Ubu Roi Conclusion

aucun changement en sa nature, il n'en peut admettre aucun en la représentation » (La Pratique du théâtre) 8. Digression sur les bienséances - notion de bienséance n'appartient pas au corpus aristotélicien ms sous-tend l'esthétique classique - un roi par ex. doit d'abord être conforme à l'image que le public ce fait de la royauté= bienséance de la condition (aristocratique, royale, princier…) - Racine ne tiendra pas compte de l'avis des « doctes » mais soulignera dans ses préfaces son souci de

Ismène Antigone «  Moi je suis plus pondérée. Je « Il y a des fois où il ne faut pas trop réfléchis. » réfléchir. »  « Je comprends un peu notre oncle. » « Moi je ne veux pas comprendre un peu. » «  Il est le roi, il faut qu’il donne « Moi, je ne suis pas le roi. Il ne faut pas que l’exemple. » je donne l’exemple, moi… » « J’ai raison plus souvent que toi. » « Je ne veux pas avoir raison. » b) Les phrases prononcées par Ismène sont à la forme positive. Celles d’Antigone que

fera tout sauver Astyanax et être fidèles aux mânes d'Hector ; mais aussi dans leur paroles, comme par exemple le fameux ‘monologue de la cassette’ d’Harpagon l’avare ; ou plus généralement dans leur manière d’être : Pyrrhus représente la brute, Ubu le lâche. Ainsi le personnage psychologie est à l’image d’un caractère choisi par l’auteur, il est souvent socialement caractérisé, surtout dans la comédie. Dans cette mesure, Sganarelle, valet est psychologiquement bête ou encore Mr Jourdain est un

l'expression des sentiments (persuasion) c. Une argumentation fondée sur la raison (convaincre) II. Des Grieux se détruit lui même a. La consternation de Des Grieux b. Il passe de victime à bourreau c. Cette situation est de sa faute Conclusion : Des Grieux est malgré les preuves accablantes capable, au moyen d'un discours argumentatif, de croire encore en Manon Ouverture : Bel-ami de Maupassant La figure de la déception amoureuse : Choderlos de Laclos, Les liaisons dangereuses

s’élargit à une connaissance complète de l’Antiquité. - Les hommes célèbres. Guillaume Budé (1468-1540) étudie le droit avant de se consacrer aux belles-lettres grecques et latines, à une époque où le grec est encore inconnu en France. Il obtient du roi la fondation d’ un collège pour l’enseignement du grec, du latin et de l’hébreu, qui deviendra le Collège de France. Lefèvre d’Étaples (1450-1536) se consacre aux éditions d’Aristote et parcourt l’Italie en écrivant de nouvelles exégèses de la Bible

le 20 eme siècle, commence en 1901. Le 20 eme siècle est le siecle des grands changements, des radicals changements. Le 20 eme siecle est valorisé par des personnes qui ont une pensée négative ou positive de ce siecle. On peut dire qu'il est la conclusion du 19 eme siecle : - politique : 3 eme Republique ( 1870 - 1940 ) - politique internationale : * rivalité France - Allemagne * Esprit de colonisation - politique

vainqueurs comme des croisés. D’autant plus que le Coran interdit le vin ! Cela suggère des musulmans qui manquent à leur loi religieuse et aussi l’ivresse physique. Dit lui-même : « badinage dont le fond est très philosophique et très utile ». Conclusion • Apologie de la civilisation, mais ici un peu provocatrice qui a valu à Voltaire de sévères critiques. • À rapprocher de la XXVe Lettre philosophique (pas le même ton et problème posé différemment), du Dictionnaire philosophique (article « Luxe

sociale, politique et morale. Dans le texte A, La Bruyère montre que les courtisans se comportent comme de véritables « sauvages » : rites stéréotypés, compor­tement superficiel, « débauche », inversion des valeurs, hypocrisie et totale soumission à un roi... Les descriptions sont hyperboliques, mettant en valeur la satire, comme le montre la gradation aux lignes 1 et 2 : « les jeunes gens [sont] au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse. ». Le but des courtisans est de « plaire », de séduire

sociale, politique et morale. Dans le texte A, La Bruyère montre que les courtisans se comportent comme de véritables « sauvages » : rites stéréotypés, comportement superficiel, « débauche », inversion des valeurs, hypocrisie et totale soumission à un roi... Les descriptions sont hyperboliques, mettant en valeur la satire, comme le montre la gradation aux lignes 1 et 2 : « les jeunes gens [sont] au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse. ». Le but des courtisans est de « plaire », de séduire

Labiche, Feydeau, Courteline. * En Angleterre, on trouve des pièces humoristiques : Wilde (De l'importance d'être constant). * Théâtre symboliste français : Maeterlinck (Pelléas et Mélisande). * Théâtre d'avant-garde : Alfred Jarry (Ubu Roi). 7. Le XXème siècle * Un théâtre littéraire & poétique : la force de ce théâtre est dans le texte. Les principaux dramaturges rattachés à ce mouvement sont : Claudel, Montherlant, Anouilh (Antigone), Giraudoux (Electre), Cocteau