Ubu Roi Comique Tragédie

quatre-vingt-dix, Ionesco, dont la santé est de plus en plus mauvaise, sombre dans la dépression. Il utilise alors la peinture comme thérapie. Quand il meurt à Paris, à l'âge de 85 ans, pour être enterré au Cimetière du Montparnasse, il est non seulement roi sans couronne du théâtre de l'absurde, mais il est aussi considéré comme l'un des grands dramaturges français du vingtième siècle. Bibliographie : - La Cantatrice chauve (1950) : un couple (Mr et Mrs Smith) et leur bonne (Mary) reçoivent deux

recommandent l’etude d’une piece de ´ ` theatre du XIXe ou du XXe siecle ; elle permet de formuler avec les ` ´ˆ eleves une definition du genre. ´ ` ´ La sequence que nous proposons ci-apres etudie les diffe´ ` ´ ´ rentes tonalites de la piece (comique principalement, mais aussi ´ ` pathetique et tragique) et analyse les roles de l’incipit et du ˆ ´ denouement. Conformement aux instructions, elle privilegie ´ ´ ´ egalement « la relation entre le verbal et le visuel », engageant ´ ´

sont ancrés dans la vie quotidienne 4.2 Les principaux objets risibles 4.3 Le rire et les sujets tabous 4.4 L'homme peut rire de tout 4- COMMENT FAIRE RIRE ? 5.1 Le ou les rires ? 5.2 Des rires et des comiques différents 5- LES MANIÈRES DE FAIRE RIRE 6.1. Les multiples facettes du comique 6.2 Des moyens différents pour des visées différentes 6- LE RIRE EST-IL LE PROPRE DE "L'ANIMAL SOCIAL" ? 7.1 La socialisation du rire 7.2 Le rire et la femme 7.3 Qui rit de qui ? 7.4 Le rire, expression

commencer par l'Italie : différence entre la commedia erudita (oeuvres littéraires aux modèles classiques) & la Commedia dell'arte (théâtre populaire proche de la farce) * renaissance de la tragédie marquée par les nombreuses interprétations de la Poétique d'Aristote : pas d'oeuvres marquantes [tragédie biblique Les Juives de Robert Garnier en 1583 avec allusions sur histoire contemporaine (guerres de Religion)]. 3. Le XVIIème siècle, grand siècle du théâtre européen * En Espagne

émotions. Il apparaît de façon franchement ridicule dans cet extrait, très loin de la tyrannie majestueuse de Néron dans Britannicus de Racine un épigone d’Ubu Roi ? Peut-être faut-il voir dans cette ambivalence du personnage de Caligula, une trace de la pièce explosive d’Alfred Jarry, parue à la toute fin du XIX°s. Pareillement, le Père Ubu, soumet la Pologne à ses volontés fantaisistes et farfelues, semant la mort et le désespoir sur son passage. En réinscrivant cette absurdité de la tyrannie dans

vaillant mousquetaire au brillant esprit, vivant un amour impossible. Cette œuvre en vers, au moment où s’affirment les courants symboliste1 et naturaliste, est déjà un peu anachronique à son époque : un an avant, le théâtre de l’Œuvre créait Ubu roi d’Alfred Jarry, pièce « moderne » au langage anti-romantique au possible – elle commence par un retentissant « Merdre ! ». Cyrano de Bergerac constitue ainsi le dernier éclat du drame romantique. La pièce trouve son public immédiatement, et va

ils ne portent pas de musque avec le lyrisme. La tradition théâtrale de la tyrannie : Energie sauvage, humour morbide. * Néron : De Racine dans Britannicus, qui a inspiré Camus, au début, Néron empereur parfait, après il devient monstre… * UBU Roi : l’un des modes possibles de Caligula 1897/98. Traditions de la sur théâtralité : Dans Caligula, se regroupe deux prototypes : 1- le fou perspicace qui jongle avec des questions existentielles (comme Hamlet, To Be Or Not To Be) . 2- le comédien

naturaliste VS théâtre symboliste Point sur le XIX : Théâtre reste une mimésis : représentation de la société et des conflits humains. Après le drame romantique : (La dame au camélia, Dumas = La traviata,) Vaudeville : débute au XVIIIème = opéra comique ; mêle texte parlé et chanté : la pièce comporte des couplets sur des musiques que le public peut reconnaître Opérette en concurrence avec le vaudeville. Elle est plus évoluée, donc plus estimée et fait oublier le vaudeville. Vaudeville réapparaît

volonté, Nodiard, qui utilise son charisme pour prendre le pouvoir, en bon héritier fasciste. Knock est cependant spécifique, car son ambition est finalement assez limitée, d’un point de vue géographique tout au moins. Du coup, il est un personnage comique, ce qui n’est pas le cas de Nodiard. Nous pouvons encore sourire ou rire des manipulations de Knock, surtout lorsque l’arnaquer Parpalaid devient le dindon de sa propre farce. Mais certains critiques ont vu dans le personnage une incarnation presque

sociale, politique et morale. Dans le texte A, La Bruyère montre que les courtisans se comportent comme de véritables « sauvages » : rites stéréotypés, compor­tement superficiel, « débauche », inversion des valeurs, hypocrisie et totale soumission à un roi... Les descriptions sont hyperboliques, mettant en valeur la satire, comme le montre la gradation aux lignes 1 et 2 : « les jeunes gens [sont] au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse. ». Le but des courtisans est de « plaire », de séduire