à 343 (adultère) Le texte soumis à notre analyse est extrait du roman de chevalerie, L’Enchanteur