Turcs

les Grecs se révoltent contre les Turcs et l'Europe prend part en faveur des insurgés. Ainsi, dans ce poème, Victor Hugo, une fois encore, fait état de ses opinions pol les Grecs se révoltent contre les Turcs et l'Europe prend part en faveur des insurgés. Ainsi, dans ce poème, Victor Hugo, une fois encore, fait état de ses opinions politiques et même philosophiques, car pour lui le poète peut se mêler de tout. les Grecs se révoltent contre les Turcs et l'Europe prend part en faveur des insurgés

Normands en Italie, Turcs petchenègues et oghouzes dans les Balkans, Turcs seldjoukides en Orient. L’empereur doit y faire face. Depuis 1048, les Turcs seldjoukides multiplient les incursions et les pillages dans les terres byzantines de l’Arménie et du centre de l’Anatolie. En 1064, Ani, capitale du royaume d’Arménie, passe sous le contrôle du sultan Alp Arslan. Une large brèche est désormais ouverte à la frontière orientale de l’Empire byzantin, permettant aux clans nomades turcs de multiplier leurs

peur « Les Turcs ont envahi leur pays », « au détriment des chrétiens ». Les Turcs occupent en effet Jérusalem, qui n’est pas nommée par le Pape.Le Pape appelle donc au combat afin de repousser les Turcs et de reprendre Jérusalem, « leur pays », ville sainte pour les chrétiens, dans lequel le Christ a été enterré. Ainsi, la cause principale de la croisade est de défendre les valeurs de Dieu, de rétablir la paix dans l’Empire. Pour justifier cet appel à la guerre, le Pape présente les Turcs comme des

l’immigration turque dans ces deux pays. I. Les points communs Les immigrations turques en France et en Allemagne possèdent outre le fait de venir du même pays d’origine de nombreux points communs. Dans ces deux pays la présence de travailleurs turcs est relativement récente. Ils ont commencé à arriver dans les années 60 alors que d’autre vague d’immigration étaient déjà depuis très longtemps. Alors que dès la fin de la guerre et même pendant l’entre deux guerre le patronat français avait été chercher

Arméniens vont survivre grâce à leurs singularités: le christianisme vers 300, l'alphabet singulier qui porte la culture, le schisme: ils ne sont pas présents au concile de Chalcédoine en 1462, ils sont monophysites. C'est une singularité face aux Turcs au 11° siècle qui amènent les Arméniens vers la Cilicie, dans la partie orientale de l'Empire et en Perse, ils essèment dans tout l'Empire Ottoman. L'Empire Ottoman c'est un empire multi-ethnique et multi- culturel. Il se trouvait opposé à l'Empire

identitaires et d’instabilité politique de l’Est un important pôle d’attraction, synonyme de calme politique et de stabilité économique. Mais celle qui exerce le plus cette attraction, cette séduction même, c’est l’Europe, pleine de promesses aux yeux des Turcs, d’autant plus qu’elle est dorénavant largement accessible. Pays de départ donc, mais aussi pays d’accueil et plateforme transitoire, la Turquie est traversée par des dynamiques migratoires extrêmement complexes et variées, que cela soit à une échelle

qu'ils fassent le voyage à Jérusalem pour repousser les infidèles. Ceux-ci sont des Turcs qui menacent d'abattre l'empire chrétien d'Orient et multiplient les obstacles aux pèlerinages en Terre Sainte, sur le tombeau du Christ. Ce document est donc un discours écrit en 1095 par le pape Urbain II, dans le but de faire appel à la croisade. Ici, le pape s’adresse au croisé mais aussi aux chrétiens afin de vaincre les Turcs qui veulent s’emparer de leur territoire. Ce document nous incite à nous donner en

Cosmopolite et Organisé . L’empire Ottomans est cosmopolite et multiculturel. Il y’a 22 millions d’habitant (4 % de la population de l’époque. Les musulmans Sunnites Turcs domine le territoire. Musulman ⇒ Chiites ⇒ Arabes de Mésopotamie Chrétien ⇒ Orthodoxe ⇒ Slaves et Grecs. ⇒ Sunnites ⇒ Turcs (majoritaire) ⇒ Catholique ⇒ Arabes ⇒ Slaves convertie a l’IslamJuif ⇒ Arabe ⇒ Séfarade ⇒ Slave ⇒ AshkénazeL’empire est géré administrativement par différente personne. Le grand vizir

campagnes militaires vers l’Ouest afin d’occuper voire de militariser les oasis et les régions frontalières. De nombreux protectorats ont été établis sur des peuples de la steppe afin de protéger le commerce des pillards nomades et des raids des cavaliers turcs ou tibétains. Le contrôle des royaumes oasis a été facilité par la sinisation au moins partielle de leurs gouvernements, d’ordinaire influencés par les cultures iraniennes ou des peuples de la steppe. En dépit de cette influence culturelle, les tentatives

des historiens et des experts religieux, l’influence politique et économique séculaire d’un groupe connu sous le nom turc de « Dönmeh » ne fait que commencer à apparaître sur les lèvres des Turcs, des Arabes et des Israéliens qui hésitaient à discuter de la présence en Turquie et ailleurs d’une secte de Turcs descendant d’un groupe de Juifs sépharades qui avaient été expulsés d’Espagne par l’Inquisition espagnole aux XVIe et XVIIe siècles. Ces réfugiés juifs d’Espagne furent autorisés à s’établir