Ubu Roi Conclusion

d'entrer en scène (jeux de déguisements) ex : comedia dell’arte (les masques), le roi se meurt (reine Marguerite) C-la manière de parler trop éloigné pour être réel ex : monologue Bérénice, les vers dans Bérénice, l’aparté dans l’Avare III-Savoir faire la part du vrai et de l'illusion au théâtre A-Le théâtre = spectacle Les spectateurs acceptent l'idée d'assister à quelque chose de faux ex : le roi se meurt (vous allez mourir dans 1h30...) B-L'acteur n'est pas son personnage

l'orateur semble s'écouter parler au lieu de parler au peuple avec des phrases qui font vraiment mouche, efficaces et précises. A force de grandes phrases, il risque d'ennuyer son auditoire. « Tout ceci est fort beau mais personne ne m'écoute » Ubu dans Ubu roi d'Alfred Jarry Le pluriel de « ses traits » (v.12) opposé au singulier « Un trait de fable » (v.31) → le pluriel renvoie à l'accumulation de mots et tournure que l'orateur utilise. La Fontaine lui reproche son style compliqué, alambiquée dans

« pouvoir » sont souvent vidées de leur substance (Béranger Ier dans Le Roi se meurt, 1962),elles exhibent une condition humaine grinçante dans un univers chaotique sans signification, et un langage évidé, privé de toute possibilité d’intentionnalité et de communication. 2) Certaines figures de pouvoir symbolisent parfois le tragique de la condition humaine. L’Antiquité interroge les limites de la condition humaine : Œdipe roi de Sophocle (Ve s. av.JC) met en scène le châtiment que les Dieux

CORRIGE TEXTE A. Jean de La Fontaine, « Les obsèques de la Lionne », Fables, VIII, 14, 1678. TEXTE B. Emile Zola, Germinal, IV, 1, 1885. TEXTE C. Alfred Jarry, Ubu roi, acte III, scène 2, 1896. ÉCRITURE I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante. Question (4 points) Dans ces trois textes, que veulent dénoncer les auteurs ? Quel registre essentiel chacun de ces textes mobilise-t-il au service de cette visée ? NB. Rappel 2de : les registres

connaître Les mythes les plus repris sont :  Œdipe : fils de Laïos, roi de Thèbes, et de Jocaste. Un oracle prédit au roi que l’enfant tuerait son père et épouserait sa mère. Aussi le roi de Thèbes l’abandonna. Des pâtres le trouvèrent et, comme le bébé avait les pieds enflés par les cordes qui le maintenaient attaché, ils le nommèrent Œdipe (du grec « odein », « être enflé » et « pous », « pied »). Ils le portèrent à Polybe, roi de Corinthe, qui l’éleva comme son fils. Œdipe grandit et, un jour

mais avec (77-87) → son implication(88-92) → justification de son implication et « mais » qui montre une implication collective → données chiffrées qui montrent qu’il n’y aura pas d’égalité avant longtemps s’il n’y a pas d’implication(93-fin) → conclusion → dernière interpellation1) Mouvement du texte2) extrait LL : l.51 à l.72introduction : présenter Emma Watson et utiliser le chapeau du discours fil rouge → inviter les hommes à être féministes(51-52) → invitation des hommes à s’engager pour l’égalité

récit bref, une écriture sous forme de vers ou de proses, une forme poétique (l’emploi de rime), la figuration d’animaux (qui caricature l’humain) et le récit qui se termine par une morale. Parfois La Fontaine laissait le lecteur tirer ses propres conclusions par l’absence de cette morale ou bien par l’ouverture d’un débat. Le texte de Victor Hugo, écrit deux siècles plus tard fait parti d’un recueil de poèmes où il s’attaque violement mais indirectement à son Empereur. Son texte se rattache

encore de rideau de scène, si bien que les changements de décor sont rendus impossibles. Il n’y a pas de coulisses donc les acteurs restent sur scène même lorsqu’ils ne jouent plus. Toutes ces contraintes rendent difficile la vraisemblance. 4. Conclusion Le théâtre au Moyen Age est très ancré dans la réalité et très en lien avec la société dans laquelle elle s’épanouit. Il naît en se démarquant de la littérature épique et romanesque. Il prône les valeurs inverses à celles que développe la littérature

et un lit pour figurer un intérieur) Cette utilisation de l’objet-emblème qui, à lui seul, situe le lieu de l’action, longtemps méprisé car le procédé n’est pas propre à l’illusion, retrouvera son efficacité scénique dans le théâtre moderne. Conclusion Le rire médiéval, dans toutes ses facettes, est indissociable des conditions culturelles qu’il faut reconstituer : la satire exige la connaissance des valeurs éthiques, esthétiques et sociales ; la parodie suppose celle des rites et des langages ;

femmes Molière L’île des esclaves Marivaux La Leçon Eugène Ionesco Tartuffe Molière Bérénice Racine Rhinocéros Eugène Ionesco Ruy Blas Victor Hugo Dom Juan Molière Figaro Beaumarchais La Poétique  Aristote (théorie dramatique) Phèdre Jean Racine Ubu roi Jarry Dans Notes et Contre-notes paru en 1962, Ionesco compare les pièces de théâtres à un match. D’après lui, « Sans conflit, il n'y a pas de théâtre ». En quoi le conflit peut-il faire avancer l’action dramatique dans une pièce de théâtre ? Nombreux