Tu vas pas mourir de rire

et ne fait rien pour moi? O cruel souvenir de ma gloire. passée! Œuvre de tant de jours en un jour effacée! Nouvelle dignité, fatale à mon bonheur! Précipice élevé d'où tombe mon honneur! Faut-il de votre éclat voir triompher le Comte, Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte? Comte, sois de mon prince à présent gouverneur: Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur; Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne., Malgré le choix du Roi, m'en a su rendre indigne. Et toi

Le crâne… Un des premiers éléments que voit le profane en entrant dans le cabinet de réflexion et qui le conforte dans sa seule certitude qui est celle de « mourir un jour ». Ce crâne, symbole de mort, attire l’œil du profane qui va mourir d’une mort symbolique afin de renaitre dans un monde nouveau. Mais, ce crâne, au delà du fait de représenter une mort certaine, ne symbolise-t-il pas également autre chose ? Nous ne pouvons pas passer outre certaines représentations symboliques du crâne. Car

théâtre », Ionesco confie « j’ai toujours été obsédé par la mort. Depuis l’âge de quatre ans, depuis que j’ai su que j’allais mourir, l’angoisse ne m’a plus quitté. C’est comme si j’avais compris tout à coup qu’il n’y avait rien à faire pour y échapper et qu’il n’y avait plus rien à faire dans la vie […] j’écris aussi pour crier ma peur de mourir, mon humiliation de mourir. » Dans journal en miettes, il écrit : « la mort, c’est la condition inadmissible de l’existence ». Thème obsessionnel qui est

donner toute à lui et je suis prête à mourir s'il le faut car, de toutes les façons, je mourrais s'il devait un jour me quitter | Cupidon, je t℮ demande℮ pardon Mais . . T'℮s bidon ! Tu m'fαit tourner ℮n rond ,tu devrais m'apporter des solutions et au li℮u d℮ ça tu compliques tout℮s l℮s situations avec ton amour à la con [...] ♥ « ~ Tu crois que je suis heureuse parce que je te dis que je vais bien? parce que tu me vois sourire? parce que tu me vois rire? parce que mes yeux brillent? Mais

peux tout raconter sans me sentir vraiment jugé. J'espère que tu comprendras. Bien à toi, Ton petit frère, Louis. 2 BIEN A TOI "Si l'on est différent, il est fatal qu'on soit seul." 21 septembre 2012. Chère Charlotte. J'espère que tu vas bien. Je n'ai pas écrit depuis deux semaines, mais je n'avais pas grande chose à raconter. Maman m'a dit que tu ne reviendrais pas pour Noël, j'ai pleuré un peu pour être franc, mais ça veut dire que tu te plais là-bas, c'est bien que tu sois heureuse

d'astres d'or, Dans l'immense miroir du Saint-Laurent qui dort. Charles CROS , XIX siècle Ballade du dernier amour Mes souvenirs sont si nombreux Que ma raison n'y peut suffire. Pourtant je ne vis que par eux, Eux seuls me font pleurer et rire. Le présent est sanglant et noir ; Dans l'avenir qu'ai-je à poursuivre ? Calme frais des tombeaux, le soir !... Je me suis trop hâté de vivre. Amours heureux ou malheureux, Lourds regrets, satiété pire, Yeux noirs veloutés, clairs yeux

Ne vous fiez pas à mon sourire, c'est tellement facile de cacher la peine par le rire... Bonjour, je suis un connard. Tu tomberas amoureuse de moi. Ne t'en fais pas, je prendrai soin de toi, soin de ton coeur. Au début, je te dirai toutes ces choses que tu rêves d'entendre. Tu te sentiras belle, spéciale, unique. Au final, tu auras mal mais tu seras tellement tombée bas, que tu en redemanderas encore. Je te noierai dans une marée de mensonges. J'attraperai ton coeur. Et toi, tu seras incapable de

Certains textes ou répliques provoquent le rire, la tristesse, l’exaltation (émotion)… alors on peut avancer que ce sont des textes qui ont un ton. Parmi les principaux registres de tonalité, on trouve : Le registre pathétique : Il cherche à inspirer l’attendrissement. Il souligne la tristesse, des souffrances ou le malheur éprouvé. Le registre comique : il explore les situations, les gestes, les paroles, ou les comportements qui provoquent le rire ou l’amusement. Le registre fantastique : on raconte

leur prouver que toi t'as bien réussi, mais ça te sert à quoi Max ? T'en profites même pas. T'as le plus gros bateau, la plus grosse maison, la carte bleue la plus bleue... Et ton cœur Max, il est comme les autres, il a que deux ventricules, tu ne vas pas t'en payer un troisième ! " Donc la vie c'est ça, une putain d'histoire de camouflage, une comédie, un défilé de sourires, un concert de voix, de paroles plus dégueulasses et plus fortes les unes que les autres, des torses bombés, des démarches

principali sono: apostrofe, epifonema, esclamazione, interrogazione, ipotiposi. FIGURES DE STYLE Figures d’amplification Gradation: succession ordonnés(ascendante ou déscendante) de termes ex. Vas, court, vole et nous venge. (Le Cid-Corneille) Hyperbole: proceed déxagération ex. Il est fort comme un boeuf – mourir de rire Figure d’atténuation Euphemisme: une expression adoucie pour évoquer une idée désagréable ex. Elle nous a quitté (elle est morte) Figures d’analogie Allégorie: représentation d’une abstraction