Trouville-sur-Mer

de nombreuses analogies. Les femmes présentes dans les gravures reflètent des caractéristiques propres à Mme Roland et à Mme Rosémilly. La première est « femme de pêcheur » or la pêche est la principale passion de M. Roland ; son « homme » meurt en mer comme le mari de Mme Rosémilly. La seconde femme est blonde comme Mme Rosémilly, ses yeux mouillés de larmes pourraient être ceux de Mme Roland ; elle est d’une classe supérieure à la première, or Mme Rosémilly, veuve d’un capitaine est d’une classe

déplacent et ont des loisirs à l’extérieur. Ils se promènent en foret font du sport (tennis) vont aux musée (exposition universelle de 1858) assistent a des spectacles (Opéra Garnier 1875) possèdent parfois des résidences secondaires, se rendent à la mer (Deauville, Trouvaille…). Ces loisirs leur permettent de se retrouver en famille, entre amis, d’élargir leur cercle d’amis avec de nouvelles rencontres de gens de la même classe. Ces loisirs sont caractéristiques de la classe bourgeoise car ils coutent

plate descendait en pâturages, en prairies et en champs jusqu’à la mer. Le rivage de la haute Normandie, au contraire, était droit, une grande falaise, découpée, dentelée, superbe, … » (p.72). Maupassant décrit la région plus en détails au fur et à mesure des chapitres : on voit la mer et les bateaux, la vue du port du Havre (deuxième plus grand port en France après celui de Marseille) et les différentes plages (celle de Trouville et celle de Saint-Jouin). Maupassant a choisit ce cadre limité, car

Argentan, Alen�on, Lisieux, Dieppe et �vreux. Plusieurs sites maritimes et villes baln�aires sont des points touristiques surtout estivaux : le Mont-Saint-Michel, les plages du d�barquement de Normandie, dans le Cotentin, Deauville, Trouville, Honfleur, F�camp. BRETAGNE Bretagne (r�gion historique), r�gion de l'ouest de la France, comprise entre la Manche et l'Atlantique. La Bretagne correspond aux d�partements actuels du Finistere, des C�tes-d'Armor, du Morbihan, de l'Ille-et-Vilaine

La ressemblance entre les deux hommes est évidente. Pierre cherche à montrer à sa mère, par tout moyen, qu'il est au courant de la verité. Il la questionne notamment sur l'existence de ce portrait. Toute la famille décide de faire un voyage à Trouville, en compagnie de madame Rosémilly. A cette occasion, Jean lui fait part de ses sentiments et tous deux décident de se marier. Pendant ce temps, Pierre et sa mère s'affrontent par un jeu de regards. Elle comprend qu'il a découvert son secret et en

Corneille. Que les hommes sont bêtes, que le peuple est borné... » (à Ernest Chevalier, 11 septembre). 1834 Vacances à Trouville. Une rencontre avant la rencontre de 1836 : « Se baignait alors une dame, oh une jolie dame (...) le lendemain (...) nous avons appris (...) qu’elle était noyée oui noyée, cher Ernest, en moins d’un quart d’heure » (26 août). Premier « fantôme » de Trouville... Embêtement de l’existence : « Si je n’avais dans la tête et au bout de ma plume une reine de France au quinzième

II) RESUME DE L’ŒUVRE Chapitre I : M. et Mme Roland accompagnés de leur deux fils Pierre et Jean passent la journée en mer à bord de leur bateau, la Perle. Sur leur invitation, leur voisine, Mme Rosémilly, s’est jointe a eux. M. Roland est un ancien bijoutier parisien. Epris de pêche et de navigation, il s’est retiré au Havre dés qu’il a pu vivre de ses rentes. Ses fils viennent d’achever leurs études : Pierre, l’aîné a fait médecine, tandis que Jean le cadet, a fini son droit. Tous deux passent

tant que tel sont créés en 1896. Ce dernier est vérifié par un ingénieur du service des Mines (conduite et connaissance du véhicule). Au début du XXe siècle, les quatre premiers panneaux en France ont été plantés sur la route entre Paris et Trouville-sur-Mer, lieu de villégiature balnéaire en Normandie. Ces panneaux étaient l'annonce d'un croisement, d'un virage, d'un passage à niveau et d'un cassis (ou dos d'âne). En 1921 le premier code de la route français est rédigé et adopté. Celui de 1958

brouillard, 1899-1901 Huile sur toile, 73 × 92 cm Paris, musée Marmottan Monet, inv. 5001 Londres. Le Parlement. Reflets sur la Tamise, 1905 Huile sur toile, 81 × 92 cm Paris, musée Marmottan Monet, inv. 5007 Abstraktes Bild, See [Image abstraite, mer], 1997 Huile sur toile, 200 × 180 cm Baden-Baden, Museum Frieder Burda 2. Effets de lumière Les couchers de soleil de Monet témoignent de son attirance pour la représentation éphémère et changeante des reflets de la lumière crépusculaire sur la

Corneille. Que les hommes sont bêtes, que le peuple est borné... » (à Ernest Chevalier, 11 septembre). 1834 Vacances à Trouville. Une rencontre avant la rencontre de 1836 : « Se baignait alors une dame, oh une jolie dame (...) le lendemain (...) nous avons appris (...) qu’elle était noyée oui noyée, cher Ernest, en moins d’un quart d’heure » (26 août). Premier « fantôme » de Trouville... Embêtement de l’existence : « Si je n’avais dans la tête et au bout de ma plume une reine de France au quinzième