Tu Te Lèves Paul Eluard

d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant

d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant

d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant

surréaliste Littérature en 1920, fut considéré, comme le premier écrit surréaliste. Les premiers écrivains ayant adhéré au mouvement, à la suite des trois fondateurs historiques André Breton, Louis Aragon et Philippe Soupault, furent par exemple Paul Éluard, Antonin Artaud, Benjamin Péret, Robert Desnos, Raymond Queneau, ou encore Michel Leiris. Les procédés pratiqués par les auteurs surréalistes allèrent des jeux sur le langage (comme le fameux cadavre exquis)aux comptes-rendus de rêves et au

respectueuse de la religion quel que soit le lieu (« je me faisais un devoir de marcher dans la rue […] les mains dévotement jointes et […] les yeux baissés comme en perpétuelle prière », l. 26-28). 5. A. Cohen est soumis à l’autorité de son camarade, Paul, à qui il donne son argent lorsqu’il en a, pour qu’il puisse profiter du repas des « riches » tandis que lui se contente d’un plat de riz (l. 4-5). Il éprouve pour la Mère Supérieure une « respectueuse flamme » (l. 17) et pour l’ensemble des religieuses

s’il s’affole, grimace ou commence à pleurer. Le maître aura changé la place des panières, permuté les vêtements à l’intérieur des panières, fait un nœud à quelques manches, etc. Qui a donc pu faire cette plaisanterie ? Quelques enfants sont déjà levés. Certains ont commencé à s’habiller, d’autres ont fini et se sont précipités vers un des jeux mis en place par l’enseignant ou dans un coin-jeu. C’est l’occasion de demander à ceux qui étaient réveillés avant s’ils ont vu quelque chose. Mais l’enseignant

s’il s’affole, grimace ou commence à pleurer. Le maître aura changé la place des panières, permuté les vêtements à l’intérieur des panières, fait un nœud à quelques manches, etc. Qui a donc pu faire cette plaisanterie ? Quelques enfants sont déjà levés. Certains ont commencé à s’habiller, d’autres ont fini et se sont précipités vers un des jeux mis en place par l’enseignant ou dans un coin-jeu. C’est l’occasion de demander à ceux qui étaient réveillés avant s’ils ont vu quelque chose. Mais l’enseignant

errait ça et là dans les lieux les plus solitaires de l’habitation, cherchant partout du repos et ne le trouvant nulle part. Quelquefois, à la vue de Paul, elle allait vers lui en folâtrant ; puis tout à coup, près de l’aborder, un embarras subit la saisissait ; un rouge vif colorait ses joues pâles, et ses yeux n’osaient plus s’arrêter sur les siens. Paul lui disait : « La verdure couvre ces rochers, nos oiseaux chantent quand ils te voient ; tout est gai autour de toi, toi seule es triste. » NB : Les

celle du nombre, celle de la relation, que sais-je encore ! (...) » (101) Les brouillards, dirait-on, à la faveur de beaucoup de patience, après de longues années d’attente, au terme de longues et silencieuses lectures, les brouillards se sont levés. Penché au-dessus d’un texte, des textes, le critique, maintenant, d’une certaine manière, y voit clair. Il sait où il va. Il repère les actes de conscience, les Cogito, il les répète, il les mime, il participe, il s’identifie, il coïncide, et peut

Prolongements Séquence 12 De l’Esprit nouveau au surréalisme B. Cendrars, « La prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 P. Soupault, Westwego TEXTE 2 G. Apollinaire, Alcools, « Zone » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 P. Eluard - Man Ray, Les Mains libres ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE G. Apollinaire, Alcools TEXTE 3 A. Breton, Clair de terre « L’aigrette » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 L. Aragon, Les Yeux d’Elsa, « Les yeux d’Elsa » ANALYSE D’IMAGE R. Magritte, Je ne vois pas la femme