Trouble panique

Etant en stage à la PMP (polyclinique médico psychologique) qui accueille des patients atteints de troubles psychotiques, schizophrénie, troubles névrotiques, troubles bipolaires etc. j’ai pu réaliser 2 jours au CMP (centre médico psychologique) et où j’ai pu réaliser entre autre une injection intra musculaire (IM) d’Haldol® au domicile de Mr P. Mr P. est un patient du CMP qui reçoit toute les mois une injection de neuroleptique Haldol® pour traiter sa schizophrénie. Mr P. est un patient stabilisé

familiaux Mr X a 2 frères et une sœur avec qui il a aucun contacte, son père lui rend visite 4 fois part an mais cela devient difficile du faite que son père et âgé Médical Mr X est déficient mentale avec une psychose perverse avec un trouble associer (trouble du comportement, qui et stabilisé par un traitement .Mr X est capable automutilation quand il se sent mal physiquement et /ou Psychologiquement. Le suivie avec la psychologue se fait à la demande du résident. L’Alimentation Mr X mange

participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’altération substantielle, durable ou définitive, d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant ». Le handicap moteur Il peut toucher un membre ou l’ensemble du corps. Les personnes atteintes de ce handicap se déplacent soit debout en s’aidant d’une canne, soit en fauteuil roulant. En pratique, les déficiences motrices

Pour commencer, l’homosexualité se traduit par une attirance physique ou non envers une personne du même sexe. Très critiquée et mal vue, l’homosexualité est, dans notre société, perçue comme une déviance. C’est-à-dire que l’homosexualité serait un comportement ne respectant pas les normes de la société. Autrefois caractérisés de maladie mentale, l’homosexualité est certes mieux acceptée aujourd’hui mais pas encore considérée comme normale. Cependant, depuis des dizaines d’années, le droit fait de

suicide égoïste et anomique. INTRODUCTION Dans l’introduction, Durkheim redéfinit la notion de suicide et justifie le lien entre « suicide » et « Fait social ». C’est contre les théories qui voient, dans le suicide, la manifestation d'un trouble psychique individuel que Durkheim veut établir que le suicide est bien un fait social, une « tendance collective » qui dépend de « l'état de la société » et donc « ressortit à la sociologie » (P. 15-16). Durkheim démarre d’ailleurs son ouvrage en

Trouble de l’humeur Trouble de l’humeur Aigu Aigu TDR = unipolaire Plein d’épisode dépressif sans faire de phase maniaque ; ni hypo maniaque Ttt : Antidépresseur IRS (en 1ère intention car mieux toléré) 3ans TDR = unipolaire Plein d’épisode dépressif sans faire de phase maniaque ; ni hypo maniaque Ttt : Antidépresseur IRS (en 1ère intention car mieux toléré) 3ans Ep DM Unique Risque de récidive Ttt : dépression Antidépresseur IRS Arrêt après minimum 6mois de ttt si amélioration

Molcard Raphaël 2°7 Français, fiche de lecture L’insomnie des étoiles, Marc Dugain ____________________________________________________________ ______________________________ ____________________________________________________________ _____________________________ Marc Dugain Sommaire

b) Résumé E.ZARIFIAN a choisi de débuter son ouvrage par une définition approfondie les notions de « maladie mentale » « folie » * Dans la première partie (qu’est-ce que la maladie mentale ?), l’auteur définis et explique différents troubles associés à la maladie mentale : l’anxiété, la dépression, l’état maniaque, la bouffée délirante aigue, la schizophrénie, le délire paranoïaque et les personnalités pathologiques. * La deuxième partie (le normal et le pathologique) nous

reproduit sa propre personnalité qui tantôt se retrouve appartenant à sa vie quotidienne et qui tantôt se retrouve en paix dans le « ditcher » des histoires qu’il raconte puisqu’il « crée des œuvres d’art en mots » . Cette dualité dévoile certains troubles psychiques qui feront surface dans son quotidien tout comme dans ses créations ; ce qui nous permet de recourir à une lecture psychocritique de son œuvre. Selon la méthode de Charles Mauron, la lecture psychocritique d’une œuvre littéraire « se

mental peut posséder un quotient intellectuel très élevé, même largement au-dessus de la moyenne. L’aspect « maladie mentale » se révélera comme un trouble passager ou constant dans son mode de comportement. Il se soigne plutôt en hôpital psychiatrique ou à l’aide de médicaments ayant une influence sur l’état psychique du patient. De plus, ces troubles pouvant être passagers, une personne saine peut parfaitement développer une maladie mentale à une période de sa vie, puis guérir sans séquelles. A