Ulcération

normal . -Frottis inflammatoire. -Frottis dystrophique. -Dyscaryose . -Frottis interprétable. Diagnostic : Circonstance de découverte : -Des métrorragie de contact. -Des leucorrhées. -Des douleurs pelviennes. b- Examen clinique : 1-Le spéculum : -Ulcération. -végétation. -Infiltration . 2-Le toucher vaginal : -Induration . -Saignement de contacte. 3-Le toucher rectal : -Paramètres infiltrés. -Ligaments utéro-sacrés indurés. C-Paraclinique : 1-Imageries : -Échographie abdominaux pelvienne. 

couches et du film lacrymal :  L’épithélium  La membrane de Bowman  Le stroma  La membrane de Descemet  L’endothélium Age 0 à 30 ans 30 à 50 ans Après 50 ans Clinique Erosions cornéennes récidivantes Ulcération cornéenne de – en - fréquente BAV LAF TTT Petites lésions grillagées radiaires stromales Fines taches blanchâtres entre les mailles Flou central Médical symptomatique PKT pour diminuer la fréquence des érosions Augmentation

normaux et sains ou endommagent ces tissus et entravent le fonctionnement naturel de l’organisme féminin. Les complications immédiates peuvent être douleur violente, choc, hémorragie, tétanos ou septicémie (infection bactérienne), rétention d'urine, ulcération génitale et lésion des tissus génitaux adjacents. Les conséquences à long terme sont notamment: .infections récidivantes de la vessie et des voies urinaires; .kystes; .stérilité; .risque accru de complications lors de l'accouchement et de décès

insuffisante, ils sont habituellement localisés, bénins et ne nécessitent pas de traitement. On peut rencontrer : • une apparition d'un érythème (rougeur), d'une papule (bouton) ou d'une ulcération (perte de peau) au point de ponction, avec cicatrice dans les suites ; • une ulcération cutanée persistante ; • une adénite inflammatoire (inflammation du ganglion axillaire du côté du bras vacciné), parfois importante ou suppurée (fréquence : 0,2 à 4,0 pour 1 000 vaccins) ;

manifestations cliniques et biologiques Incubation : 15 à 30 jours après entrée du VIH (contage). Clinique peu spécifique  syndrome pseudo-grippal avec fièvre, asthénie, arthralgies, myalgie… et atteintes cutanées (éruption), pharyngite +/- ulcérations, ulcérations génitales,… Phase asymptomatique (10 ans en moyenne) = stade A et parfois symptômes non classés au stade SIDA (=stade B) : signes « mineurs » : zona, candidose buccale, thrombopénie liée au VIH Si CD4100)  bilan fièvre prolongée, sueurs

post-prandiaux ; troubles de la sudation ; troubles mictionnels ; troubles de l’érection et de l’éjaculation ; diarrhée motrice, sensation de plénitude gastrique ; symptômes trophiques ; le plus spécifique est l’apparition d’une hyperkératose puis d’une ulcération indolore aux points d’appui de la plante des pieds. Chez l’enfant, les circonstances de révélations peuvent être particulières : troubles de l’écriture ; chez le nourrisson hypotonie aréflexique ; chez le petit enfant (< 4 ans) retard d’acquisition

dermatologiques incluent la biopsie cutanée. Lésions dermatologiques[modifier | modifier le code] Atrophies Bulles Dyschromies Érythèmes (et exanthème) Kératoses Macules Nodules Papules Purpuras Pustules Squames Scléroses Tumeurs Ulcérations Végétations ou condylomes Vésicules Pathologies dermatologiques[modifier | modifier le code] Acanthosis nigricans Achromie Acné Alopécie Amyloïdose Angiodermite Angiome stellaire Anthrax staphylococcique Aphtose Atrophie Balanite

Question N°6 ( 2 points) 0.5 point x 4 Citez les différents stades d’une escarre et la symptomatologie pour chacun d’eux. 1. Stade 1 : érythème 2. Stade 2: la phlyctène la désépidermisation 3. Stade 3 : ulcération profonde 4. Stade 4 : la nécrose Question N°7 ( 2 points) Quels sont les moyens de prévention d’une escarre en citant les différentes étapes ? 1. Lever la compression 0.20 2. Utiliser du matériel de

révèle être le cas puisque Gary Ridgway l’admet dans ses aveux.     Le profil du FBI est extrêmement vague, mais surtout il contient une erreur fatale, due à une mauvaise interprétation du rapport d’autopsie de Marcia Chapman qui indique : “ une ulcération compatible avec l’anthropophagie est localisée juste au-dessus du sein droit.” L’auteur du profil John Douglas en déduit que l’assassin appartient à la catégorie des “ lust murderers “, un serial killer sadique sexuel, suite à cette remarque sur

bleue) maladie virale non contagieuse mais transmissible par les moucherons qui pique les animaux pour ce nourrir. Touchant souvent les ruminants sauvages ou d'élevages. Symptômes: Fièvre,salivation excessive, œdème des museaux, inflammation, ulcération et destruction de la muqueuse des museaux et langue enflée. Conséquences: -Risque d'avortements des femelles pleines -Problème de voies respiratoires -un amaigrissement du sujet par son alimentation -Plus rare décès de l'animal dans les