Tutsis

sociales 1969 aux É.-U. : Woodstock Mouvement Peace and Love 1961-1973: Guerre du Vietnam 1989: Chute du mur de Berlin 1991: Dissolution de l’URSS 1992: Formation de l’Union Européenne 1994 : Génocide au Rwanda Guerre civile : Les Tutsis sont massacrés par les Hutus 11 septembre 2001 : World Trade Center Terrorisme Les courants littéraires du XXe siècle Symbolisme (1850-1914) Surréalisme(1914-1945) Modernité(1939-1975) Postmodernité(1975 à aujourd’hui) Surréalisme

ethnie, un peuple, une nation, un État. Un exemple actuel dramatique est donné par le Rwanda et le Burundi, anciennes colonies belges où coexistent deux ethnies depuis longtemps ennemies, les Hutus (représentant environ 85% de la population) et les Tutsis (14%), qui, régulièrement, s'entredéchirent pour le pouvoir. L'un des derniers conflits entre ces deux communautés engendra un effroyable massacre. La population civile fut chassée du Rwanda vers des camps de réfugiés au Burundi et en Ouganda. Dans

il périt peu après. Kabila prend le pouvoir le 20 mai 1997, et rebaptise le Zaïre en République Démocratique du congo Kabila devient rapidement suspect de corruption et d'autoritarisme, tout comme Mobutu. En aout 1998, tous les membres d'origine Tutsi se retirent du gouvernement lorsque Kabila demande aux mercenaires rwandais et ougandais de rentrer chez eux. C'est dans ce contexte qu'éclate la Deuxième guerre du Congo Cette guerre n'est pas une guerre de grandes batailles et de lignes de fronts

pays comme la République Démocratique du Congo sont livrés à des pillages en raison de leurs richesses minières. Tout se passe sous l'indifférence des grandes puissances, surtout des EU. Au Rwanda, c'est l'affrontement de deux ethnies: Hutus et Tutsis. Le massacre démarre en avril 1994 et en résulte 800 000 morts. C'est donc le 1er génocide (Extermination d'un groupe ethnique) depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. L'Afrique subsaharienne s'enfonce davantage dans son sous-développement

d’une seule ethnie, comme de la Sécurité présidentielle, est le signe indubitable qu’un régime se trouve sur un terrain mouvant ». Dans plusieurs pays africains, l’Armée sera monolithique, comme au Burundi où depuis 1962, elle n’est constituée que de tutsi ou au Tchad où la grande majorité de l’Armée est constituée d’éléments de l’ethnie du Président Idris Deby etc. Petit à petit, l’Armée s’est imposée comme instrument du pouvoir, et celui-ci a été obligé de compter sur elle, mais cette coopération

pays cités ont eu des causes ethniques. Paragraphe II : L'ethnie comme facteur de conflit  Dans la région des Grands lacs, Bedoum remarque que « la crise rwandaise, par le nombre de victimes qui en a résulté, a fait des rapports entre Tutsi et Hutu, une référence sur la question des conflits ethniques en Afrique »27(*). Ainsi la RDC voisine du Rwanda, du Burundi et d'Ouganda est composée d'une centaine de groupes ethniques partagés avec beaucoup de pays de la sous-région. Sur le plan

présentation faite sur l’identité, j’avais pris comme exemple colonisation du Rwanda par les allemands au XIXème siècle qui s’est faite en s’appuyant sur les Tutsi pour affaiblir ainsi le pouvoir des chefs Hutu et ainsi pour mieux dominer et s’accaparer des richesses du pays. Les colons allemands identifient alors à des fins stratégiques les Tutsi à une race supérieure (reconnus plus grands, plus minces donc jugés plus aptes à agir). Il y a donc ici institutionnalisation d’un clivage identitaire,

pourparlers de paix afin de résoudre le conflit sévissant au Burundi. Aucun organisme civil n'a été autorisé à participer à ces négociations et parmi les 126 délégués officiels, on ne comptait que deux femmes. Tant les femmes hutus que les femmes tutsis se sont élevées contre leur exclusion et ont exigé de prendre part aux discussions. A Bukavu, les femmes congolaises ont su exprimer leurs griefs et leur opposition à la guerre du fait même de leur rôle de mère cette condition alors que les autorités

central) luttent contre les « rebelles » africains du Darfour et souhaitent accaparer toutes leurs terres à leur profit ; - des motifs ethniques : au Rwanda en 1994, des Hutus (ethnie majoritaire au Rwanda) ont massacré entre 800 000 et 1 million de Tutsis (le TPI Rwanda a reconnu le génocide et jugé 79 dirigeants de l’Etat rwandais) ; - des raisons culturelles : selon Huntington, les guerres résulteraient de conflits entre les grandes aires de civilisation. Ce serait le cas entre Israël et Palestine

et pluralisme 1er semestre 2009 Auteur : Okri Pascal TOSSOU [1] Le Rwanda a commémoré il y a seulement quelques jours le 15e « anniversaire » de la tragédie qui l’a décimé [2]. Le pays ne compte pourtant que deux ethnies majoritaires : Hutu et Tutsi. L’humanité entière dit aujourd’hui déplorer cette saignée, sur fond de slogan : « Plus jamais ça ». Une saignée qu’auraient sans doute aidé à entretenir népotisme, exclusion et apartheid social de toutes sortes. C’est pour prévenir des tragédies du