Tuerie de masse

Même si une solidarité entre les soldats est née, on assiste à une déshumanisation des hommes. Ils doivent survivre, se terrer comme des animaux dans les tranchées. Ils sont en enfer. Ils ne sont plus que de la chair à canon, c'est une véritable tuerie de masse. Suite à de grandes batailles : Verdun et la Somme en 1916 où le bilan humain est épouvantable et qui n'ont abouti à rien, après trois ans de combat, des mutineries éclatent. Ces automutilations seront pour les soldats un appel au secours que

droite français, en particulier l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP) et le Front national (FN), sont-ils représenté d’une façon négative dans l’article de l’Humanité intitulé « Affaire Merah : Sarkozy suit Le Pen dans ses dérapages » ? | La tuerie de Toulouse par le terroriste Mohamed Merah a profondément secoué la France et suscité beaucoup de réactions de la part de la classe politique de droite, notamment de Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen de l’UMP et du FN qui ont alors fait des déclarations

dans la ville, c’etait le signal des tueries. -On considère le génocide Arménien comme le premier du 20siècle : 1,5mln de morts 2nde GM : -génocide des Juifs, Tziganes : l’idéologie Nazie a pour obsession la pureté raciale, ce qui a abouti a aux Lois de Nuremberg 1935 (pour but de protéger le sang Allemand : J,T,H) •Dès l’invasion de la Pologne en 1939 les Juifs sont parqués dans des ghettos – conditions épouvantables qui les condamnent a mourir en masse) •Lors de l’invasion de l’URSS débutée

paragraphe comporte deux métaphores filées tout au long du texte : -La métaphore de la « catastrophe naturelle » emportant et dévastant tout sur son passage : « roulement de tonnerre »l.1, « l’ouragan des gestes et des cris »l.5, « déboulèrent »l.12, « masse compacte qui roulait d’un seul bloc » l.13, « dans la même uniformité terreuse » l.15, « les trous » l.16, « le même tonnerre » l.46, « sous leur poussée »l.47, « balayant »l.46, « des incendies » l.46, « ne laisseraient pas debout » l.47,« une force

une spécificité du XXe siècle, tantôt un hapax avec la « solution finale », tantôt un phénomène plus ancien avec le moment fondamental de la colonisation ouverte à l’idée d’extermination. Ainsi, la prudence fera préférer la notion de « massacre de masse ». L’instrumentalisation politique de la référence à l’état de guerre est un parallélisme plutôt qu’une comparaison. Contexte favorable, prétexte, arrière-fond du discours génocidaire, la guerre est faux ami avec le génocide. Huis clos autophage dans

conséquences de cette tuerie de masse sur la vie et le comportement des français après 1918. les français durant la première guerre mondialeLa Première Guerre Mondiale qui a duré de août 1914 à novembre 1918 à été une des plus grandes boucheries de l'Histoire. Du côté français, cette guerre que le peuple pensait au départ courte, s'est avérée longue, épuisante et brutale. L'Etat lui même fut dépassé par la situation. Cette guerre qui est à la foi une guerre totale et une guerre de masse a demandé à la France

juifs sous la 2eme guerre mondiale). Ces crimes peuvent avoir lieu avant ou après la guerre. Prenons par exemple le génocide qui est un crime contre l’humanité. Ce mot a été crée en 1944 sous le coup de la barbarie nazie et désigne un crime de masse pendant le quel un groupe est détruit en totalité ou en partie. 2) Les tribunaux La première codification internationale de loi et coutume de guerre apparait déjà avec les Convention de la Haye de 1899 et 190, qui ne prévoient cependant pas

cherche à la contenir ou à la canaliser, elle resurgit ailleurs sous une autre forme 2. une société violente - à en croire les médias ● il semble que nous vivions dans une société ultra-violente et agressive, la violence semble fleurir: insultes, tueries, meurtres gratuits, des tueurs en série, des attentats-suicide infanticides, prises d'otage, le kidnapping, le viol, l'harcèlement sexuel ● un sentiment d'insécurité, raisons possibles: - une société plus violente - nous sommes mieux informés

Conditionnel : imaginaire. - Description par accumulation et énumération : "femmes", "jeunes", "vielles", "hommes". Peuple dissocié (1 groupe épars, caractérisé par son sexe ou son age, ou son métier). Nombreux pluriels : effet de multitude, de masse. Effet de grandeur, avec des allongements syntaxicaux (phrases longues) - Scène de mouvement. Nombreux verbes (l 8, 10, 16 : il faut les nommer) Rétrecissement. Plan général vers particulier et les détails (soucis du détail : "culottes déteintes"

perpétrée par la faim dans les ghettos de Pologne et d'URSS occupées, par les fusillades massives des unités mobiles de tuerie des Einsatzgruppen sur le front de l'Est (la « Shoah par balles »), au moyen de l'extermination par le travail forcé dans les camps de concentration, dans les « camions à gaz », et dans les chambres à gaz des camps d'extermination. L'horreur de ce « crime de masse »4 a conduit, après-guerre, à l'élaboration des notions juridiques de « crime contre l'humanité »5 et de « génocide