Trousseau

également la toilette des grandes occasions. Durant ses premières années en France, Marie-Antoinette peu coquette et maladroite dans le choix de ses toilettes, fut relativement sage. En effet, elle portait des robes qu’elle trouvait dans un trousseau tout préparé, constitué d’un paquetage quasi militaire. Elle revêtait des robes retenues et non choisies par elle même. II- Robe à la française En 1772, Marie Antoinette adoptera la robe à la française, qui est la robe de

commença par le trousseau de la mariée. Chaque fois qu’elle allait acheter un habit, elle le faisait essayer à Zalgoum. Les robes : — La fiancée de ton frère a juste ta taille, lui disait-elle. Les souliers : — La fiancée de ton frère a ta pointure. Les bijoux : — La fiancée de ton frère a même tour de cou, même rondeur de bras, mêmes chevilles que toi. Mais, quand Zalgoum demandait qui était la fiancée de son frère, la mère détournait la tête et ne répondait pas. Quand le trousseau fut prêt, elle

pourpoint d'avec un haut-de-chausse »). Chrysale souligne le contraste entre deux époques, deux générations, entre celle de ses « pères » et « les femmes d'à présent », et entre des activités domestiques (« enfants », « ménage », « dépense », « trousseau ») et activités intellectuelles (« écrire », « science »). Petits Classiques Larousse - 11– Femmes savantes 

Publius Syrus " L’exil est une espèce de longue insomnie ". Victor Hugo Il prit le trousseau de clés dans la poche de la veste, ouvrit la porte de son logement, y pénétra et referma derrière lui. Il se dirigea d’un pas nonchalant vers la pièce qui lui servait en même temps de "réception" et de "bureau". il prit place comme à son habitude

laquelle je me croyais un chef arabe », etc.), mais aussi olfactives (« odorante armoire aux piles de linge à la verveine »), gustatives (« ses tisanes », « sa belle armoire de cerisier [...] sombre et fruitée de confitures »), auditives (« son trousseau de clefs qui sonnaillaient au cordon du tablier ») et tactiles (« je me sentais au chaud », « son coffret plein d’anciennes bricoles d’argent avec lesquelles je jouais quand j’étais convalescent »)... Toutes ses sensations se mêlent dans des phrases

ombilical qui reste gorgé de jeunes cellules toutes neuves qui ne demandent qu’à se multiplier et se transformer en n’importe quelle type de cellules sanguines humaines, par exemple. Luc Douay, chef du laboratoire d'hématologie à l'hôpital Armand-Trousseau, à Paris, a fait des recherches pendant plusieurs années afin de transformer ces cellules souches en globules rouges… Le professeur Luc Douay et son équipe travaillent depuis 10 ans sur la fabrication en laboratoire de globules rouges à partir

se hausse  À connaître un pourpoint d’avec un haut de chausse5. Les leurs ne lisaient point, mais elles vivaient bien ; Leurs ménages étaient tout leur docte entretien, Et leurs livres un dé, du fil et des aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les femmes d’à présent sont bien loin de ces mœurs : Elles veulent écrire, et devenir auteurs. Nulle science n’est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu’en aucun lieu du monde : Les secrets les plus hauts s’y laissent

Tout d'abord, elle emploie de façon évidente le conte en reprenant la trame selon laquelle un homme garde une femme chez lui, lui offrant tout le luxe dont elle a besoin, lui permettant d'accéder à toutes les pièces de la luxueuse maison grâce à un trousseau de clefs, mais empêchant formellement l'entrée dans une des salles. Dans le conte de Perrault, la jeune épouse résiste quelques jours à la tentation avant d'ouvrir la pièce interdite. A ce moment-là, elle découvre l'atroce vérité en tombant en face

c’est le fondement même de toute interprétation de type intentionnaliste de chercher à expliquer un sens immuable, dont seule l’interprétation est garante. C’est pourquoi le deuxième chapitre revient plus précisément sur la « constitution d’un trousseau de clefs » qui sert de fondement à notre étude. Dans la mesure où il faut chercher à donner une définition de la lecture à clef la plus objective possible pour faire l’anatomie du protocole interprétatif sous l’Ancien Régime, notre enquête empirique

une année; mais l'anneau était donné, et le divorce ou la mort pouvaient seuls séparer les futurs époux (17).Les Talmuds donnent un singulier motif à cette longue durée des fiançailles : il fallait laisser à la jeune fille « le temps de faire son trousseau (18) ».Si la fiancée était veuve on réduisait le temps où elle devait attendre à un mois au minimum. Du reste le fiancé était dispensé du service militaire et depuis le jour de la promesse définitive jusqu'à un an après le mariage, les jeunes gens