Turandot

)sous)les)ordres)du)patron)Turandot,)accompagné)de)son)perroquet,) Laverdure.)Après)y)avoir)mangé,)Zazie)va)se)coucher)tandis)que)son)oncle)prépare)les)activités)du)jour)suivant) avec)sa)femme.) )) Chapitre)3):)Le)jour)suivant,)Zazie)entreprend)l’exploration)de)l’appartement)de)son)oncle,)et)y)découvre)avec) bonheur)les)«)vécés)».)En)descendant)au)bas)de)l’immeuble,)le)patron)de)La)Cave)empoigne)Zazie,)provoquant) ses)hurlements,)et)la)réaction)de)la)foule)qui)prend)Turandot)pour)un)pervers.)Il)fuit

Presque incontrôlable, on la voit comme un élément perturbateur. On peut remarque chez Turandot sa réaction quand il apprit l’arrivé de Zazie, il la jugeait avant même de la connaitre, ce parce qu’elle eut un comportement inadéquat dès son arrivée, différent de celui d’une enfant. Ces différences sont des éléments perturbateurs. Par exemple au lever du jour Zazie prit la fuite dans Paris, malgré l’intervention de Turandot. De plus elle lui créa des problèmes imaginaires quand il se mit à sa poursuite.

même pas Félicité de porter un dialogue avec lui. Turandot prend Laverdure partout, Félicité laisse Loulou libre dans la maison ; Flaubert lui donne même l’habilité de marcher : «il levait la patte droite, puis la gauche ». Comme Laverdure, qui critique les discussions des personnages, en leurs disant « Tu causes, tu causes, c’est tout ce que tu sais faire », Loulou rit de toutes ses forces en voyant la figure de Boursais, ancien avoué. Turandot, dans le roman de Queneau est le seul à ne pas former

ce remarque déjà par le langage utilisé mais non seulement, une nuit alors que tout le monde dormait, Zazie s’enfuit et vagabonde dans les rues de Paris, Turandot la suit, la rattrape et tente de la ramener auprès de son oncle mais il n’y parvient pas car la jeune fille va inventer et raconter aux autres personnes présent dans la scène que Turandot est en fait un pervers, une personne qui n’est pas digne de confiance. Par la suite elle rencontre Trouscaillon sur sa route, après avoir passé l’après-midi

suivent d’abord la logique de tout roman classique. Ils interviennent à différents moments de l’histoire, et possèdent un rôle plus ou moins important dans les péripéties de Zazie. Ainsi, Gabriel joue le rôle du tonton accueillant sa nièce à Paris, Turandot le patron d’un bar etc. Tous font avancer l’histoire. Mais Queneau donne l’impression au lecteur que ces personnages ne sont que des figures théâtrales, qu’ils n’existent pas vraiment. En effet, la “platitude “ de leur caractère les rend peu

brossent le portrait d’une jeunesse assurée et pleine de vie, et que Malle soulignera à dessein par le choix de couleurs vives voire parfois criardes, ou par le recours à des gags comme ceux qui s’enchaînent lors des courses poursuites entre Zazie et Turandot ou Pédro-surplus : l’univers évoqué est alors celui de l’enfance, et l’insertion d’une image de dessin animé dans la longue poursuite avec Pédrosurplus est sans équivoque. Mais ne peut-on pas justement percevoir là un tour quelque peu caricatural

expression que nous rencontrerons tout le long du roman. Elle l'associe à tout ce qu'elle n'aime pas ou lorsqu'elle est vexée. Zazie n'est pas le seul personnage qui dis des grossièretés, Gabriel chante en effet des chansons paillardes. Il dit également à Turandot « Je t'emmerde ». On remarquera également un certain humour scatologique ; on note en effet les mots « vécés », ou quand Trouscaillon mentionne la « raffinerie de caca » en référence au parfum de Gabriel : « Barbouze ». Ces nombreuses phrases montre

l'opposé des principes du réalisme littéraire. Ainsi, le réalisme est un mouvement de courte durée : c’est un modèle artistique limité pour Puccini comme pour l'art en général. Le compositeur, lui aussi, dans son opéra final Turandot, s'est beaucoup écarté du vérisme. Turandot est une configuration richement symbolique d'une légende chinoise antique. Cependant, le réalisme n'est pas mort avec les défis de la science au début des années 1900. En fait, le réalisme continue d'être une force importante

mouflette surgit [et] l’interpelle : -Chsuis Zazie, jparie que tu es mon tonton Gabriel. » (incipit). Ce sentiment de doute est d'autant plus visible dans l'entourage de Gabriel.En effet, Charles dont le taxi a été réservé pour quitter la gare, ou de Turandot qui voit d’un œil circonspect arriver cette enfant qui « va pervertir tout le quartier » (chapitre 2). B.En outre, l'usage du diminutif Zazie accentue l'originalité du roman. Ainsi, ce choix plus que celui d'un personnage féminin par exemple

l'objet de sollicitations diverses que la gamine, fort avertie, déjoue sans émotion. Au soir de sa deuxième journée à Paris, après une mémorable poursuite en voiture à travers Paris, Zazie se retrouve avec tous ceux qu'elle a connus en deux jours : Turandot, le propriétaire de Gabriel, et son perroquet Laverdure ; Charles, le taxi ; Gridoux, le cordonnier ; la veuve Monaque, une hystérique ; Trouscaillon, un policier douteux ; Albertine, la femme de Gabriel ; Mado, la fiancée de Charles. Gabriel a invité